Après plus d’une quinzaine de minutes, à traverser la ville, car disons-le, le bar et la capsule scientifique est assez éloignée. Dire que ça va faire plus de 20 ans, que je n’ai pas remis les pieds ici. En fait, j’y suis allée seulement lorsque je suis née et pour les quelques examens qu’il y avait à faire alors autant dire que je ne me rappelle pas du tout de comment cela peut-être à l’intérieur. Bref, une fois arrivée là-bas, toujours en compagnie du jeune homme qui n’a montré aucune sympathie réelle si on peut vraiment expliquer comme ça. En tout cas, le chemin s’est fait en silence, voilà de ce que j’en tirais comme conclusion. Donc une fois arrivée à la capsule, je m’avançais vers l’accueil pour expliquer en bref, comment je m’étais cassée une côte et voyant mes hématomes, l’hôtesse d’accueil m’a demandé de m’assoir un instant dans la salle d’attente, le temps qu’un médecin vienne. Mon sauveur à la capuche étant toujours là, j’en profitais pour le regarder et lui faire un petit sourire avant de lui adresser la parole :

« Merci de m’avoir accompagné jusqu’ici. Si vous voulez partir, vous le pouvez. Je ne vous oblige pas à rester encore un peu plus avec moi. »

Je m’assis tranquillement sur l’un des fauteuils, attendant qu’un médecin vienne me prendre en charge, même si je n’en ai pas du tout envie. A bien y regarder, c’est plutôt sobre, bah comme dans un hôpital tout à fait normal. Des malades par-ci, par-là etc… Ce fut qu’une demi-heure plus tard à peu près qu’un médecin fut enfin venu pour me prendre en charge. Je fis un signe au jeune homme puis partis avec le doc. J’eus droit à toutes sortes d’examen médical, enfin surtout une radio vu que c’était un os qui était cassé. Bien sûr, une opération était de mise et il fallait à présent qu’un bloc se libère. On m’attribuait alors une chambre où je fus bien obligée de rester et je ne sais pas si le jeune homme qui m’accompagnait, est toujours là ou pas. En tout cas, je devais rester tranquillement dans ce lit sans bouger, sous peine d’aggraver encore un peu plus ma côte brisée. Quelle misère franchement u_u.
Ayant le temps, je regardais alors cette chambre d’un peu plus près. Enfin, j’étais plutôt tranquille, j’étais toute seule dans la chambre donc aucune possibilité qu’il y ait un malade chiant. En tout cas, cette pièce était toute blanche… trop sobre à mon goût… Il y avait quelques armoires avec bien sûr des médicaments et tout le nécessaire. Trop hôpital…

Comme il le lui avait promis Ulrik avais suivi Even tout le long du trajet jusqu’a l’hôpital pour sa sécurité, car comme tout le monde le sais les rue ne sont pas sur mais alors le soir c’est encore pire il faut faire gaffe a tous les coins qui ce présente, mais bref Ulrik n’était pas tellement habituer a sortir le soir vu que la plus part du temps il n’était même pas au dôme mais plutôt en observation, exploration dehors mais si il pouvait survivre a toute les ‘horreur’ qui se trouvais hors des frontière qu’était la bulle du dôme, sa ne serais surement pas quelque bête civile armé de ‘coupe papier’ qui lui ferais peur. La dixième ou vingtième de minute que dura le voyage se passa finalement sans problème, bien qu’il senti des ‘mauvaises’ présences mais rien de grave elle disparaissait aussi vite qu’il apparait surement grâce a la carrure d’Ulrik.

Lorsque la grande porte de l’hôpital s’ouvrir, Ulrik en pris plein les narines, il pouvait sentir l’odeur du sang beaucoup plus loin dans l’hôpital, des malades dont il pouvait pour certain dire de quoi ils étaient atteint alors que pour d’autre ce ne fut pas le cas mais c’était normal puisqu’il n’était pas médecin même loin de la, il n’avait que des connaissances de base dans le domaine de la médecine. Il pouvait aussi sentir que quelque part dans le coin une personne qui devais avoir deux ou trois ans que lui tout au plus mais avait une des jambes nécrosé, c’était d’une telle odeur dégoutante a ses narines qu’a côté de sa l’odeur de la cigarette ressemblais a du parfum de vieille personne, bien que cette odeur était toujours désagréable pour lui. Mais encore une fois il essayait de pensé a autre chose pour accompagner Even et ne pas la laisser seul bien quel sois assez adulte pour se débrouiller toute seul il préféra rester avec elle et la suivre tout en restant silencieux.

Even était maintenant assise dans la salle d’attende comme le lui avait demandé la réceptionniste, Ulrik ce tenait non loin d’elle debout limite au garde a vous mais en un peu plus décontracter et toujours sa capuche sur la tête, décidément il ne la retirerait pas. La salle d’attende était silencieuse par moment une personne ou deux toussais ou parlais a vois basse entre elle, Ulrik ‘s’amusa’ si on peut dire à écouter leur conversation bien quel ne fut pas intéressante puis il entendit Q’Even lui parlait. « Merci de m’avoir accompagné jusqu’ici. Si vous voulez partir, vous le pouvez. Je ne vous oblige pas à rester encore un peu plus avec moi. » Ulrik tourna alors lentement la tête vers elle pour la regarder, laissant encore une fois un silence s’installé réfléchissant ou pas a une réponse a lui donner puis sans s’en rendre compte une demi-heure venais de passé et il ne lui avait toujours pas donner de réponse et il ne le pourrait surement pas avant un très long moment car un médecin venais d’arrivé et pris Even avec lui qui d’ailleurs fit un signe a Ulrik qui resta seul dans la salle d’attende.

Ulrik aurait pu rentrer chez lui se coucher ou faire autre chose comme il venait d’être laissé seul après tout… mais ce n’était pas de sont genre de laissé quelqu’un de blessé seul tant qu’il n’était pas sur que cette personne serais guéri, donc Ulrik chercha l’odeur d’Even dans tout l’hôpital et eu assez de mal a la retrouvé a cause de toute les odeurs les une plus forte que les autres, il ferma alors les yeux un court moment pour ce concentré pour trouvé l’odeur parmi les milles qui était présente en ce lieux, ce qui ne fut pas chose facile mais il réussi quand même au bout de cinq longue minutes. Une fois l’odeur retrouvé et imprégner il remonta la trace jusqu'à sa propriétaire.

Ulrik déambulais telle un chasseur cherchant sa proie dans la bâtiment, au bout de dix minutes de marche Ulrik arriva devant une porte qui cachait l’odeur d’Even, il toqua alors a la porte et n’attendit pas qu’elle lui dise d’entré pour le faire, il referma la porte derrière lui et la regarda coucher sur un lit tout seul dans la pièce. « Je ne vous dérange pas Even R. Stark ? » Il s’approcha d’elle « Si vous voulez que je parte dite le moi. » puis il resta debout a côté d’elle.

J’étais alors dans cette chambre, entrain d’attendre comme une conne si l’on peut dire ça, que quelqu’un vienne me voir. J’entendis à travers la porte des voix de personnes qui avaient l’air souffrante ou encore la voix gueularde des infirmières entrain de s’organiser. J’étais sur mon lit les jambes recroquevillées, bien que ma côte me fasse mal. Je me demandais dans combien de temps on allait bien pouvoir m’opérer et que j’allais enfin pouvoir sortir d’ici. Je n’ai jamais été très à l’aise avec les hôpitaux, même si ce n’est que ma seconde fois réellement que je suis amenée à y aller. Le jour de la naissance étant un jour comme ça, on ne s’en rappelle pas donc cela ne sert à rien de le compter dedans. Alors que je me perdais dans mes pensées, la porte toqua. Je fis un petit « Entrée », croyant que ça allait être le jeune homme qui m’a accompagné jusque ici mais pas du tout ; c’était une infirmière qui venait me brancher une perfusion parce que j’allais me faire opérer dans pas moins de 40min. Je me fis par la même occasion engueuler par cette même personne car j’étais censée être couchée dans le lit et pas assise, les jambes pliées.
Après, on s’étonnera que je déteste les hôpitaux. M’enfin, je la laissais faire son petit speech, me perdant dans mes pensées quelles qu’elles soient inutiles puis quand elle eut fini, je la regardais partir avec un grand sourire plutôt. Retournant alors à une chambre vide, occupée par une seule personne… C’était à mon goût un peu trop calme mais bon. Environ dix minutes plus tard, où j’eus le temps de me lever pour aller fouiller dans les armoires à médicaments, j’entendis une nouvelle fois un « toc… toc… » J’eus juste le temps de retourner m’assoir, même me coucher dans le lit que la personne ouvrit la porte. On ne sait jamais si c’est encore l’infirmière mais non, là, c’était le jeune homme qui était avec moi depuis ce midi.

« Je ne vous dérange pas Even R. Stark ? » Il s’approcha d’elle « Si vous voulez que je parte dite le moi. »

Je le vis donc s’approcher près de moi et rester debout tout en me regardant. Je le regardais toujours puis souriais et me redressais un peu sur mon lit ; ah ce que je déteste ces lits. J’ai vraiment hâte de retrouver le mien d’ailleurs.

« Non, non au contraire. Un peu de compagnie est toujours la bienvenue. On m’a dit que j’allais être opérée dans moins de 40min, juste pour une vulgaire côte brisée >.< »

Ouais, surtout que d’après ce qu’on m’a dit, ça sert à rien de se faire opérer pour une côte cassée… juste se reposer… pourquoi je me suis décidée à venir moi ; c’était bête en fait mais bon… En même temps, c’est ce jeune homme, présent près de moi qui m’avait conseillé d’aller à l’hosto pour me la faire soigner donc, je n’ai pas à lui en vouloir, même pas du tout. Je le regardais toujours puis jouais en même temps avec mes doigts. Je n’avais pas grand-chose à dire, étant donné que là, bah on était dans un hôpital déjà, que y’avais rien à faire et que j’avais un trou pour que les mots ne sortent plus, jusqu’à que quelques minutes, plus tard, une bonne dizaine, je relève la tête vers lui pour enfin lui demander quelque chose :

« Au fait, je n’ai pas eu souvenir que vous m’ayez dis votre nom ; vous vous appelez comment ? »

Je restais souriante malgré que cette foutue côte recommence à me faire mal. Je devrais éviter de trop rire ou ce genre de chose. J’ai déjà eu du mal à me lever sans grincer des dents tout à l’heure alors… je n’imagine même pas ce que ça va être quand je serais revenue du bloc. Je ne pense pas qu’ils me fassent grand-chose, sûrement retirer les petits morceaux de la côte qui se sont un peu éparpillé dans mon corps vu que ces sales types m’ont vraiment bien amochée et que malheureusement, j’ai les os un peu fragile. Et bien, une demi-heure plus tard, deux aides-soignants rentrèrent dans ma chambre pour venir me chercher. Je n’aurais même pas eu ma réponse quant à son identité… Et bien, tant pis, cela attendra que je sois réveillée, dans cette chambre, enfin s’il est toujours là à mon retour. Je lui fis un petit sourire accompagné d’un signe de la main et hop, go pour la table d’opération.


[Quelques heures plus tard] –

Me voilà de retour dans ma chambre, bandée au niveau du ventre et entrain de mieux me réveiller. Dans le coltard complet, je vis seulement la silhouette du jeune homme. Il était donc là, j’étais en quelque sorte rassurée. Cela avait pris autant de temps de m’enlever trois quatre petits bouts de côte cassée par ci par là, dans le corps ? Enfin bref, le seul truc que je ressentis ce fut une interminable et forte douleur au niveau de ma côte. Je ne pus m’empêcher de faire quelques grimaces de douleur, attendant qu’on m’administre enfin un antidouleur. Le temps qu’on me fasse tout un bazar de recommandations etc… je me concentrais plutôt sur le jeune homme et le regardais, droit dans les yeux ? A vrai dire, je ne peux pas dire, sa capuche le camoufle vraiment mais certes, je le regardais.
Puis me faisant une fois de plus engueulé par l’infirmière parce que je n’écoutais pas vraiment, je soupirais puis l’écoutais d’une oreille plus attentive cette fois-ci.

« Mlle Stark, vous allez en avoir pour un peu plus de 3 semaines. Repos total imposé. »

« Et mais, je ne peux pas laisser mon bar fermé ! Je n’ai qu’une seule employé et elle risque d’être débordée. »

« Je n’en ai rien à faire de cela Mlle Stark, vous serez en convalescence chez vous, comme une gentille fille. Un point, c’est tout. »

Comme une gentille fille… je lui en aurais foutu des claques si j’avais pu >.< Ce n’est pas vrai, je ne suis pas une gentille fille ! Merde mais pourquoi, je cherche une excuse, je n’ai plus 15 ans merde quoi. Une fois que l’infirmière partit après qu’elle m’ait dis que je pourrais sortir dans environ 3h, je soupirais de bien être, puis restais en fait tranquillement couchée dans le lit parce que j’avais mal, beaucoup plus mal que tout à l’heure. Je regardais de nouveau le jeune homme puis fis un petit sourire :

« J’aimerais voir votre visage, vous me le montrez ? »

Lui avais-je demandé plutôt innocemment.

Ulrik était maintenant dans une pièce seul avec la jeune Even, Si il avait eu une mission qui aurait eu pour objectif de l'éliminer, il aurait pu le faire a cette instant car la chambre ne pouvais accueillir que un patient et une très petite quantité de personne autour d'elle, les murs avaient l'air épais ainsi que la porte ce qui signifie que si il faisait du bruit a moins que quelqu'un ai l'oreille collé a la porte ou au murs personne n'entendrais, il y avait plusieurs grosses armoire dont il il aurait facilement pu utilisé et bloquer les portes après y avoir mis le cadavre et dans le pire des cas il y avait une petit fenêtre qui lui permettrait de s échapper. Mais Ulrik n'était pas présent pour sa, contrairement a ses habitude cette fois il était la pour la bien de la personne présente dans la pièce, mais la jeune femme lui parla et le fit quitté sont moment.

« Non, non au contraire. Un peu de compagnie est toujours la bienvenue. On m’a dit que j’allais être opérée dans moins de 40min, juste pour une vulgaire côte brisée >.< »

Suite a la phrase d'Even il sourit a l'ignorance de celle-ci enfin, du moins il pensait que c'était de l'ignorance. Sans répondre a Even malgré qu'il en avait envie Ulrik se déplaça jusqu’à la fenêtre et regarda dehors, mais dehors il n'y avait rien a voir la chambre ou il se trouvais donnais juste une vue sur un bâtiment qui bloquait a moitié les rayons du soleil du moins quand le soleil se montrai mais vu qu'il était tard, ce ne fut pas le soleil qu'il bloquait mais plutôt la lune. Après avoir regarder quelque seconde le bâtiment d'en face il décida enfin de répondre sans se retourné même si il ne le devait pas.

« Une blessure au cote peut être mortelle si l'on na pas de ... 'chance' Even R. Stark. » Il laissa un moment de silence et se tourna pour la regarder. « Imaginer que cette cote se serais brisé en morceau, vous auriez pu avoir des organes déchiré a cause de cela, et c'est beaucoup plus difficile a guérir que ce que vous avez. »

Avait t'elle entendu ce qu'il venait de dire ? sa il n'en savait rien une nouvelle fois, car il la vu entrain de joué avec ces propre doigts tout en le regardant. Un long silence se présenta a eu Ulrik en profita pour bouger de nouveau et revenir près d'elle et ne remarqua que maintenant que la jeune fille avait plusieurs voir de trop nombreuse mèches rose sur sa chevelure blonde, ce qui la mi plutôt bien en valeur pensa t'il mais sans le lui dire ou le lui montré.

« Au fait, je n’ai pas eu souvenir que vous m’ayez dis votre nom ; vous vous appelez comment ? »

Ulrik faisais face a un problème mineur a présent en temps normal il ne pouvait pas donner sont identité car au yeux des citoyens du dôme il n'existait officiellement pas, sont existence n'était connu que par les haut placé et autre militaire, et lorsqu'il pouvait donner sont identité celle-ci était une fausse, il resta bloquer un moment sans ne rien répondre a la jeune femme comme déconnecter du monde comme si il était en pleine réfection, mais ceci stoppa lorsque deux aides-soignants rentrèrent dans la chambre pour emmener Even avec eu, L'un des homme qui était venu chercher Even expliqua a Ulrik qu'il pouvait resté ici et attendre le retour d'Even dans Deux ou trois heure ou alors rentré chez lui puis parti sans attendre de réponse.

Ulrik avait décidé d'attendre le retour de la jeune blonde dans la chambre, mais ne sachant quoi faire il enleva sont haut, le mit sur le fauteuil qui se tenait a coté du lit et se mit a faire quelque exercices de musculation (pompe,Abdo,etc.) dans un coin de la petite pièce mais il ne le fit pas bien longtemps, deux heure tout au plus car la question sur sont identité lui trottait dans la tète depuis tout ce temps l’empêchant de se concentré sur ce qu'il faisait, il s’arrêta alors totalement et alla se mettre assis a même le sol devant la fenêtre recevant les quelque Rayon de la lune qui arrivais a passé sur le coté du fichu bâtiment, Ulrik ferma lentement les yeux, expira un bon coup et commença a faire le vide dans sont esprit comme le lui avait appris les vieux instructeur lors de sont apprentissage et oui, Ulrik était entrain de méditer.

[Plusieurs heures plus tard]

Ulrik avait arrête de médité depuis quelque minute et avait décidé qu'il ne donnerais pas sont vrai nom ou du moins qu'il ne le donnerais pas entier que la porte s'ouvris et laissa entré un brancardier, et un médecin ainsi que le corps endormi de la jeune Even allonger sur un lit de transport, il se mit alors de coté pendant que les deux hommes firent leur travail et déposaire Even en délicatesse sur sont lit, avant de partir l'un des hommes expliqua cette fois quel mettrait quelque minutes pour se réveiller de l'opération puis parti en claquant la porte comme un gros...imbécile. Ulrik revenu alors en direction d'Even encore endormi et se posa sur le siège a coté d'elle et attendit quel se réveil.

Ce ne fut qu'une bonne dizaine de minute plus tard que la jeune fille émergea de sont sommeil et comme si elle était au courante de cela une forte infirmière arriva et commença a expliquer des chose a Even, bien q'Ulrik ne fit pas vraiment attention a elle il pu sentir a l'odeur désagréable quel dégageais que cette femme était en quelque sorte la chef des infirmières ensuite a sa façon de parler qui était... disons très autoritaire, il se risqua alors un coup d'oeil vers elle et en un coup tout ce qu'on lui avait dit sur les infirmières se brisa bien qu'il n'était pas du genre a être intéressé par cela, il se demanda a quoi les autres femme travaillant ici pouvait ressemblé ... vu a quoi ressemblait leur supérieur elles ne devaient pas être de toute beauté. Il revenu a lui lors quelle commença a crié sur Even, lorsqu'il entendit sa voix Ulrik compara tout de suite la femme a la créature mythique appelé "ogre" elle avait toute les deux la même disgrâce dans la voix et plus ou moins la même apparence, Il écouta les deux femmes se chamailler car "l'ogre" ne voulais rien savoir sur le commerce d'Even et quand a Even elle ne voulais pas resté trois semaines au repos car elle travaillait seul avec de temps en temps une employer a temps partiel et elle avait peur quel sois déborder par le travail.

La grosse femme venait de partir et Ulrik regarda Even qui lui faisait un petit sourire, il se demanda ce quel lui voulais mais ne savait pas comment le lui demander donc il ne dit rien et se contenta de la regarder jusqu’o moment ou elle ouvrit sa bouche. « J’aimerais voir votre visage, vous me le montrez ? » Lui demanda t'elle innocemment. Ulrik hésita un court moment, après tout montré sont visage n'était pas interdit contrairement a l'identité, il mit les deux mains sur les coté de sa capuche et la retira dévoilant ainsi pour la première fois sa courte chevelure blonde hérissé sur sa tête, ces yeux bleu clair sont nez ainsi qu'un gros casque qui était posé sur ces oreilles, et oui depuis tout ce temps il écoutait de la musique que lui procurais le casque, mais ce n'était pas non plus un casque ordinaire, il avait été fait sur mesure pour lui, un humain normal ne pouvait pas entendre ce qu'il y passait seul quelqu'un avec un sens de l'ouïe comme la sienne en était capable et encore il fallait comprendre. Bref Ulrik était a 'nu' devant Even mais malgré qu'il était ainsi il garda son air menaçant pire encore comme il n'avait plus rien pour cacher le haut de sont visage il avait l'air encore plus menaçant que dix minute avant.

« Voila ... J’espère que vous n'éte pas déçue. » Dit'il tout en l'observant pour voir sa réaction et tout en restant a distance respectable entre eu en oubliant totalement de lui dire sont 'identité' puis tout en continuant de l'observer il s'approcha finalement un peu et lui demanda ce quel comptait faire pendant les trois heure d'attende ici.

J’étais alors tranquillement couchée sur mon lit d’hôpital et regardais toujours le jeune homme. Apparemment il ne voulait pas me décliner son identité (=dire) car il restait silencieux pendant quelques minutes. Je le regardais ensuite mettre ses deux mains sur sa capuche pour la retirer. Le voilà enfin à ‘nu’ devant moi. Un visage pour le moins effrayant et surprenant. Il avait des cheveux courts blonds taillés en piques avec la mèche de devant tombant sur son front. Je pouvais ainsi voir une cicatrice à son œil droit en forme d’éclair, des yeux bleus ressortant un regard très menaçant. Il y avait également un casque sur ses oreilles en forme de piques, sûrement taillé spécialement pour lui. Cela m’avait quelque peu chamboulée car son regard perçant et menaçant pouvait déchirer l’abyme en un instant. Je ne saurais dire si j’avais dû baisser le regard pour éviter son regard noir ou au contraire, le soutenir.

« Voila ... J’espère que vous n'étes pas déçue. »

Je ne saurais dire ce que je ressentais exactement mais ce n’était pas une expression déçue. Presque comme de la peur. Cela me rappelle quelques histoires comme ça où vous tombez sur beaucoup plus fort que vous avec un regard à en vous déchirer la rétine et que vous ne savez vraiment pas quoi faire dans ces cas-là à part baisser le regard évitant de l’affronter parce que ça vous glace le sang… là, j’ai envie de dire, c’est presque pareil. Je le vis ensuite s’approcher de moi et essayais de prendre une expression plutôt calme, sereine même si je dois dire que là, je percevais encore des sentiments de peur. Il me demanda alors ce que je comptais faire pendant ces trois heures d’attente ici. Que pouvais-je bien faire ici ? Il n’y avait rien à faire dans une vulgaire chambre d’hôpital. Même pas de magazine pour pouvoir lire un peu. Me redressant doucement tout en tenant une main sur mon buste bandé, j’essayais de chopper mon gsm qui était posé sur la table de nuit. Je pouvais au moins prévenir mon employée que j’allais faire des horaires aménagés pour éviter de fermer totalement le bar pendant ces trois semaines de convalescence. J’eus un peu de mal à le prendre j’avoue mais une fois fais, et me fichant qu’on n’ait pas le droit de téléphoner dans un hôpital, je composais le numéro de mon employée et lui expliqua alors la situation… Fin, je lui ai juste dis que j’avais fais une mauvaise chute dans les escaliers et que j’avais obligation de rester chez moi pendant 3 semaines complètes sans rien faire… même pas le ménage ; ça craint ! C’est qui qui va venir le faire à ma place hein ?? Ils ont intérêt à me rembourser le temps que je suis entrain de perdre et surtout me mettre une personne à disposition si je suis censée rester sans rien faire pendant ces foutues trois semaines. Je lui exposais ensuite les horaires et pour éviter qu’elle ne soit trop débordée, je lui demandais de n’ouvrir qu’un jour sur deux et pas plus de 5h. Je ne veux pas non plus la tuer à la tâche, la pauvre. Lorsque j’eus fini avec elle, je raccrochais puis posais mon gsm cette fois-ci à côté de moi ; on ne sait jamais si je reçois un appel imprévu d’un fournisseur ou de ma famille, qui voudrait savoir comment je vais. Bien que je pense qu’ils en ont un peu rien à faire de moi… à part peut-être mon frère et encore… Je me retournais vers le jeune homme puis le regardais ensuite, avec un petit sourire sur les lèvres.

« Je ne suis pas déçue, j’avoue que cela m’a fait un peu peur au début mais ça va à présent. Vous avez une idée de quoi faire vous pendant ces trois heures ? Parce que, moi je n’en ai vraiment aucune idée. »

Je lui souriais un peu plus grandement puis espérais presque qu’il ait une meilleure idée sur quoi faire pendant ces putains de trois heures à attendre pour rien. Si encore le temps passait vite, ça irait mais comme ce n’est pas du tout le cas… Je jouais alors un peu avec mes cheveux, une main toujours sur mon ventre cependant. J’essayais de ne pas trop m’agiter pour ne pas avoir trop mal mais difficile, je commençais déjà à me lasser et à m’ennuyer même si j’étais en très bonne compagnie.