Vanessa PleasantXX PQ07A 44A
♕ Messages : 3 ♕ Immunités : 9 ♕ Date d'inscription : 19/05/2012 ☆ Métier : Aucun ☆ Logement : Maison bourgeoise à l'Est de la ville ☼ Situation : Célibat
| Sujet: Vanessa Pleasant ~ Dim 20 Mai - 1:54 | |
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Nom prénom : Pleasant, Vanessa Surnom : Van, Vava, Please ou simplement Nessa Sexe : Féminin Age : tout juste 21 ans Emploie : Aucun pour l’instant Situation : Célibataire Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle Groupe : Citoyens Code : C99G01
Particularité : Ses longs cheveux noirs qui lui descende jusqu’au milieu des cuisses. Ses grands yeux verts. Sa taille de guêpe (littéralement) Phobie : La noyage, les armes à feu, la pauvreté, la misère.
Aime : Les balades en forêt. Brosser ses cheveux. Danser le ballet. Sentir les fleurs. N'aime pas : Les militaires, les voleurs, les gens grands/gros et menaçants, nager.
| ©rédit :Age : 17 ans Pays : Canada o/ Double compte : Meh Avatar : La fille dans le court métrage « Destino » de Disney Connexion /10 : 5/10 dans les périodes d’examen, mais je répond toujours à temps Comment avez-vous connu le forum : Je connais l’admin? Commentaire : | Vanessa est la première fille d’un couple de gentils paysans, qui ont toutefois plus de moyens que les autres. Bien entendu, ils sont loin d’être milliardaire, mais la petite fortune qu’ils ont amassée au cours des années est suffisante pour subvenir à leurs besoins. Au souvenir de la demoiselle, elle n’a jamais manquée de quoique ce soit. Ses parents sont riches, certes, mais la jeune Vanessa n’a pas accès à cet argent avant ses 21 ans. D’ici là, qui sait si une faillite touchera la compagnie familiale, qui bat déjà de l’aile.
La famille Pleasant habite le dôme depuis plus d’année qu’il n’y parait, voir des générations. Après tout, avec leur commerce, qui fourni en grande quantité les paysans, c’est normal qu’elle soit restée unis jusqu’à présent. Les grands-parents Pleasant ont eu un fils, un beau jeune homme qu’ils devaient marier. Car bientôt, ils allaient devoir quitter ce monde. Richard, leur fils, à leur grand bonheur, trouva l’amour d’une femme bien plus vite que prévu. Une dénommée Isabelle, avec qui il formera une famille. Leur premier enfant, qu’ils nommèrent Vanessa, en l’honneur de la grand-mère maternelle, et la deuxième, nommée Clover. Bien que les deux sœurs soient toutes deux importantes, notre histoire tourne autour de la jolie petite fille qu’était à l’époque Vanessa.
Déjà jeune, elle rêvait de monde de princesse, du prince charmant et des comptes de fée. Pas besoin de préciser que la demoiselle vu tous ses beaux espoirs de monde parfaits s’écrouler lorsqu’elle rencontra pour la première fois de sa vie des militaires, alors qu’elle se promenait avec sa maternelle en ville. Ils jetèrent un regard froid sur la mère et la petite Vanessa, qui tremblait déjà de peur. C’est alors que tout se passa en vitesse. Un soldat, grand comme une montagne, empoigna le bras de la mère, l’accusant d’être une voleuse à tord. L’autre soldat, alors que la mère se débattait, prit la petite pour l’éloigner alors que son partenaire frappait la pauvre Isabelle sans défense. Enfin, ils quittèrent, laissant derrière eux le corps inerte d’une pauvre femme, et une petite fille qui avait les yeux embrouillés par les larmes.
Le lendemain, les autorités ramenèrent Vanessa chez elle, annonçant ensuite au père le décès tragique et ô combien malheureux de sa femme. Les petites, alors âgées de 12 et 7 ans, se firent envoyer à leur chambre. Le deuil se fit lentement, pendant longtemps. Encore aujourd’hui, les deux sœurs ainsi que le père n’acceptent pas le fait que leur dôme, supposément sans danger, soit un endroit rempli de meurtre et de corruption. Rapidement, la vie de rêve que Vanessa s’était bâti dans son esprit, tomba en ruine. Elle ne croit plus en rien, si ce n’est le rêve d’une vie meilleure, ailleurs.
| Vanessa est une très jolie jeune femme, encore toute pinpante et charmante. De grands yeux verts, avec des teintes bleutées ainsi que des lèvres pulpeuses et un visage harmonieux. Toutefois, si l’on remarque une chose chez elle, c’est qu’elle est affreusement mince. Non, ne vous méprenez pas sur les mots, elle n’est pas maigre, mais bien mince. Sa mère portait une grande admiration pour la mode des corsets, et a donc fait porter à Vanessa ceux-ci, jusqu’à sa mort. Toutefois, la demoiselle a conservé le look et les porte encore, bien que sa taille soit infiniment petite. Une taille de guêpe pour utiliser le terme juste. Comme sa taille, le reste de son corps est petite lui aussi. Ne mesurant qu’un mètre soixante, elle ne fait pas bien peur et est aussi fragile qu’une poupée de porcelaine. À défaut de démontrer ses émotions par ses paroles ou ses gestes, les traits de son visage et ses mimiques sont la porte vers ses réels sentiments.
| Vanessa est une jeune femme calme, posée, bien élevée. Elle ne crie ou ne parle jamais très fort, sait se tenir et use d’une grande politesse en tout temps. Bien entendu, elle est consciente de son état physique défavorable, alors elle ne se montre pas vraiment provocatrice, préférant nettement continuer son chemin plutôt que de se joindre à la baston.
Comme le dit son histoire, depuis ses 12 ans, elle ne rêve plus qu’en noir et blanc. Elle passe le plus clair de son temps dans sa chambre à lire ou à regarder par la fenêtre. Elle n’est pas très bavarde, mais peut se montrer incroyablement pipelette si le sujet l’intéresse. Son sourire est des plus charmeur, malgré le fait que peut ne l’ait vu après la mort de sa mère. Ensuite, elle adore les fleurs, les jardins, les choses simples de la vie quoi! Elle est cependant facilement effrayée et apeurée, pour plusieurs raisons, valables ou non. Étonnement, la seule chose bizarre qu’elle apprécie bien, ce sont les araignées.
| Test RP : Comment réagirez-vous si un homme mourrait devant vos yeux. C’était sensé être une promenade normale, sans anicroche, rien. Les deux femmes étaient loin de se douter que ce jour là, à ce moment là, à midi trente-huit, l’une d’entre elles allait rendre à Dieu l’âme qu’il lui avait prêtée…
L’horloge venait juste de sonner midi, c’était une belle journée, presque sans nuage. Le vent soufflait doucement dans les cheveux de la mère et de sa plus vieille fille, Vanessa, alors âgée de 12 ans. Tout était parfait. Elles allaient passer une journée merveilleuse toutes les deux ensemble. Un peu de shopping et ensuite quelques ramassi de trucs par-ci par-là. Isabelle tenait sa jolie petite fille par la main alors qu’elles traversaient le grand boulevard. Une fois de l’autre côté, des dizaines de petits magasins, restaurants et boutiques s’étalaient devant eux. Le visage de Vanessa s’éclaircit en vitesse, faisant place à un sourire radieux. Elles passèrent devant une pâtisserie, devant laquelle elles s’arrêtèrent assez longtemps pour humer la bonne odeur des brioches. Puis, après quelques minutes de plaisir olfactif, elles continuèrent leur route. Midi trente-cinq minutes…
Dans le petit carrefour, plusieurs enfants jouaient tranquillement, riant et sautant à la corde. L’espace d’une seconde, la petite Vanessa revit dans son esprit le sourire de sa jeune sœur, ce qui la fit rit doucement. Elle l’attendait, avec leur père, à la maison. Ce soir, pour souper, c’était poulet rôti, la spécialité de papa. La jeune brunette avait déjà hâte de terminer les courses pour rentrer à la maison et jouer avec sa sœur en attendant le repas. Toutefois, contre toute attente, un homme sorti de la boutique de laquelle elles venaient de partir, criant au voleur. Un silence de mort entourait les deux femmes alors que tout le monde les regardait comme si elles étaient des… des… des voleuses. Sans prévenir, le propriétaire du magasin, un vieil homme à qui il manquait une ou deux dents, agrippa brusquement le poignet de la mère. « Sale voleuse! » clama-t-il, définitivement fâché.
« Mais de quoi parlez-vous donc? » demanda Isabelle, cachant sa fille derrière son dos.
« Au voleur! » la coupa le proprio, levant son bras en l’air.
Des gardes, deux, s’approchèrent de la mère, la prenant par les bras. La petite Vanessa fit ce qu’elle put pour les empêcher de faire du mal à sa maman, mais ils étaient trop forts, trop grands, trop puissants. La pauvre petite se blessa à force de combattre les militaires, qui finissaient par la tasser du chemin pour s’occuper en paix de la mère qui se débattait, clamant qu’elle n’avait rien volée du tout.
Midi trente huit, les militaires quittèrent finalement les lieux. Laissant la petite Vanessa seule, le visage enfoui dans ses mains, pleurant toutes les larmes de son corps. Sa mère, sa jolie maman, ne bougeait plus, ne respirait plus non-plus. Vanessa s’approcha et, instinctivement, surement, ne la toucha pas, ne faisait que la regarder de ses yeux bouffis et remplis de larmes.
« Maman… » souffla-t-elle, la voix cassante.
Aucune réponse. Ce fut assez pour faire hurler de pleur la pauvre gamine, assez pour lui faire perdre la voix. Tellement qu’après quelques minutes, plus aucun son de sortait de sa bouche. Le silence, même les pleures et les sanglots étaient silencieux. Les gens de la rue passèrent à côté d’elle, la contournant, comme si de rien n’était. Une tragédie venait d’être produite, et c’était la faute de ceux qui sont censé protéger contre les dangers. Où donc pouvait-elle être en sécurité maintenant, cette pauvre Vanessa? Une peur, une peur s’installa dans le cœur désormais vide de la demoiselle. En vieilli, elle a non seulement réussie à se créer une peur pour les officiers « du bien », mais aussi une haine irrévocables contre les militaires sans pitié et sans cœur…
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