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 Présentation d'Ed Dahmer ~

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AuteurMessage
Edmund T. Dahmer
XY WS00M 15A
Edmund T. Dahmer


♕ Messages : 34
♕ Immunités : 24
♕ Date d'inscription : 17/04/2012
☆ Sexe : Masculin
☆ Métier : Soldat de première classe de la 2nd division terrestre
☆ Logement : Negative Threnody
☼ Situation : Célibataire

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MessageSujet: Présentation d'Ed Dahmer ~   Présentation d'Ed Dahmer ~ EmptyMar 17 Avr - 17:58


Identité
Nom prénom : DAHMER Edmund Ted
Surnom : Ed ou Ted
Sexe : Masculin
Age : 23 ans
Emploi : Soldat de première classe de la 2nd division terrestre
Situation : Célibataire
Orientation Sexuelle : Non définie
Groupe : Militaires
Code : WS00M

Particularité : Toujours un couteau à portée de main, et une chaîne en argent autour de son cou.
Phobie : Ce n'est pas une phobie, c'est plus une peur (donc c'est moins extrême), mais l'idée de perdre le contrôle de la situation l'horripile.

Aime : Les armes, tout ce qui peut être attrait à la violence (sports, films, actes).
N'aime pas : Ceux qui enfreignent les lois, qui ne se soumettent pas à son autorité et à l'autorité en général (les sauvages par exemple, les résistants).


Irl
©rédit : HRB!
Age : Non défini... ~
Pays : France!
Double compte : Nope
Avatar : Flippy de Happy Tree Friends
Connexion /10 : Honnêtement? ... Aléatoire... Mais quand je prend la pein de faire ma fiche de prés, je pense qu'elle se situe au-dessus de la moyenne.
Comment avez-vous connu le forum : On préfère rester anonyme sur ce coup-là (;
Commentaire : Attirée par les tigres et les lapinophiles o/

Histoire
Je sais tout de toi... Vraiment tout. Toi, tu gardes tout pour toi, tu n'aimes rien dire et faire le mec froid et distant, qui n'a jamais eu, n'a pas, et n'aura jamais besoin de quiconque. Mais je pense qu'il serait bien qu'on sache un peu ce qu'il t'arrive. Je n'ai pas la prétention de te proclamer exceptionnel, mais je pense que t'oublier n'est pas bon.

Je suis alors la voix qui parle pour toi, ton missionnaire. Cette fille qui a déjà su t'aimer... Ou cet autre toi...

Tu es né dans une famille paisible. Peut-être trop prospère. On te disait ce que tu voulais entendre, car il n'y avait que ça à dire. On te donnait ce que tu voulais posséder, car de toutes manières, ton éducation t'avait formé à ne vouloir posséder que ces choses. On te montrait ce pour quoi tu étais né, car on ne t'avais. Enfin, du moins tu pensais.

Ton père était un scientifique, non? Très réputé il me semble. Il avait de grands projets. Peut-être trop grands? Ta mère le suivait, elle le suivait les yeux fermés. Tu te sentais des fois un peu exclu, mais tu ne comprenais simplement pas que ce n'était pas le même amour pour toi que pour ton père. Tu étais le fruit de cet amour si pur. Elle t'aimait comme un fils, et lui comme sa moitié. Elle l'aidait dans ses projets. Elle était infirmière et l'assistait, peu importe où. Peu importe comment. C'était un peu un des duos de choc de l'élite scientifique.

Toi, ça ne t'intéressais pas particulièrement. Il y avait trop de réflexions pour peu. Le bonheur des autres? Pourquoi s'en soucier quand le sien n'est pas au plus haut? Oui, tu étais, et tu restes individualiste. Et tu étais, aussi quelqu'un de frustré. Tu n'avais pas trouvé ta voie, alors que tes parents l'avaient magnifiquement bien trouvé, eux. C'en était trop. Tu te rabaissais toi-même. Tu te sentais inférieur, et tu as progressivement développé ce qu'on appelle communément un complexe d'infériorité.

Je ne sais pas ce que tu voulais chercher dans ces actes, mais tu t'es mis à te battre dans les rues. Les petites ruelles, où les militaires faisaient rarement des tours de garde. Tu en avais trouvé, des rues non-bondées par ce type de personnes. Je ne sais pas ce que tu trouvais dans cette violence. Elle te défoulait, te libérait d'un poids.

C'était devenu une passion, de battre ces types. Les émécher un peu, les mutiler, ou les blesser plus légèrement. Personne n'était au courant de tes activités, personne ne savait quoi que ce soit. Tu ne voulais rien dire, ne rien confesser. Tu voulais garder ça pour toi. C'était ton pêché mignon, ton petit plaisir singulier, que tu préférais cacher.

Puis, tu as eu envie de te trouver des vrais martyrs. Et en même temps, d'être vraiment quelqu'un. De réussir tout en faisant ce qu'il te plaît. Alors tu t'es retourné vers l'armée. Tu t'engagerais le jour de tes dix-huit ans, et tu réussirais. Et tu vaincrais. Et tu t'imposerais. Et tu tuerais. Et tu te tuerais. Et tu te défoulerais.

Alors, tu t'es vraiment engagé. Presque au même moment où tu soufflais tes dix-huit bougies. Tout jeune encore et toujours, tu n'as pas eu le temps de te mettre en "valeur". De te démarquer. Pourtant, un soir, tu t'es retrouvé dans ce commando "spécial", en charge de poursuivre des résistants dangereux, qui avaient les idées qui leur montaient trop haut dans leurs têtes. On t'avait pris dans le tas des petits nouveaux : "Hey, toi! Viens-là! Voilà la recrue du jour les mecs!".

Quand on y repense, je ne pense pas que ce soit le hasard que ça soit toi qui ais été choisi pour cette mission-là...

Vous y étiez, dans cette ruelle sombre. Les premiers ordres étaient de capturer vivant les résistants. Si lutte, permission de les abattre.Et la permission d'abattre tes parents, l'avait-tu? J'en doute peu, mais elle n'était pas requise. Est-ce l'autorité qui t'a berné? Est-ce l'autorité qui t'a fait croire que tu la possédait? Surement, car quand ils n'ont pas voulu se soumettre à elle par ton intermédiaire, tu t'es senti humilié, et la permission est venue d'elle-même.

Tu t'étais proclamé grand. Droit. Voué au dôme. Tu t'étais fait orphelin, pour te faire beau aux yeux de l'autorité. Tu étais cruel. L'autorité t'avait sous son joug, et soumis, tu te plies encore sous son bâton. Tu as préféré te crever les yeux plutôt que de voir ces chaînes qui te font tuer. Libre à toi désormais. Si à travers elles, tu vois ton défouloir.

Libre à toi désormais.
Physique
Doit-on vraiment s'attarder sur ton physique? On dit toujours que la première impression est la bonne, pourtant, tu es loin d'être aussi doux qu'il y paraît... Alors, à quoi bon décrire l'apparence extérieure douce, quand l'apparence intérieure n'attend plus que de déformer ces traits?

Ton physique était, pour une époque lointaine, peu commun à ce qu'on a dit. Pourtant, il est fréquent de rencontrer des gens comme toi. Presque monochromes pourrais-je dire. Toi, tu es presque entièrement vert, dis de manière caricaturale. On pourrait même en rire, lu comme ça. Pourtant, c'est la vérité...

Tes cheveux courts aux mèches si fines d'une couleur si douce... J'ai presque envie de les caresser. Et quand je me retiens, j'essaie de fixer autre chose que cette chevelure aux aspects soyeux. Alors mon regard s'abaisse jusqu'au tien. Apparaissent alors de grands yeux qui semblent pouvoir s'émouvoir au moindre événement, à quelconques bouleversements. Des yeux jades aux reflets chatoyants. Ils me percutent sans chaleur, et d'une violence choquante, contrastant sublimement avec cette apparence de dandy affectueux et gentil.

En effet, de loin, cette tâche verte, c'est ta silhouette qui se dessine. Élancée, presque féminine. Dans des vêtements masculins et larges, elle paraît presque frêle si on ne s'attarde pas sur les épaules, de largeur normale pour un corps du sexe auquel tu appartiens.

Puis quand il ne te reste plus que ton baggy kaki fourré dans des rangers de même couleur, ainsi qu'une veste à motif militaire, on voit ton torse. Ta peau blanche. Les muscles sont peu saillants. Ton corps n'est pas assez mature pour un militaire, mais il est normal que pour sa jeunesse, il y ait un défaut d'entraînement physique.

Si déconcertant...

Comme quoi, les apparences sont trompeuses. Surtout pour toi.
Mental

Un mental d'acier que tu as, non?
Un acier complétement creux aussi. Tu veux faire croire qu'il est inflexible, alors qu'il l'est seulement en apparence. Je sais que tu peux être autre chose qu'un individu violent, avide de sang. Quelqu'un d'autre qui n'est pas que autorité. Pas que sévérité. Car cette facette-là ne se montre qu'au combat...

Je sais que tu peux être plus que quelqu'un qui méprise ceux qui se battent contre l'autorité, pour peut-être atteindre leurs idéaux. Je sais que tu peux être indulgent, et gentil. Tu es au-delà de la colère. Au-delà de la haine.

Tu n'es pas qu'un chien qui obéit sans ciller. Tu n'es pas qu'un objet de guerre. Tu aimes faire souffrir. Tu es sadique par-dessus tout, et tu aimes la victoire. Certes. Mais tu as un cœur, tu n'es pas un robot. Tu sais aimer, caresser tendrement. Tu n'es pas tout le temps froid, glacial. Même si tu l'es en majorité. Tu es sombre, mais quelques fois, la lumière se pose sur toi.

Tu as beau tout voir sombrement. D'un mauvais œil. Tu as beau haïr ceux qui ne respectent pas la loi, ceux qui mettent le désordre. Tu as beau être haït, tu peux être aimé pour ce que tu es quand tu ne revêt pas ton uniforme militaire. Tu as beau haïr, tu peux aimer.

Peut-être de manière pataude. Probablement de façon brutale et très désintéressée. Mais ce qui compte, c'est que tu le saches.
IdentitéTest RP
Comment réagiriez-vous si un homme mourrait devant vos yeux?

-
Il tombe presque au ralenti. Tu croirais le voir contempler sa vie qui défile sous ses yeux qui s'agrandissent de surprise. La surprise... Il n'y a que ça qui puisse être exprimé, de toutes façons. C'est vraiment dommage de ne lire sur ce dernier regard vivant la surprise. Je sais que tu aurais préféré autre chose de plus... jouissif. La terreur, la douleur... Pas la surprise.Je te comprend. Mais il ne s'y attendait pas à ce coup-là.

Intérieurement, tu ris bien. C'est vrai qu'il ne s'y attendait pas. Il s'écroule lourdement sur le pavé sale sur le ventre pendant que ton sourire s'étale de toutes part. Il se retourne avec difficulté, le visage face au ciel. Il se tient le couteau enfoncé dans la poitrine. Le coup violent, porté de face, lui a perforé les côtes au niveau du poumon droit.

Tu ne vises jamais le cœur, de toutes façons. c'est trop facile. Tu le surplombes, et la dernière chose qu'il verra est ton sourire malsain. C'est une victoire, en quelques sortes. tu t'accroupis à ses côtés, pendant que sa respiration s’accélère; gigotant, ses doigts fébriles tiennent l'arme enfoncée. Il crache du sang, et quelques gouttes du liquide sont projetées sur ta joue blafarde. Elles coulent avec fluidité, et ta langue s'occupe d'achever le sillon qu'elles tracent. Le goût du fer vient faiblement te prendre la langue. Mais je sais que tu adores ce goût. Quelques fois, ça à tendance à écœurer les gens...

Es-tu cannibale?
Bien sur que non! Mais ça, le gisant ne le sait pas. Son regard surpris se déforme pour ne laisser qu'entrevoir la peur... Tes doigts font semblant de se promener le long de son torse. Ils escaladent le peu de lame qui n'est pas enfoncée dans la chair, puis se posent sur la manche. Tu sens son cœur palpiter plus fort. Si tu retires la lame, ça sera encore pire. Le sang coulera une bonne fois pour toutes, et vu comme tu es parti, ce n'est pas toi qui arrêteras ou qui tenteras d'arrêter l'hémorragie.

Et tout ça, lui, il le sait.

Alors il tiens comme il peut l'arme, alors que de toutes façons, il va mourir, se noyant dans son sang. Toi, tu le sais ça aussi. Lui, il pense que ce n'est qu'un effet secondaire de sa blessure, alors que pas du tout. Le poumon troué, le sang s'y infiltre. Tes doigts se ferment sur le manche. Tes yeux s'illuminent. Ton sourire s'agrandit. Son regard s'intensifie. sa bouche se tord. Tu retires la lame doucement, pendant que lui, faiblissant, laisse glisser la lame entre ses doigts.

Tu la retires, puis quand tu en vois la pointe, tu renfonces la lame de plus belle. Tu viens carrément le renfoncer. Le manche s'enfonce aussi, pendant que l'homme gémit de plus belle.

Douleur, douleur, pourquoi es-tu si aiguë?

Souffrance, souffrance, pourquoi es-tu vue de manière si négative?

Toi, tu penses plutôt qu'elle est faîte pour qu'on avance. Pour qu'on la surmonte. Pour être moins faible face à la suivante, si celle-ci ne nous a déjà pas tué. C'est beau. Se dire ça. Mais toi, tu es intouchable, n'est-ce pas? Du moins, tu penses l'être, mais on a déjà réussi à te montrer le contraire...

Il finit de se noyer dans son sang, pendant que tu retires le couteau. Tu l'essuies sur sa veste kaki, usée par le temps et les épreuves qu'il a du surmonter pour finir de se rétamer ici. La lame à nouveau propre, tu te lèves, époussète ton baggy et range la lame dans un petit fourreau au niveau de la ceinture prévu à cet effet. Puis tu pars jeter le corps.

Après tout, c'est le seul juste châtiment que méritent les résistants. Ceux qui s'opposent à l'autorité ne valent rien. La mort était méritée. Et elle d'autant plus délicieuse quand c'est toi qui la donne...

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Arwenn Lackshaman
XX CG04I 02A
Arwenn Lackshaman


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MessageSujet: Re: Présentation d'Ed Dahmer ~   Présentation d'Ed Dahmer ~ EmptyVen 20 Avr - 14:09

Soldat Repos ! 8D

Bienvenue à toi XY WS00M 15A !
C'est cool j'ai encore un soldat de plus sous mes ordres ! (8

Enfin dans tous les cas, demande une habitation si tu ne veux pas vivre dans un baraquement et je souhaite de bon rp ! :'D
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