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 .: Solenn Travendel | Rien n'arrive jamais sans cause. :.

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MessageSujet: .: Solenn Travendel | Rien n'arrive jamais sans cause. :.   .: Solenn Travendel | Rien n'arrive jamais sans cause. :. EmptyDim 22 Avr - 17:21


Nom prénom : Travendel Solenn
Surnom : Soso
Sexe : Féminin
Age : 17 ans
Emploie : Etudiante à domicile en cours général, philosophie et la photographie
Situation : Célibataire
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle
Groupe : Mineur
Code : M66G04

Particularité : - Se déplace en chaise roulante
- Est souvent plongé dans un livre
- cours à domicile
- se déplace parfois avec un majordome
Phobie : thanatophobie - arachnophobie

Aime : Lire - Photographier des paysages/Personnes
N'aime pas : Les araignées - les regards méprisants


©rédit : Némésis
Age :15 ans
Pays : Belgique
Double compte :Yep - Leo McLeay
Avatar : Ayase Shinomiya de Guilty Crown
Connexion /10 : 8/10
Comment avez-vous connu le forum : Va demander à mon DC 8D
Commentaire : I have a dream ! 8D

Veux-tu me conter un peu ta vie ?;

«Je», «tu», «il», «nous», «vous», «ils» - Ton introduction.


Parmi ces quelque pronoms, tu en fais partie que tu le veuilles ou non, la vie en a décidé tout comme ton destin a voulu que tu sois coincé à ton insu dans cette chaise roulante. Tu t'en souviens comme si c'était hier mais pourtant tu évites d'en parler comme si c'était un cas désespéré ou bien que tu considérais comme un handicap. Pourtant cette fois là, tu réussis à te confier à un thérapeute qui te fit changé d'avis mais ce n'est pas pour autant que les regards envers ta personne ont changé. Ces yeux que tu n'oublieras et changera jamais. Ce jour où tu te confias, lui, tu l'oublieras jamais. Ça remonte maintenant à 7 ans, où tu en avais que 10, tu sombrais au plus profond que ton père même l'avait remarqué. Ce n'est qu'un an après ton accident que tu allais voir ce qu'on appelle un thérapeute.

«7 mai 2091 à 10h27 ...» – Ta confidence

Tu venais en ces lieux comme toute personne normal,enfin, pas tant que ça ayant cette paralysie à tes fines jambes que tu regrettais, certes mais depuis ce 7 mai à un beau matin banal pour certains, pour d'autres décisifs pour leur avenir. Tu étais placé à l'arrière d'une limousine conduit par un des gardes de ton père qui te surveillait comme un animal en cage et te maintenant en laisse pour ne pas que tu t'échappes de la demeure familiale. Dire que cette idée ne t'a pas traversé l'esprit, se serait te mentir à toi-même. Oui, une fois tu as voulu sortir, seule, pour prendre l'air faussement crée par ce dôme mais malgré ça, cet air t'aurait permis peut-être de te libérer, de t'évader hors du contexte de l'éducation de ton paternel. Cependant, tu aimes ce que tu apprends et tu ne peux lui en vouloir que tu sois un citoyen voir même un être d'un rang plus haut. Il t'aime, oui, car il ne veut pas que tes jambes t'empêchent d'atteindre un rêve ... Mais quel rêve ? En as-tu un ? Peut-être pas aujourd'hui mais demain, peut-être en auras-tu un. Tu pouvais pensé à tout et n'importe quoi pour passer ton temps durant ce trajet qui allait changer ta vie alors que tu ne t'en doutais pas.


Cette heure qui t'étais indiquée par ton chauffeur te rappelant aussi que tu allais être en retard pour cette première séance. Et oui, ça n'allait peut-être pas être la dernière mais tout ne dépend que de toi, et tu le sais bien. Tu sortis, enfin on te sortit de cette en te déposant sur cette chaise aux roues grises, ton unique moyen de déplacement à chaque fois, tu ressentais un pincement au cœur mais tu ne laissais rien paraître malgré ta certaine peine. Tu venais de pénétrer à l'aide de ce chauffeur qui te poussait jusqu'à plusieurs portes coulissante, la première qui était celle de l'entrée, l'autre celle de l'ascenseur qui te mena à trois étages plus haut pour enfin atterrir devant une porte où le nom de «Dr. Sanchez – Thérapeute». Cette porte qui était faite encore de bois et non d'un métal qui couvrait une majorité du dôme. Lorsque tu arrivas devant bureau avec une femme qui s'y trouvait juste derrière, le gentil homme s'en alla précisant qu'il attendrait dans la salle prévue pour cet effet. Pendant, ce temps d'attente, un silence s'était fait dans la pièce ou tu te trouvais avec ce Docteur tout ce que tu pouvais distinguer comme bruit, c'était le tic-tac de l'horloge et parfois une feuille de papier que bougeait la dame devant toi.

«10h45...» - Tes larmes

Tu n'en pouvais plus de ce silence et de cette attente mais au moment ou tu essayas d'ouvrir la bouche, la thérapeute vint t'interrompre en commençant un discours sur toi-même, décrivant ton âge, tes hobbys et même une partie sur ton triste accident qui t'avais rendu dans cet état ainsi que quelques détails sur ta propre mère qui avait péri dans cet accident de voiture où tu étais la seule survivante parmi les deux passagers. Tu te mordis les lèvres fermant tes poings sur tes genoux invalide et les fixant sans aucune raison ou peut-être que si, tu en avais une. Tu te retenais de pleurer revoyant ces images jugées horrible pour ton mental mais pourtant ces fines gouttes d'eau commencèrent à couler humidifiant tes yeux et tes joues. Lorsque tu repris ton esprit, tu venais souffler quelques mots sans aucun sens en tant normal mais aujourd'hui, à cet instant même, ça avait de la cohérence. «Je ... Je suis ... Désolée ! Si ... je n'avais pas fait ce caprice, elle serait encore vivante !» Tu venais t'essuyer tes deux yeux avec la paume de tes mains mais tu ne t'arrêtais pas de verser tes larmes. Tu t'en voulais. Tu le regrettais. Sa mort était due à un de tes caprices rares. Tu continuais à dire ce que tu avais sur son petit cœur brisé depuis ce jour. «Si j'avais attendu ne serait-ce qu'une heure, elle serait encore là ! Je suis ... Celle qui l'a tué ! Mes jambes mortes ne sont que ma punition de l'avoir tuer ! J'assume ces conséquences, je ne mérite que ça ! Je sais que Père m'en veut ! Il aurait préféré que se soit moi qui meurt ! J'ai bau étudier comme il le souhaite, travailler durement ou encore faire la petite fille modèle mais rien ne lui convient ! » Tu respirais mal à cause de ces émotions qui te submergent sans aucune raison, la dame en face de toi n'avait pas fait grand chose pourtant mais bizarrement, tu te sentais bien en sa compagnie te donnant cette impression que tu peux tout lui dire sans un regret sans un regard méprisant ou bien qu'elle te juge par tes deux jambes. Peu te changer était comme et tu le savais. Pourtant dans ta triste vie tu en rencontras, peut-être pas aujourd'hui mais demain, peut-être. Elle venait te réconforter, pas physiquement mais verbalement que tu écoutas malgré tes larmes froides qui glissaient le long de tes joues, encore. « Mais crois-tu qu'elle voudrait que tu sois dans cet état ? Crois-tu qu'elle aurait voulu te voir mourir sous ses yeux ? Il n'y a rien de pire pour une mère que de voir son propre enfant à mourir avant elle. Si ton père ne t'aimait pas, aurait-il penser à t'envoyer me voir ? Peut-être, oui, qu'il n'a pas pris de temps pour t'accompagner jusqu'ici mais pour ton bien il doit continuer son travail pour assurer ton avenir et que tu ne manques de rien tout comme parents respectable.» Tu relevais la tête vers cette femme gardant tes deux mains sous tes yeux qui venaient d'arrêter de pleurer. Personne ne t'avait parler ainsi. Peut-être est-ce futile, peut-être est-ce idiot mais cela venait te réconforter.

«11h00 ...» - Ta réflexion


L'horloge venait à sonner après quelques minutes de réflexion de ta part repassant en boucle les paroles dernièrement entendues et entrant dans la peau d'une mère, de ta mère. Toi aussi, à sa place tu aurais pas voulu voir ta propre fille mourir sous tes yeux. Tu venais d'afficher un air plus apaisé, plus tranquille ayant cette idée en tête et d'un chuchotement, tu venais confirmer les mots de la dame qui venait de dessiner un sourire sur ses lèvres.
«Oui, vous avez raison ... »
Même tes doutes sur ton père étaient décimés. Tu te mordillais toujours tes fines lèvres mais plus pour les mêmes raisons qu'il y a une demi heure de cela. Tu redressais doucement la tête avec un regard tout de même un peu douteux car tu ne savais pas si tu en serais à la hauteur de tes pensées mais tu le voulais et tu voulais aussi te faire pardonner auprès de ton père. Cependant, tu n'oserais pas lui dire ça en parole, alors tu te promis une chose, un but, un rêve que tu réaliseras pour ton père, pour ta mère et surtout pour toi. Tu fis par de ta volonté à ta thérapeute. «Dr. Sanchez ! Je vous promets une chose ...» Tes doutes se faisaient malgré tout entendre dans tes mots. «Quoi donc ? Appelle -moi, Yasmine ! Je préfère et puis, je suis pas si vieille que ça pour qu'on me vouvoie !» Dit-elle souriant toujours et riant même un peu à ses paroles. Tu venais finir cette phrase qui finira aussi cette séance qui sera au final, ta dernière séance, toi, qui doutait tant de revenir ici. «Je promets ... De ... De réaliser un souhait ... celui de me faire pardonner auprès de mon père mais aussi un rêve, celui de réussir mon avenir en suivant mon propre avis, mes propres désirs ...» Sur ces derniers mots, quelqu'un frappa à la porte et entra après le «entrée» du Docteur. C'était encore ce majordome que tu vis sous tes yeux humidifiés et rouge. Tout redevenait comme si rien ne s'était passé. Tu t'en allas avec ce garde qui te ramenait chez toi retrouvé ton père et tu lui fis comprendre d'une certaine manière que tu allais changé. Étrangement et lointain, tu avais vu ton père sourire mais tu n'en étais pas certaine mais tu te laissas y croire. Les années passèrent ...

«26 janvier 2098 à 15h37» - Ton actualité


Aujourd'hui, tu étais entrain de lire un livre, un livre dont tout t'y intéressait. C'était un livre de philosophe, de poètes ou artistes connus dans le passé. Ces derniers t'avaient ouvert ta passion et qui allait te permettre de faire un travaille d'un niveau plus bien inattendu mais que tu désirais, celui de devenir une ministre voulant le bien des personnes du dôme. Cependant, il te restait un sacré chemin à faire avant d'y arriver. Tu devais certainement encore faire quelques rencontres qui vont changer ta vie, peut-être même tes décisions. Le destin seul choisira ton avenir que tu le veuilles ou non. Le supporteras-tu ?
Veux-tu te décrire physiquement?;

Tu n'es pas bien grande sur ta chaise roulant mais pourtant si tu étais debout tenu par des jambes bien vivantes, tu ferais la taille de toute jeune fille à ton âge, c'est-à-dire dans les 1m69. Ton poids n'était pas bien élevé déjà que tu perds un peu de poids car tes jambes ayant des muscles moins gros. Cependant, ta poitrine venait rattraper ce poids perdue, un 85D mais tu gardais une taille fine avec des courbe généreuse que se soit ta poitrine, ton ventre plat ou encore ces fesses rebondies. Pourtant malgré ces formes, tes jambes te complexées depuis toujours mais parfois, dans un allant de courage tu y arrives à faire face. Ton visage était agréable à regarder, il était rond d'une peau très légèrement brune. Tes lèvres étaient fine de couleur quelque peu plus foncé que ta peau allant dans le rose, ton petit nez était d'une banalité que rien ne changeait dans ce doux visage qui laissait paraître un regard brun. Tes cheveux étaient du même ton que ton iris pourtant ton épiderme ressortait ces deux parties de ton visage. Lorsque des pommettes rouges et un sourire s'y dressent peut faire ressentir une certaine joie de vivre que tu as eu beaucoup de mal à avoir. Bien que cette joie ne soit pas aussi parfaite que tu le voudrais.

Ton style vestimentaire n'est pas bien compliqué. Tu aimes beaucoup tout ce qui est décolleté, dos nageur ou encore les bretelles. Tu aimes aussi les jupes, les shorty ou même des jeans ayant des petits effets supplémentaires comme des pliures ou des trous créaient à cet effet. Tu te maquilles parfois bien que tu ne supportes pas ça, tu n'en mets que pour les grandes occasions lorsque tu y es vraiment obligée soit pour faire plaisir à ton père soit par juste plaisir ce qui t'arrive rarement. Mais en as-tu vraiment besoin ? Seul les autres te le diront et te le confirmeront.

Te sens-tu bien psychologiquement ?;

A comme ambitieuse et audacieuse. ▬ Tu es quelqu'un de très ambitieux car ton désir d'atteindre un certain niveau et un certain métier te motive malgré des quelques handicapes que tu ne fais pas toujours face à ça par juste timidité. Tu en rougis lorsque quelqu'un te parle ou te regarde mais tu ne fais juste que dévier ton regard et continue ton trajet maintenant étant plus libre qu'il y a 7 ans. Tu oses même sortir dans les villes parfois ton père t'oblige à être sous la surveillance d'un garde du corps lorsqu'une nouvelle lui arrivait aux oreilles mais tu ne pouvais pas lui en vouloir, c'était contre ta nature, bonne ou mauvaise, de dire toujours «oui». T Bien étonnement, lorsque tu le voulais, tu pouvais te montrer audacieuse lorsque quelque chose hors du contexte de tes jambes comme la poésie ou encore la photographie, tu aimais qu'on critique que tu critiques top-même car cela pouvait t'aider à t'améliorer, on pourrait dire que tu es perfectionniste.

C comme coléreuse, créative et curieuse. ▬ Tu aimais savoir des choses même quand celle-ci ne te regardait pas. Parfois, tu laissais passé, parfois tu t'énervais sans pour autant avoir ta réponse alors tu préfères exprimer cette colère via des textes poétiques ou non que tu écrivais. Cependant, il t'arrivait – plus souvent -de lire des textes de d'autres personnes connues qui te faisait évader et te calmer. D'autres fois, tu n'écrivais pas, tu ne lisais pas mais tu photographiais les paysages que tu rencontrais dans ce dôme fait de faux.

I comme impatiente et intelligente ▬ Ta colère est peut-être dû au fait que tu sois une impatiente mais tu le vivais bien, tu t'habituais à toi-même, parfois, tu avais quelques regrets à tes gestes mais au final, ils s' avéraient utile. Tu n'étais certes, pas un génie mais tes livres qui se trouvaient dans ta bibliothèque immense te donnait cet air, du moins, c'est ce que dit les quelques amis ou autres de ton père qui te complimente pour jouer au jeu des «lèches-bottes».

M comme maladroite et méthodique ▬ Tu es maladroite dans tes gestes particulièrement car ils en sont restreint et tu n'étais pas essentiellement forte dans tes bras, tu restes une femme après tout mais pourtant tu es méthodique, tu aimes que les choses soient à leur place, on peut te décrire de maniaque.

R comme rationnelle ▬ Tu n'exclus pas la possibilité des choses dite irrationnelles mais lorsque c'est possible de démontrer, tu ne te gênes pas à faire tes recherches.

S comme sensible, simple, sociable et susceptible ▬ Tu es sensibles comme tout être de chair l'est, de quoi des plus normale mais parfois tu prends les choses trop au pied de la lettre. Tu n'en restais pas moins sociable et simple lorsque des enfant de snobes venaient, tu étais l'enfant qui ne prenait pas la grosse tête contrairement à certains mais tes parents ne le sont pas non plus et te donnèrent une éducation comme tout jeunes normaux. Tu n'es pas aussi formel que l'est certains enfants avec leur parent mais ce n'est pas pour autant que tu ne respectais pas ton père ou même tes gentils hommes.

Qu'est-ce que tu voudrais être dans 10 ans ?;



«30 avril à 17h57» - Ton avenir.


Tu t'ennuyais en ces heures longues, tu n'avais plus la tête à étudier, à écrire ou encore à photographier. Tu venais à lever tes yeux de ton livre pour les diriger vers ton fenêtre ouverte laissant encore les quelques rayons du soleil qui commençaient déjà se coucher et donnant une lumière toujours aussi lumineuse quand journée. Tu ne savais pas pourquoi mais tu repensais à ce que tu voulais faire d'ici dix ans car devenir ministre n'était pas aussi simple, les études sont de rigueurs pour ça malgré que tu ais commencé une partie grâce à ton père qui te soutient même si au fond de lui, c'était son rêve que tu deviennes quelqu'un de la Haute Sphère car lui aussi en faisait de ces gens. Il est une personnalité du monde des affaires, plutôt connu pour ces bonnes ventes.

Tu te demandais si tu arriveras à ton but comme promis à Yasmine du moins, si c'était le cas, tu commenças à t'imaginer comment ça serait. Tu n'auras certainement pas un moment de repos à te consacrer ni à ton homme si tu en trouves un qui veux de toi tel que tu es mais tu ne pensais pas que se soit possible ce genre de chose étant donné que le dôme est rempli de gens faux, tu t'en rendais compte parfois malgré tes projets. Tu voyais trois types de personnes soit ils seront avec toi, soit sans toi soit ils s'abstiendront. Tu ne pouvais éviter ce genre de situation car tout bonheur, paix ou rêve chacun à sa conception de ces trois idéaux que tu pouvais affirmer ayant lu différents ouvrages et d'auteurs différent. Chacun s'exprime à leurs manières soit en jouant avec les jeux de mots, soit implicitement soit clairement qui étaient le plus souvent, le moins apprécié. C'est ce que tu constatas par toi-même lorsque tu n'as rien d'autres à faire.

Mais pourtant pourquoi l'homme devrait s'imaginer et se construire son propre avenir alors qu'il n'a aucun effet sur la suite des évènements. En fait, pas toujours. Lors d'un choix entre plusieurs possibilités t'ouvraient plusieurs portes tantôt un te propose qu'une solution tantôt il t'en donne trois tantôt il t'en donne aucune et cette solution n'est d'autre que celle de la mort. Celle que tu redoute temps lorsqu'on te parle de meurtres, d'accidents ou autres mais au final, la mort te suivra jusqu'au moment où tu auras décidé de prendre cette porte. Cependant, la mort te guette et choisit parfois de te tuer maintenant par simple ... caprice ? N'est-ce pas aussi un caprice de vivre ? On blâme les gens quand il parle de suicide mais est-ce réellement un tord ? Après tout l'homme n'a pas demandé à naître tout comme il n'a pas demandé d'être créer, de respirer ou encore de parler. L'homme n'est qu'un caprice et une marionnette de dieu qu'a crée pour se divertir lui-même. Tout à une fin et la fin de ces êtres de cher ne tardera plus.



Dernière édition par Solenn Travendel le Lun 30 Avr - 17:54, édité 1 fois
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Arwenn Lackshaman
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Arwenn Lackshaman


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☆ Sexe : Féminin
☆ Métier : Capitaine de la 2nd divisions terrestre / stripteaseuse.
☆ Logement : Maison close. °°
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MessageSujet: Re: .: Solenn Travendel | Rien n'arrive jamais sans cause. :.   .: Solenn Travendel | Rien n'arrive jamais sans cause. :. EmptyLun 30 Avr - 17:17

Pas de bienvenue pour toi ! 8D
Puisque c'est Re-bienvenue ! XD

XX XXXX XXX dans 1 ans tu auras ton matricule ! :)

Bon tu connais la chanson ? Demander une habitation si tu le souhaite et puis faire de beau petit rp. *^*
En plus tu as personnage, hors-norme et pas simple à jouer !
Bonne chance ma chouquette !!!! <3<3
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.: Solenn Travendel | Rien n'arrive jamais sans cause. :.

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