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| Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone | |
| Auteur | Message |
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InvitéInvité
| Sujet: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Mer 25 Avr - 14:08 | |
| Il est temps de mettre de l’ambiance. Habitant de Genesis, L’Absolue Absolène ouvre ces portes. Il fait « jour », si on peut appeler cela le jour. Les bruits environnant de la « ville » font vibré le coeur de la jeune femme qui vient de se réveiller, encore une fois, si on peut appeler cela « une ville ». Lâchant un soupir arboré d'un visage désabusé, la jeune femme ouvre la fenêtre, regardant le monde qui l'entoure. Pourtant, aujourd'hui, elle n'aurait pas le temps de se plaindre, aujourd'hui elle voulait s'amuser et faire quelque chose d'exceptionnel, Crissy veut organiser quelque chose dont tout le monde se rappellerait. Après réflexion, elle n'avait jamais fait d'énorme soirée dans cette boite, pas de soirée à thème, ni rien. La renommée de sa boite avait fait un petit tour, mais cela ne lui suffisait pas. Toujours plus, encore plus, Crissy est une éternèleinsatisfaite, cela n'est plus un secret pour personnes, mais c'est dans la nature de l'homme d'être insatisfait. Les yeux de la jeune femme fixent chaque personnes qui passent dans la grande place. Elle qui habitait ici, elle qui surplombait la ville... « Non, n'oublie pas, aujourd'hui, tu épate la galerie et tu te fais plaisir. »
▬ Il est temps. Il faut que je le retrouve...
Farfouillant chaque recoin de sa chambre, la jeune femme cherchait cet objet qu'elle utilisait pratiquement tout le temps, cet objet que ces parents utilisaient lors de leurs missions il y a bien longtemps. Jetant ces fringues éparpillés sur le sol en arrière, la jeune femme trouve alors ce qu'elle cherchait. Dans cette valise se trouve son saint Graal, son meilleur ami. L'empoignant, la demoiselle aux yeux vairons se met par la fenêtre, elle avait déjà tout prévue la veille, son texte, ces affiches, tout. Peut être qu'elle se taperait une amende pour les prospectus qu'elle allait jeter, mais tant-pis, ce serait pour la bonne cause !
▬ Chers Citoyens, Habitant de Genesis. Crissy Irving Kain à le plaisir de vous annoncer que ce soir, aura lieu une énorme soirée à guichet fermé dans la magnifique boite de nuit "L'Absolue Absolène" ! Vous êtes tous invités, vous qui avez besoin de détente, de changement, si vous avez envie de faire la fête, c'est ici que cela se passe ! Ouverture à 21H ! Venez nombreux et surtout... AMUSEZ VOUS !
Jetant les prospectus tout en récitant son texte un peu improvisé, la jeune femme voyait les gens ramassés ces derniers, d'autres n'en avait rien à faire. Chacun ces envies après tout. Elle n'allait pas descendre et boxer tous ceux qui ne voulait pas venir. Crissy se dirigea alors vers sa chambre après avoir crié dans son mégaphone pendant plus de trente minutes, elle choppa son téléphone et appela son fidèle ami et mentor Liam ; qui arriva d'ailleurs à la vitesse de la lumière. La jeune femme lui confia alors une bonne pile de prospectus et lui dicta alors sa mission. Ce qu'il devait faire était on ne peut plus simple, il devait juste les distribués dans la rue, à n'importe qui, n'importe quand et surtout en disant n'importe quoi, mais attention, dire quelque chose qui donne quand même envie de venir. Il partit alors aussi vite qu'il était arrivé. Un sourire sur les lèvres, Crissy se dirige vers sa salle de bain, se lave, s'habille rapidement, puis descend alors pour préparer la décoration de sa boite. Rien n'allait vraiment changer. Juste déplacer des canapés, rajoutés des Néons qui clignotent en versions stroboscopes, typique des boites de nuit me direz vous. Sa platine était mise en évidence sur le devant de la scène ainsi qu'une scène libre si des gens voulaient chanter, danser. Bref, une soirée de folie, c'est ce qu'elle voulait alors c'est ce qu'il se passerait !
Son téléphone sonne après plusieurs heures d'aménagement intensif. Il est bientôt vingt-heure, il ne lui reste alors plus beaucoup de temps. Un diner presque parfait, ce n'est rien comparé à la préparation qu'elle devait prévoir pour ce soir. Accourant vers sa cave, Crissy remonta alors plusieurs cartons pleins d'alcool différent allant de l'Absinthe, au Gin ou encore du Whisky, de la Vodka, du Champagne, de la bière, du Pastis, du Ricard... Bref, il y avait tout ce qu'il fallait. Montant alors encore une fois, des cartons mais, cette fois-ci pleins de substances illicites en tout genre, la jeune femme cacha ces quelques cartons derrière le comptoir, à l'abri des regards. Certains savaient quel genre de trafics elle faisait, d'autres non. La demoiselle attend alors derrière son bar, choppant un verre de Vodka pure, montant le volume des enceintes qu'il y avait dans toute la boite. Les murs vibraient tout comme le sol, son coeur palpitait, tremblait. Un cachet d'extasie, un petit joint de Marijuana et la fête allait bientôt pouvoir battre son plein. Dans moins de vingt minutes, ils allaient affluer, arriver. Crissy, après avoir fini son verre et son pétard, se dirigea avec nonchalance et délicatesse vers les portes. Elle allait les ouvrirent, il était temps. Tirant sur les poignets de porte, la jeune femme s'écarta et prononça alors sur un ton enjoué, un sourire narquois sur les lèvres.
▬ BIENVENUE TOUT LE MONDE ! Amusez vous bien !
Ce soir, il n'y aurait pas de tabou, pas de règle ; chacun était libre de faire ce qu'il lui plaisait. Si part contre ils voulaient se battre, se serait dehors, ou dans le bain de boue qui serait sans doute prévue plus tard. Les gens rentrent, affluent, alors que de la mousse tombe du plafond. C'était l'heure d'un amusement, l'heure de rire, l'heure de passer à autre chose. Comme quoi, même sous ce dôme, il serait possible de s'amuser et d'oublier les peines du quotidien...
Dernière édition par Crissy I. Kain le Dim 29 Avr - 17:20, édité 1 fois |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Ven 27 Avr - 21:11 | |
| ❝A ujourd'hui en cette belle soirée tu avais lâché ou plutôt fuis ces personnes qui te servaient de chaperon. Tu désobéissais encore aux règles de bienséances pour avoir un soupçonnons de liberté. Passer d'une poupée de cire à une poupée de porcelaine, c'est bien facile, mais pas lorsqu'il y a des regards sur toi, un petit coin plus tranquille, c'est bien mieux. Juste avant de fausser compagnie à tes deux chiens de gardes, tu avais levé les yeux vers une horloge numérique affichant qu'il était plus de dix-huit heures, tu avais passé ta journée à faire l'élément de décoration lors d'un repas mondain et tu devais aller à une soirée, mais tu n'y avais pas le cœur, ainsi lorsque tu te vis rapidement dans la vitre, tiré à quatre épingles, les traits tirés par un chignon haut, des talons hauts perchés et une robe beaucoup trop strict à ton gout pour être réel et surtout porté par quelqu'un d'aussi jeune que toi. Tu soupiras un bref instant, l'horloge venait de sonner pour marquer les dix-neuf heures et toi pendant ce temps-là, tu marchais d'un pas fugace, un chien de garde devant toi et l'autre qui te suivait de bien trop près. Tu levais la tête pour voir une jeune femme du haut de son balcon des tracts, sans prendre gare à ceux qui était en bas. Tu t'arrêtais net pour observer ce beau spectacle qui te faisait penser à une première neige, une chose bien rare, voir même une chimère ici-bas à Genesis. Tu laissais le chien galeux qui te suivait au pas te rentrer dedans, le laissant grogner et continuer son chemin en t'empoignant le bras trop fortement, assez pour te laisser de belles marques dans peu de temps, tu te débâtas comme un petit diable dans sa prison d'argent sans avoir peur de te faire remarquer dans la rue, le laissant ainsi obliger de te laisser tranquille pour ne pas attirer plus l'attention des passants sur vous. Ainsi il reprenait sa route rapidement, te lançant des coups de poignards à travers ses yeux globuleux. Tu grognas légèrement à la douleur que venait de subir ton bras, te laissant ainsi obliger de le masser longuement l’endroit dit, avec tes petites mains. Tu avais les yeux perdu dans le vide, statique comme une statue, alors qu’une horde de gens passer à tes côtés, devant tes yeux, une feuille tomba du ciel comme une plume, virevoltant de droite à gauche et de gauche à droite. Pour se planter dans le sol, juste devant tes pieds. Tu t’abaissas pour la ramasser et tu la parcourras des yeux. « Chers Citoyens, Habitant de Genesis. Crissy Irving Kain à le plaisir de vous annoncer que ce soir, aura lieu une énorme soirée à guichet fermé dans la magnifique boite de nuit "L'Absolue Absolène" ! Vous êtes tous invités, vous qui avez besoin de détente, de changement, si vous avez envie de faire la fête, c'est ici que cela se passe ! Ouverture à 21H ! Venez nombreux et surtout... AMUSEZ VOUS ! » Etait-il marquer sur la feuille de papier glacer que tu tenais entre tes doigts maigres. Laissant tes yeux danser entre le papier, l’endroit d’où il venait et vers tes chiens de garde. Ce petit morceau de papier était comme ta providence, tu avais envie de sauter sur l’occasion, mais tu cherchais rapidement un moyen de faire faux bond à ses deux molosses. Pour autant tu gravas dans ton esprit l’endroit. Tu n'avais pas le choix pour l'instant, tu les suivais sans broncher lorsque l'un d'entre eux te fit un grand geste de la main, comme si tu étais un vulgaire chien, mais pourtant, tu le suivis. Ainsi tu continuas encore de marcher, encore un peu vers un restaurant beaucoup trop luxueux, il n'allait pas plus loin que la porte, connaissant leur position, mais toi tu avançais la tête haute, alors que tu t'approchas du maitre d'hôtel pour qu'il t'amène à la table où tu étais attendue, tu remarquas que tu avais toujours dans ta main le morceau de papier glacé, tu secouas quelque peu la tête. Tu ne pouvais pas partir maintenant sans avoir assisté à un énième diner, mais pourtant, l'envie était très forte, mais tu te retenais de leur faire faux bond. Ainsi tu laissas le tract sur le comptoir du maitre hôtelier et tu lui demandas de te conduire à ta table. Il passa devant et tu le suivis au pas, tu laissais ton regard vagabondé ici et là, te posant un instant sur un groupe de serveur qui parlaient entre eux, tu entendis comme une bride de conversation mentionnant le même nom que le tract qui venait des cieux. « L'Absolue Absolène », tu semblais avoir compris que dès qu'ils avaient fini leur service ils allaient y faire tour. Tu les envier quelque peu. Tu voulais pouvoir faire autant qu'eux, tout claquer et pouvoir prendre la porte, mais tu ne pouvais pas à cause de ton boulet d'argent qui te clouait sur place. Tu soupiras longuement et très rapidement tu arrivas à la table noire de monde en costume trois pièces trop bien coupées pour eux et tu te positionnas à la table. Subissant les remarques parfois désobligeante de certain et parfois celle déplacer d'autre. Le diner avait été et était long, beaucoup trop. Une succession de plat sans fin, où l'alcool coulait à flot, mais toi tu avais juste trempé tes lèvres dans une coupe de champagne, tu soupirais en silence, laissant ton regard vide s'infiltrer à d'autre table, tu te laissais imaginer ce qu'ils pouvaient faire dans la vie rien qu'à leur posture ou bien à leur façon et lorsque tu séchais tu leur inventais une vie. Ainsi tu avais passé deux longues heures à faire ça, mais très rapidement tu regardais au fond de la salle, là-bas tu y voyais le même groupe de serveur qui avait parlé de la boite de nuit au part, tu regardas l'heure de la pendule accrocher sur l'un des pans d'un mur. Elle affichait plus de vingt-deux heures, tu soupiras longuement, ce qui te donna le droit de recevoir un regard noir de la part de ton père qui se trouvait devant toi. Tu te levas doucement de la table et tu t'excusas poliment, sortant l'excuse la plus vieille du monde dans ce cas-là que tu ne te sentais pas bien. Pourtant, ce qui est le plus drôle c'est qu'à chaque fois cette excuse marche et c'est sans broncher que tu te dirigeas vers les toilettes. Devant le miroir, tu t'observas longuement, un masque d'austérité s'affichait sur ton visage, un masque tu détestais au plus au haut point. Ainsi sans crier gare, tu déchiras une bonne partie de ta robe, pour la laisser paraitre plus normale et tu défis ton chignon, laissant tes cheveux s'emmêler quelque peu et retomber sur tes épaules. Ainsi tu donnais l'impression d'avoir ton âge, comme une quelconque autre fille. En catimini, comme une voleuse, tu passas, la tête à travers l'interstice de la porte des toilettes pour dame et tu jetais un coup d’œil circulaire, pour regarder à droite et à gauche si quelqu'un de ta table était dans les parages. Ce n'était pas le cas, il préférait manger entre hommes. Ainsi, comme à ton accoutumé tu fuyais tes responsabilités pour vivre un soupçon de liberté fugace, comme tu les aimais. Tu savais quelle était les choses à faire dans ce genre de situation et quelle n'était pas à faire, tu n'étais plus un bleu pour fausser compagnie à tes paires. Tu te dirigeas furtivement et à pas de loup vers le couloir qu'emprunter les employer loin des regards des clients beaucoup trop riches. Tu frôlais les murs , littéralement parlant, tel une voleuse, tu rentras dans les cuisines, laissant quelque regard interloqué de cuisinier bien trop gras devant ton passage et pris une porte t'amenant dans un sas, où se trouvait plein de casier. Celui des employés, tu pris tes aises et tu ouvris la première porte qui se trouvait devant toi et tu en sortis une veste noire, celle d'un homme. Elle était beaucoup trop grande pour toi, mais lorsque tu jetas un coup d’œil dans le reflet d'une vitre tu te rendis compte qu'elle te donnait un certain style, mais tu t'en fichais bien. Tu l'avais prise uniquement pour avoir chaud dehors et non pour faire joli. Ainsi tu repassas dans les cuisines, mais ce coup-ci quand tu vis le maitre d'hôtel, tu pris peur et tu te cachas dans un coin, comme une petite souris. Il demandait après toi et bien sûr quelques regards se poseraient sur toi, mais tu les supplias d'une succession de geste de faire semblant de ne pas t'avoir vu et ceci marcha à la perfection. Maintenant tu étais libre, de partir sans être vue et de fuguer le temps d'une soirée, comme une vulgaire écolière. Tu allais profiter, de ce cours instant pour vivre et respirer, mais avant tout il faudrait que tu trouves la sortie, les coulisses pour tous les acteurs qui faisaient vivre le restaurant. Pourtant, un gentil cuisinier un peu bouffi, te montras de la pointe de son couteau une sortie, que tu t'empressas de prendre rapidement la porte de sortie. Lorsque tu t'engouffras à l'extérieur, un mur de froid claqua contre tes fines jambes et nez sentait une odeur prononcé de tabac froid. Ce qui était un peu normal, puisque tu venais d'atterrir dans un petit groupe de personnes qui était en train de fumer. Un œil ahurit de l'un d'entre eux se posa sur la veste subtiliser que tu avais sur les épaules et il te montrait de doigt, tu baissas quelque peu les yeux et tu te rendis compte à qui appartenait ton coupe-vent, mais tu ne lui présentas pas d'excuse et tu t'enfuis comme une voleuse. Heureusement pour toi, il était resté sur le cul et n'était pas parti à ta recherche. Ainsi tu avais couru à en prendre haleine et en avoir les pieds endolori, mais ceci en valait la peine. Tu arrivais devant la boite de nuit, mais la queue faisait rage, l'établissement était ouvert depuis peu de temps et pourtant il y avait foule, mais tu aimais ce genre d'endroit. Tellement différent de ce que tu pouvais connaître dans ton cocon doré. Tu te faufilas entre les gens qui s'agglutinaient devant la porte d'entrée, telle une anguille pour faire face encore une fois devant-toi à deux molosses, à croire que ce genre de personnes poussaient dans les arbres pour finir par remplir totalement ton champ de vision. Tu jouas comme à ton habitude d'un peu de charme, ce qui marchait à la perfection, puisque tu avais été élevé pour faire ça. Ainsi maintenant, tu pouvais aller tout à ton aise dans cet endroit si particulier, tu te laissais guider par le flot de vague humaine, te laissant ainsi guider vers le comptoir du bar. Tu farfouillas dans les poches de la veste que tu avais volée et tu y découvrais une petite liasse de billet, certes pas suffisante pour toute une soirée, mais assez pour que tu puisses bien la commencer. De ce fait tu te commandas un verre de Gin, tu avais certes fait peu de soirée dans ce genre, mais tu aimais beaucoup les alcools bancs et c'est donc parce que tu commenças. Attendant que l'on te serve, tu te retournas pour observer avec un grand sourire aux lèvres le spectacle qui se dessinait devant toi. Les gens qui dansent, les autres qui boivent, ainsi que deux où trois autres spectacle assez déroutant. Le tout sur un sol tremblant, à cause des vagues humaines et de la musique assourdissante qui faisait vibrer la moindre des choses. Une vie sans fin, pleine de bonne humeur, chaleureuse, malgré qu'elle soit déroutante. Ainsi tu entendis un petit cliquetis sur le comptoir et tu te retournas, c’était comme une sonnette d’alarme qui te disait que la faite pour toi aller commencer et que tu aillais oublier quelque peu tes bonnes manières et tout le protocole pour devenir une simple femme de vingt-trois ans pour le temps d’une soirée et vivre ta vie à fond et tu débutas par boire ton verre de Gin cul sec, laissant l’alcool te bruler les lèvres et le gosier, avant de claquer fortement le verre sur le comptoir. « Encore ! » Commandas-tu d’une voix forte, qui contrastait tellement avec ton faible corps d’albinos. Tu allais te laisser emporter sur les flots de vie, tel un navire en perdition, mais possédant un équipage ivre de vie. ❞ |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Dim 6 Mai - 21:20 | |
| Le commencement, c'était quelque chose ! Seulement quelques jours séparait Cilly de sa nouvelle vie, le commerce, l'appropriation d'un nouveau lieu où mieux vendre, où mieux servir son ambition humaine, tout pour se sentir heureuse; à l'heure où les possibles sont si grands et si nombreux que l'esprit prend tout son temps à mater chaque recoin d'avenir. Encore incertaine, cette vision, mais c'était bien là toute la beauté qui rendait à son visage, les émotions qui lui manquèrent tant durant son enfance.
Cilly se sentait d'humeur à fêter cela ! Mais ses contacts d'antan lui rappelait trop un passé pas si lointain où la déprime entraînaient les pensées loin du bonheur et du plaisir. Pour dire, voilà bien cinq mois qu'elle n'avait pas rencontré de nouvelles personnes, qu'elle n'était sortit que pour rendre visite à son grand père et apporter à son stock personnel de quoi l'approvisionner. Il était grand temps que cela change, et puisque on lui avait donné la suffisance monétaire à changer le magasin, elle pouvait bien s'offrir une petite sortie. Or pour changer de contact, elle décida de changer de lieu. Quoi de mieux pour ses envies que le rendez vous des personnes qui ont toujours été si loin de ses fréquentations ? Pour découvrir la grande place, l'endroit où elle n'était pas retournée depuis une visite en enfance, qui l'avait toujours débecté pour ses grands préjugés sur la richesse et surtout pour ceux qui en détiennent le pouvoir, elle avait décidée de s'y rendre; sobre. Or la sobriété, ce n'était pas le fort de la demoiselle maquillée, qu'importait ! Il fallait bien prendre la première impression, en faire sienne les lieux de sa future dépravation. Tout dans le domaine du plaisir, cette fois-ci, plus question de se laisser aller au malheur.
Sitôt arrivée, une impression de déjà vu sur cours de romances; opium d'un peuple trop riche. Des passants, de beaux passants, bien portant, fringué à la dernière mode du cours de l'été artificiel. Déjà, Cilly ne se sentait pas à l'aise, chaque pas portait son esprit un peu plus loin des promesses de plaisir qu'elle imaginait en arrivant. Elle fît face, face à cette foule si distinguée, sa joie ne devait point se consumer en mépris, elle retira la grimace de son visage, ses yeux regardèrent plus haut, comme si il était encore possible de voir loin, ici, et d'en retirer le plaisir voulu. Vivre dans le dôme, c'était apparemment pas la même affaire pour tout le monde. Elle marchait, marchait, son but était la grande place; pour le moment ses pas la menaient rapidement à travers les ruelles, où déjà moins de monde qu'à l'arrivé venait ternir ses pensées. Un peu de liberté retrouvé, elle regarda l'architecture de ces plans si bien imaginés; rien à voir avec le marché noir... Elle en souris, peut être, sa boutique implantée ici, ce serait assez d'humour pour vivre heureuse durant vingt bonnes années.
Bientôt, elle se retrouva face à la grande place. Quelques regards la dévisageaient, elle qui ne bougeait plus, avec sa tenue affriolante, son grand chapeau pointue, à mater tranquillement l'ingéniosité de ce lieu, où, il lui semblait, toutes les rues convergeait ici. Une exaltation folle s'empara de son petit cœur, une de celle qui vous font planer, à contempler ainsi le génie humain... Elle reprît sa marche, la bouche mi ouverte, intriguée, étonnée de voir un lieu à l'apparence si parfaite.
On la tira de son ravissement, oh, pas directement, non ! C'était une voix aux allures marchandes, comme... Sur un marché. Une femme, Cilly la voyait, de loin, une petite femme de ce qu'elle pouvait en juger, et elle criait quelque chose, et elle balançait à tout va des bouts de papiers... Il n'en fallait pas plus pour attirer son intérêt, et du même coup tout son corps, à allure vive, se dirigea vers les monceaux de papiers que le vent, déjà, secouait légèrement sur le pavé. Cilly aurait bien voulu engager la conversation avec cette personne, pourquoi pas lui demander des conseils, elle qui allait bientôt ouvrir sa boutique aussi; mais la femme avait disparu lorsqu'elle vint. Elle ramassa l'un des papiers, et un grand sourire illumina ses lèvres, elle projeta sa joie en levant les bras
Oh ! YEEEEEEEAAAH !!
On la regarda, choqué sans doute, quelques uns riaient devant cette beauté loufoque. Elle partit en courant, il lui restait encore pas mal de temps avant que cela ne commence. Pour combler sa joie, elle prît ses fameux bonbons tant affectionnée...
Elle se réveilla, ou tout du moins sortit de son rêve éveillé, et poussa un juron en voyant l'heure déjà bien avancé... La boite de nuit venait d'ouvrir, et elle était encore chez elle, même pas vraiment prête. Elle fila à la salle de bains, se changea rapidement pour prendre une tenue qui s'occupait mieux de tenir ses seins droits. Ainsi elle était vêtue d'un chemisier blanc, mêlé de turquoise avec un col en V, des rebords remontant un peu le long de son cou, et ses bras laissé à découverts. Elle enfila une jupe turquoise aussi, remit son chapeau et ses gants. Elle prît un petit sac, où elle enfila plusieurs sachets de drogue, des aphrodisiaques hallucinogène (une de ces fameuses inventions), et d'autres substances plus commune. Elle n'en avala aucune, après tout, elle ne savait rien de cette boite, et comme elle aimait le jeu et les surprises, elle savait aussi rarement la dose qu'elle mettait réellement dans ses drogues. Autant jouer la prudence donc.
Le chemin refait, sans trop se presser pour ne pas suer, mais en marchant vite, vite vite, parce que la fête était déjà commencée, elle finît par arriver devant l'Absolue Absolène. Il y avait du monde, une bonne queue comme on en voudrait pas ailleurs... Cilly n'avait rien pris, rien bu, et elle était seule. Rien de mieux pour l'énerver en somme. Elle se posa dans la file quelques minutes, le temps de réfléchir... Soudain, elle plaça son bras en avant et tout en criant, elle avança en pourfendant la foule. Les quelques blocs monstrueux, elle les esquiva, les mains qui tentaient de la choper, elle se refermait sur le vide. Quand vinrent les vigiles, elle s'arrêta net devant
Messieurs ! Il y a bien trop de monde ici ! C'eeeeest tout à fait intolérable !
On la pria de dégager, elle supplia, cria un peu; finalement l'un des vigiles la prît sur le coté. Elle s'expliqua calmement avec lui, lui offrît plusieurs substances avec une petite tape sur l'épaule et rentra finalement.
Sitôt entrée, la musique fit son effet, sur son corps trop longtemps enfouie dans les profondeurs de son canapé, il était désormais là à se dandiner tranquillement vers le comptoir, le sourire aux lèvres, les yeux tout embué de bonheur.
Une tequilaaaa !
On lui servit; elle but tranquillement en se retournant. Il y avait déjà pas mal de monde présent, de la fumée, des yeux tout rouges bien perché. Bref, ceux qui avaient de l'argent savait s'en servir pour s'amuser, à l'occasion, c'était rassurant. Soudain, une voix forte engagea son regard à se tourner vers la droite, où une jeune femme à l'aspect frêle venait de commander une boisson. Elle remarqua d'après ses habits que même le petit personnel venait s'éclater ici, c'était bien, mais avant d'aller vers des gens, il fallait finir ce verre, et aller danser ! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Jeu 10 Mai - 17:35 | |
| Ils S'amusaient Tous. Dansant comme des démons, Buvant de l'alcool qui coulait à foison. La mousse tombe du plafond, les gens glissent, s’amusent. Leurs rirent font vibrer le cœur d’une jeune femme, derrière les platines, qui diffuse la musique, un sourire venait de prendre place sur ces fines lèvres. Le poing en l’air, ils sautaient au rythme de la musique, les basses devaient avoir de l’effet sur leurs cœurs. C’était une belle scène, quelque chose qui resterait sans doute à jamais dans sa mémoire. En cet instant, Militaires, les gens péter de thune, les citoyens normaux de Génesis, tous, en cet instant devait ressentir cette connivence, le cœur de chacun était comme connecté… Ils ressentaient tous la même chose. Laissant les platines et ayant préparer une playlist, la musique continuerait son œuvre, elle continuerait de retentir pour que cet instant ne s’arrête jamais. Crissy se dirige alors dans la fosses, certaines personnes lui font un câlin, chose qu’elle ne comprenait pas mais elle ne dirait rien, elle se laisserait faire, après tout, ce n’était pas grand chose, par contre, une crise d’Agoraphobe risquait d’arriver et c’était le pire qu’il pourrait lui arriver. Se dirigeant limite en courant vers le Bar, la jeune femme passa à côté d’une demoiselle qui lui tapa dans l’œil, cette chevelure… Serait-elle Albinos ? Peux importe, sautant par dessus le bar, Crissy remplaça Liam au Bar, il était là pour s’amuser lui aussi, il en avait assez fait aujourd’hui. Un jour de congé c’est pas la mort. Le poussant avec son derrière, le jeune homme insistait pour continuer de travailler derrière le bar, chose qu’elle n’acceptait toujours pas. Un petit numéro de charme et il ne put s’empêcher après quelques minutes d’accepter. Tant-mieux pour lui, Crissy voulait monopolisé le bar, boire elle aussi, puis faire ce qu’elle ne peut pas faire d’habitude. Cigarette en bouche, la jeune femme entend quelqu’un crier « Encore ! » tout en reposant avec violence son verre sur le bar. C’est vrai qu’avec ce boucan il n’y avait pas d’autre solution pour commander un verre. Toujours ce sourire sur ces lèvres, la jeune femme serre le filtre de sa clope avec ces dents alors qu’elle attrapa le verre de la demoiselle. D’après l’odeur, elle avait commander un Gin, elle sortit alors une bouteille de Gin d’un tiroir juste en bas, ouvrit une sorte de frigidaire d’où elle sortit des glaçons puis elle plaça un citron sur le côté du verre, tout cela en un temps record, puis elle posa le verre juste en face de la jeune femme. Plutôt mignonne ça c’était sur. La fumer de sa clope vint quitter sa bouche pour s’envoler titiller les narines des gens derrières le comptoir, éméché au possible, lui demandant encore de l’alcool… Qu’est-ce que Liam avait bien put leurs servir pour qu’ils soit déjà dans cet état ? Crissy se gratta la tête, il est vrai que Liam et les doses c’est comme deux et deux font dix… Eclatant de rire, Crissy leurs demanda se qu’ils désiraient, mais les deux jeunes hommes n’arrivaient même plus à aligner une phrase cohérente.. C’était finis l’alcool pour eux, en tout cas pour ce soir. Faisant un signe de la tête à l’un des videurs de la boite, il arriva en quelques secondes, les souleva et il les jeta dehors. La jeune femme aux yeux vairons ne voulait pas que cette soirée dégénère, donc elle serait prête à tout pour préserver cette bonne ambiance. Se servant un verre de Tequila, Crissy se roula un petit plaisir derrière le comptoir, interdit ? Ce n’est pas comme si Crissy suivait la loi ou quoi que ce soit d’autre, elle ne suit que ces propres règles, ces dix commandement à elle.. Quelqu’un pas loin de l’albinos venait de prendre place, elle cria « Une Tequilaaaaaa ! »… Et bien heureusement que Crissy n’avait pas rangé la bouteille. Elle prit un verre sur l’étagère de derrière, rondelle de citron au fond du verre, elle laissa la fumer de son joint passé par ces narines alors qu’elle versa le contenu de la bouteille de Tequila dans le verre. Crissy fit glisser le verre sur le bar qui arriva dans la main de cette femme habillé d’une bien étrange façon mais ce n’était pas dans le genre de notre patronne de faire des commentaires ou autres truc du genre. L’odeur de la Marijuana restait collé à la jeune femme qui commençait un peu à planer ; heureusement. La jeune femme s’approcha de la jeune Albinos, lui tendit un shooter de Vodka puis elle prononça alors.
▬ Cadeau de la maison. J’espère que tu t’amuse bien ici. Ne me dit pas que tu ne t’amuse pas, je vais déprimer sinon…
Crise de schizophrénie ? Sans doute. Sa personnalité enjoué entra en collision avec sa personnalité paniquer, celle qui part en vrille pour un rien, qui devient parano… Ce n’était pas le moment. Baissant la tête, elle tira plusieurs bouffé sur son joint. Quand elle releva la tête, son regard se fit aspirer par celui de cette jeune femme. Elle était petite mais il ne faut pas se fier aux apparences… Elle pouvait très bien être plus âgée que Crissy. Secouant la tête comme pour chasser ces mauvaises pensées, la jeune femme s’accouda au bar, son joint en bouche qu’elle serra entre ces dents, un minuscule sourire sur le coin des lèvres, elle lui demanda alors tout en regardant ce qu’il se passait dans la boite.
▬ Ce genre d’ambiance te plait n’est-ce pas ? Quel est ton nom ?
Si elle n’aimait pas l’ambiance, elle ne serait pas rester, c’était évident. Elle n’avait pas se regard perdu comme toutes les autres personnes assise au bar, cette fille, c’était différent. Ce sourire alors qu’elle avait finit son verre et qu’elle en avait commander un autre… C’était bien la seule qui buvait pour se mettre dans l’ambiance et pas une de ces dépressives qui voulait boire pour oublier ces soucis… Elle buvait pour s’amuser. Enfin, c’est ce que Crissy avait ressentis. Ce regard… Cette jeune femme possédait quelque chose, un truc que notre jeune demoiselle aux yeux vairons ne comprenait pas. L’ennuyait elle ? Avait-elle eu tout faux ? Et si elle était venue ce soir pour s’amuser mais aussi dans le but d’oublier ces soucis ? « Ne commence pas à te poser des questions Crissy sinon tu es dans la merde ! Bois un verre ! ». Plaçant du sel sur sa main droite, elle posa un morceau de citron vert juste à côté d’elle, dans son shooter se trouvait 5 cl de Tequila, 4 cl de Limonade. Elle prend le sel, tape la boisson contre le bar avec sa main droite sur le dessus du verre pour que rien ne s’échappe, réaction chimique la limonade fait des bulles et monte alors, la jeune femme but le contenue du verre cul sec, puis mordit le bout de citron vert. Où était-passé son joint ? Bonne question. L’alcool commençait à faire effet mais ce n’est pas pour autant qu’elle ne tiendrait plus debout ou quoi que ce soit d’autre du genre, Crissy est une habitué, une junkie, une alcoolique… Fière ? Non, y’a pas de quoi être fière. Choppant son paquet de cigarette, la jeune femme en alluma une nouvelle avant de ce servir une choppe de bière. S’asseyant sur le comptoir du bar, la jeune femme constatait que plus personnes ne demandait d’alcool.. Tant-mieux, elle aurait droit à une pause. Tirant sur le filtre de sa cigarette, Crissy regardait la mousse qui continuait de tomber du plafond, les gens continuaient de sauter un peu partout, hurlant, des mecs se faisaient porter par d’autres… C’était bien, c’était beau, Crissy aimait ce genre d’ambiance, et dire qu’elle en était l’orchestratrice… Il n’y avait pas plus magique. Son sourire prenait un peu plus d’ampleur sur son visage… Contente ? Ouais. Etrange. Ce n’est pas quelque chose qu’elle ressentait souvent la « joie », le « bonheur… Elle laissa échappé un petit rire. Qu’est-ce que la soirée allait lui réserver encore ? Bonne question ; mais il faut la vivre pour savoir la suite sinon, il n’y aurait pas d’histoire.
[Correction quand je rentre à la maison] |
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| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Jeu 10 Mai - 20:54 | |
| ❝D ans toute cette cacophonie tu avais réussi tant bien que mal à commander un verre, observant d'un oeil distant les vagues de gens qui se mouvaient au même rythme que la musique, dans une cadence parfaitement maîtrissé. Accoudée au bars tu sirotais tranquillement la fin de ton breuvage, sans remarquer qu'une jeune femme venait de sauter par-dessus le comptoir pour atterrir de l'autre côté, dans les coulisses entourés des bouteilles d'alcool et les verres, voulant prendre absolument la place du barman, cette drôle d'attitude attirais ton attention, si bien que tu quittas des yeux le fond de ton verre qui était maintenant désespérement vide pour t'attaquer à cette scène de théâtre comique qui se déroulait à proximité de toi. La même jeune femme qui avait escaladé le comptoir était en train de pousser le barman à l'aide de son postérieur pour acquérir la place du jeune en vain, si bien qu'elle en venait à la dernière ruse des femmes, le charme. Rien qu'à cette vue tu te mis à sourire, laissant même échapper un petit rire fugace entre tes lèvres, que tu fis rapidement taire en mettant ta main devant la bouche. Profitant de ce changement de serveur tu redemandais la même chose, reposant avec violence le verre sur le bar, tu ressentais quelque peu déjà les effets de l'alcool, toi qui n'avait pas l'habitude de boire et sans oublier un barman trop zélé avec les doses. Une cigarette en bouche la nouvelle barmaide pris ton verre et te resservit exactement la même chose, un nouveau verre de Gin, avec des glaçons et une rondelle de citron, avant de reposer ton verre devant ton petit minoie. Alors que tu sirotais tranquillement ton doux breuvage par petite lampée, tu voyais que la jeune femme qui t'avait servi il y a peu de temps était en train de faire la même chose que toi, mais l'alcool qui sombrait dans son verre étant d'une douce couleur ambré et se roulant très certainement un peu de chanvre dans une fine feuille de papier. Sitôt qu'elle avait fini son exploit une jeune femme près de toi ce mit à hurler après une Tequila, quelque peu surprise tu tournais la tête vers la personne qui avait hurlé sa commande, te laissant apercevoir un drôle de personnage, haut en couleur et quelque peu comique aussi. A force tu commençais à croire que ce n'était plus l'inauguration d'une boite de nuit, mais la première d'une nouvelle comédie comique, si bien que tu te mis à faire un grand sourire, avant de boire d'une traite la fin de ton verre. « Cadeau de la maison. J'espère que tu t'amuses bien ici. Ne me dit pas que tu ne t'amuses pas, je vais déprimer sinon... » T'offrit la jeune femme avec en grand sourire s'approchant de toi. Tu déposais alors, délicatement ton verre sur le bois du comptoir, pour observer le nouveau offert par la jeune femme. Tu l'attrappas et tu le glissais sous ton nez pour sentir quel genre d'alcool cela pouvait être, mais tu ne sentais pas grand-chose, si bien que tu regardais le verre d'un oeil septique. « Non, non, je ne voudrais pas vous offenser, c'est juste que j'ai un peu de mal à bien tenir l'alcool, mais dans tous les cas je vous en remercie. » Parlas-tu lentement oscilant ton regard entre le breuvage et la jeune femme, avant de lever le vers vers ton nez. Dès lors, tu glissais le rebord en verre du shooter contre tes lèvres pour commencer à les tremper délicatement dedans, avant de faire comme c'est prévu dans ce genre de situation, boire le tout d'une traite et cul sec. Si bien qu'à force de boire, le liquide te brûla la gorge te laissant une magnifique grimace se dessiner sur ton visage, te distordant la bouche dans un bruit étrange de dégout. Les yeux mi-clos, tu observais la barmaide en train de secouer la tête en train de fumer, quelque peu intrigué, tu arquas l'un de tes sourcils suite à son comportement avant de reposer le verre à nouveau sur le comptoir, pour la troisième fois de la soirée en très peu de temps, si bien que tu commençais à sentir les effets de l'alcool sur ton système nerveux. « Ce genre d'ambiance te plait n'est-ce pas ? Quel est ton nom ? » Te demanda-t-elle avec un sourire aux lèvres, quelque peu surprise tu reculas la tête vers l'arrière par pur instinct et quelque peu craintif, comme un animal sauvage. Tu t'apprêtais à dire quelque chose, mais tu te ravisais rapidement, laissant tes lèvres vaguer dans le vide, formant des parcelles de mots aphone avant de trouver quoi réellement dire. « Me déplaire ? Non je ne dirais pas tellement ça, c'est juste que je ne suis pas tellement habitué à ce genre d'ambiance. » Lui avouas-tu avant de reprendre la conversation en répondant à sa question. « Moi c'est Olympe. » Te présentas-tu cette fois-ci sommairement sans en dire plus sur tes origines, alors que tu t'apprêtais à tendre bêtement la main, tu te ravisais rapidement voyant la jeune femme se faire un petit cocktail physique avec ce qui te semblait être du sel et un morceau de citron vert, se laissant boire le tout cul sel avant de mordre à pleine dent dans le citron, avant de se laisser choir sur le bois du comptoir avec une cigarette à la main. Alors, que toi pendant ce temps-là tu essayais tant bien que mal de comprendre un peu la situation avec ton cerveau qui s'embrumait méchamment. Alors, qu'elle était assise sur le comptoir en train de se fumer une clope, tu pivotais légèrement sur le côté en gardant appuis sur le rebords en bois du comptoir, tu observas longuement à travers tes yeux rougis par l'épais nuage de cigarette pour y observer chez la jeune femme aux cheveux noir corbeau de magnifique yeux vairons, une chose qui était aussi très rare au sein du dôme, te penchant dangereusement en avant, tu choppais entre tes doigts le rebords pour te retenir, laissant tes jointures blanchir sous la pression, écoutant le rire de la jeune inconnue. Si bien que les sourcils froncés et un peu à l'ouest tu commençais à réfléchir un peu trop à la situation étrange. « Mais, maintenant que j'y pense qui pouvez-vous bien être pour vous permettre de passer par-dessus le comptoir d'un bar et de prendre la place d'un serveur en usant des charmes féminins ? » Formulas-tu de manière un peu brouillon suivant le cours de tes pensées fortement confuse avant de reprendre la même idée, mais en la reformulant de manière beaucoup plus simple. « Comment vous vous appelez mademoiselle ? » Lui demandas-tu simplement pour qu'elle se présente à toi. Tu commençais légèrement à avoir des fourmis dans les jambes, si bien que tu décidas qu'il était temps que tu bouges, en t'aidant de tes faibles bras tu te propulsas un peu vers l'arrière en t'aidant du comptoir, pour le lâcher enfin et faire quelques petits pas seule, tel un jeune enfant. Un peu groggy et à l'ouest tu ne prettais pas gère attention au quelconques bruits et tu avanças rapidement le long du comptoir, mais pourtant tu n'avais pas grandement avancé. Si bien qu'un peu saoul tu levas la tête vers le plafond pour découvrir de la mousse suspendue à ce dernier. Très rapidement tu fis les gros yeux extrêmement surprise par cette chose incongrue. « Pourquoi il y a de la mousse au plafond ?! » Questionnas-tu à la première personne qui se trouvait à tes côtés en montrant du doigt le dit plafond avant de redescendre la tête pour chercher du regard ton interlocutrice qui n'était autre que la jeune femme qui avait commandé une Tequilla avec son look si particulier et étrange. ❞ |
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| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Sam 12 Mai - 22:01 | |
| La suite d'une aventure, c'était bien le sentiment d'avancer sur le cours du temps en suivant les éléments que le monde disposait pour toute subjectivité. La force de prendre la perspective pour objectivité, voilà bien un exercice difficile dans lequel Cilly n'excellait pas le moins du monde. Car ce monde était flou, et elle le prenait pour assuré, puisque dans sa tête tout l'était. Mais tout au moins le danger existait, ce n'était que la mort ne l'effrayait point; son intelligence se bornant aux contours soigneusement dessinées par toutes ces années d'existences, et sans doute, elle ne pouvait se rendre compte qu'un monde qui s'éteint comporte en son sein une tristesse infinie. Elle l'esquivait, ce sujet crevant, la bouche ouverte sur le monde en attendant la fin inexprimable. Le plaisir, seulement lui, pour tout objet de recherche, seul objectivité prenante capable de retenir son attention.
Elle sirotait son verre en marquant l'attention de ces yeux bleus sur les gens environnants. Comme remarqué depuis son arrivé, il y avait un peu de tout dans cette assemblé. Cilly recherchait des compagnons, au moins un pour satisfaire son corps languissant, le reste, il lui importait peu de le rencontrer en ce soir d'ivresse. La musique n'était rien qui puisse totalement la satisfaire, ces coups assénés rapidement à l'encontre de l'harmonie qui affectait habituellement les sens de Cilly, ce n'était pas pour ses oreilles affutées à l'écoute de musiques plus sereines, si tant donné que cet adjectif puisse correspondre à l'idée que vous puissiez vous en faire, lecteurs, quand dans son esprit dérangé, cela correspondait plus à un état particulier d'un bonheur si bien connu. L'écriture souffre de suivre le cours des pensées, posés en mots, le support ne peut supporter la libre expression des mots qui suivent les images, dans l'esprit. Mais tout au moins, c'est bien perché dans les hauteurs de son génie pensant, que Cilly s'était perdue; et ne prêtait plus attention au objectifs qu'elle s'était posée en entrant. Somme toute, elle ne remarqua pas la propriétaire de l'établissement qu'au moment où celle ci lui avait servit son verre. C'est qu'elle était belle, plus belle qu'elle selon les critères que son esprit retenaient sur le visage et le corps des femmes. Surtout, la bonne odeur que dégageait tout son corps, et qui ne provenait pas des suaves parties anatomiques qui parfois vous livrent quelques senteurs inexprimables; mais bien d'une fumée bien connue qui donnait l'envie de partager. Or, Cilly le savait bien, elle n'aurait rien qui lui soit donné d'une inconnue; aussi porta-elle son attention sur un moyen dérobé de parvenir à ses souhaits. L'occasion lui tendît bientôt les bras, la fumeuse parlait, et l'excentrique personnage coiffée d'un chapeau de sorcière remarquât que son joint tomba sur le comptoir pour rouler doucement à coté. Elle s'en saisit tout aussitôt, et regarda d'un sourire enfantin la discussion qui retenait toute l'attention des deux femmes. On ne l'avait pas vu, elle en ria intérieurement, une petite victoire, un petit jeu de tromperie mené avec brio... Son sourire embellît tout son visage et elle se retourna vers la foule où bientôt elle s'élancerait pour aller danser; car si la musique ne lui plaisait qu'à moitié, son corps s'en contenterai aisément pour aller se balancer frénétiquement.
Tout en fumant de longues lattes de cette herbe qu'elle trouvait excellente, fusse seulement pour le goût du plaisir d'avoir volé, elle mît sa main dans son petit sac turquoise et en sortît une pilule dont elle détenait le secret; et qui avait pour effet de bien grandes indispositions pour les êtres raisonnables. Elle repassait en revue tout ce qu'elle avait pu noté à ce sujet: hallucinations moyennes, chaleur intense dans les parties génitales tandis qu'une froideur exquise engourdissait tout le reste du corps. Selon les sujets et bien sur selon la dose (toujours aléatoire) des différentes pilules, les hallucinations variait, mais elle en avait retenu un embellissement de l'environnement, un flou tout présent sur les contours et un ralentissement latent qui aidait l'esprit à mieux se rendre compte de la façon dont maintenant il percevait les visages et les gestes d'autrui, lesquels étaient tous teintés de grâce et d'une légèreté divine. Tant et si bien qu'un laideron devenait, tant de corps et de visage, une image sublimée des rêves de la personne droguée, qui ne se servait presque plus de la perception basique des êtres humains pour évoluer dans le monde. Cilly tournait et retournait cette pilule dans sa main, se questionnant à présent sur l'utilité de l'avaler maintenant, ou après qu'un mec laid l'ait accostée. Elle regarda de nouveau autour d'elle, buvant une gorgée de sa tequila, et remarqua la jeune fille qui discutait tantôt avec la propriétaire du joint, tentait à présent de s'avancer avec difficulté le long du comptoir. Cilly sourit devant cette frêle apparition, non point pour le mépris, et bien plus pour la comédie que lui inspirait ses pensées lorsqu'elle essayait de se mettre dans la tête de la fille. Celle-ci regarda alors en l'air, et pointant du doigt la mousse qui tombait, la questionna. Mais Cilly n'en finissait pas de sourire, malicieusement, avec de grands yeux d'enfants. La pilule qu'elle avait dans sa main, c'était pour elle, il n'y avait plus aucun doute là dessus. Mais comment parvenir à cette fin ? Le plus drôle dans cette histoire, c'était bien que la fille ne s'en rendent pas compte... Quand bien même, Cilly était prévenante, et ne quitterait pas la droguée de sa vue tant qu'elle ne serait assurée qu'elle fût en sécurité, et qu'elle gérer convenablement le produit avalé. Il lui vient l'idée de l'embrasser, cette grande bouche ouverte qui regardait toute étonnée le plafond. Mais cela lui sembla un poil osé pour un début, et de toute manière elle pourrait paniquer en sentant la pilule tomber dans sa gorge. Elle glissa simplement la drogue dans son propre verre. L'étrangère fît tomber son regard dans le sien après avoir posé sa question.
"C'est qu'il faut boire un peu plus pour comprendre toute cette subtilité ! La mousse, c'est grandiose comme idée, et si c'est au plafond, c'est bien pour avoir quelques yeux étonnés se lever vers elle, pour qu'après ils puissent regarder mieux ce qu'il y a sur terre."
Elle sourit tendrement à ce qui lui semblait être une jeune enfant, et lui tendit son verre avec un grand sourire enfantin, ne découvrant aucune de ses dents. |
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| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Lun 14 Mai - 10:44 | |
| La Tension Monte. Elle atteint les limites du seuil espérer. L'ambiance devenait de plus en plus chaude, beaucoup plus de gens arrivaient, rattrapent leurs retards. Crissy fit un signe à Liam, il était temps pour lui de reprendre le bar. Fuir ? Ouais, c'est ce qu'était en train de faire la jeune femme, elle lui laissait tout ce beau bordel à gérer. "Have Fun Lilum!" lui cria-t-elle en explosant de rire. Il ne pouvait pas lui dire non et elle en jouait. Un verre à la main, Crissy était maintenant à quelques centimètres de la demoiselle albinos. S'accoudant et s'adossant au bar, la jeune femme aux yeux vairons fut assez peiné de voir qu'elle n'accepta pas le verre qu'elle lui proposait, mais en même temps, si elle ne tenait pas l'alcool et qu'elle voulait passer une bonne soirée, elle avait prise la bonne décision. Les toilettes pleines de gerbe c'est qui qui nettoie après ? Non, ce n'est pas Crissy, mais Liam, mais bon, c'est du pareil au même. Soupirant alors que des gens commençait à s'empiler dans la salle tel des rugby-man, Crissy n'avait aucune envie de rentrer dans le tas, ce n'était pas son genre de "trip". La demoiselle à ces côtés lui expliqua qu'elle n'était pas habitué à ce genre d'ambiance et à en croire ce qu'elle disait, celle-ci ne lui déplaisait pas, tant-mieux. Un sourire énigmatique accrochée aux lèvres, la belle aux yeux vairons demanda à Liam un autre verre ainsi qu'un de ces nombreux paquets de clopes qui se trouvaient sous le comptoir. Encore une fois, dosage mortel pour ce qui était de la vodka... Elle était limite pure ? Tant-pis, Crissy serait complètement éméché ce soir. S'étirant après avoir bu son verre et sans avoir rien dit depuis que la jeune albinos ne lui ai expliqué son point de vue, cette même demoiselle lâcha une phrase qui laissa transparaître de la stupeur chez Crissy, ce n'était pas donné à tout le monde...
▬ Mais, maintenant que j'y pense qui pouvez-vous bien être pour vous permettre de passer par-dessus le comptoir d'un bar et de prendre la place d'un serveur en usant des charmes féminins ?
Juste énorme cette fille. Malgré qu'elle parle comme une "noble", comme une "aristocrate", Crissy se laissait petit à petit attendrir. Non pas qu'elle devenait une bisounours, loin de là, mais elle était de plus en plus intrigué, subjugué par sa beauté et sa prestance, car oui, elle en avait. Laissant échapper un nouveau rire complètement franc et aussi un peu déformé par l'alcool, elle n'eu pas le temps de lui répondre qu'elle venait de lui demander son nom. Et bien et bien, cela en faisait beaucoup, des questions. Se grattant la tête tout en s'ébouriffant les cheveux, la belle aux yeux vairons répondit alors sur un ton enjoué, jovial.
▬ As-tu vraiment besoin de savoir qui je suis ? Après tout, tu ne m'as même pas dit le tien de prénom. Pour ce qui est de passer derrière le bar et prendre la place du serveur, pour moi, c'est normal. Ici, je suis à la maison.
Aucune animosité, rien, elle ne jouait pas avec elle, Crissy était tout simplement franche. Pourquoi chercher midi à quatorze-heure ? Pourquoi se poser toutes ces questions en cette belle soirée qui ne demandait qu'à être épuisée ? Il fallait vivre cette soirée, s'en abreuvé, en être prisonnier. Crissy voulait que tout le monde ici présent soit sous l'emprise de L'Absolue Absolène; c'était aussi simple que ça. Après réflexion, elle aurait voulu dire son nom à l'albinos et quand elle s'apprêta à le faire, la jeune femme était déjà en train de partir, apparemment plutôt en train de se dégourdir les jambes, vue la manière dont elle marchait. Des fourmis ? Sans doute. La musique raisonnant de plus en plus fort, la belle aux yeux vairons demanda à Liam de lui servir un énième verre, cette fois-ci, pas du tout de jus de pomme, juste de la Vodka... Il faudrait peut-être qu'elle lui apprenne à dosé sérieusement et surtout à utiliser des doseurs quand on est serveur. Se grattant la tête, un sourire en coin, la jeune femme avait sentit depuis tout à l'heure l'odeur de sa marijuana qui planait dans les environs, elle n'avait rien dit alors qu'elle était avec l'albinos, mais cela lui revint alors en mémoire. Elle n'avait donc pas rêvé, on lui avait piqué son joint, son petit plaisir. Faisant craqué ses doigts, la jeune femme savait pertinemment qui était l'investigatrice de cet acte. Cette fille, habillé en une sorte de mage noir qu'on ne voit que dans les jeux vidéos... Une bombe sexuelle aussi mais ça, pas besoin de le dire. Elle la trouva dans cette foule de gens, pas vraiment difficile vue sa tenue... L'albinos s'approchait d'elle dangereusement et Crissy n'avait pas halluciné, une pilule venait d'atterrir dans le verre de la beauté à la tenue de mage pour ensuite le proposé à la demoiselle aux cheveux blancs... Drogué quelqu'un ? Intéressant. Elle n'avait pas froid aux yeux la miss, mais dans l'Absolue Absolène, la seule qu'on drogue, c'est Crissy ! Marchant avec rapidité, esquivant les gens, elle attrapa le verre avant de passer son bras autour de la petite albinos. Elle lança alors sur un ton hautain.
▬ Désolé, elle ne tient pas l'alcool et vue ce que tu à mis dedans, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Donc...
Avant d'avoir pu finir sa phrase, elle but le verre cul sec avant de le lui rendre en main propre. Un énorme sourire suspendu à ses lèvres, elle regarda alors l'albinos puis lui dit alors.
▬ Et si je testais l'effet de cette pilule moi même ?
Resserant un peu plus son étreinte sur les épaules de l'albinos en faisant bien attention à ne pas lui faire de mal, Crissy, qui était un peu plus grande qu'elle, posa son menton sur sa tête, lui disant alors.
▬ Au faite, Tu voulais savoir qui j'étais ? Je suis Crissy Irving Kain, la patronne de l'Absolue Absolène.
Crissy se posa alors de nombreuses questions, assez intrigué par les effets de cette pilule. Jamais elle n'en avait vue de semblable et quand une nouvelle marchandise arrive sur le marché, logique que la Junkie l'essaye. L'alcool lui montait à la tête, la musique faisait vibrer et battre son coeur de plus en plus vite. Une châleure étrange était en train d'enivrer son corps. Elle ne savait pas ce qui lui arrivait, mais en cet instant, Crissy se sentait bien. Tout autour d'elle semblait magnifique, beau. Ils roxaient tous du poney, ils étaient tous en train de partir en cacahuète, mais ils ressemblaient tous à des acteurs de cinéma et elle se trouva bien ternes pour compléter ce tableau. "Non non non, personnalité numéro onze de Crissy, tu ne dois pas ressortir maintenant..." Bad trip. Crissy prend une tête de dépressive compulsive qui risquait de se mettre une balle. Ce qui lui arrivait ? Comme d'habitude, elle pétait un câble, une mini durite. Quand on a plus de trente-six personnalitées et entité qui se trouve dans un petit corps, voilà les genre de risque qu'il peut y avoir. M'enfin, cela ne durerait sans doute pas longtemps ; ou pas. Pour l'heure, Crissy commença à se sentir mal... Agoraphobe, elle n'aime pas la foule et en cet instant, elle était au milieu d'une vague de personnes qui sautaient tous en rythme de la musique, qui chantait sur le morceau qui passait... Une longue respiration alors qu'elle tente de reprendre son calme. Elle voulait demander à cette femme qu'elle était cette pilule et quels étaient ces effets, mais pour l'heure, elle n'arrivait plus à aligner ses pensées ni même quelques mots... Etrange.
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| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Lun 14 Mai - 15:34 | |
| ❝T u n’avais pas à chercher bien loin parfois, comprendre tes limites n’était peut-être pas si mal et tu savais maintenant que tu tenais mal l’alcool, même si tu avais quelque peu l’impression que c’était encore pire que d’habitude, si bien que tu ne savais quelle en était la cause, les doses sauvages d’un serveur à la main beaucoup trop leste ou bien tout bêtement le fait que ton organisme était plus vite enivré lorsque tu avais le gosier vide. Si bien que tu n’étais plus tellement dans ton élément dans tes basquette, l’air un peu hagard et le regard à l’ouest tu cherchais à comprendre ce qui se passait dans ce monde si étrange et si particulier qu’était cette boîte de nuit, tout information était bonne à prendre pour en savoir plus, mais en aucun cas tu irais jusqu’à dire que tu n’aimais pas cet endroit, non ceci était beaucoup trop sectaire et tu ne le supportais point. Pourtant, tu essayais tant bien que mal de garder un peu ton esprit lucide et ton corps actif, c’était pour ça que tu avais bougé de l’endroit où tu étais pour faire quelques pas vascillant devant toi pour t’arrêter subitement devant le vide et de lever la tête en direction du plafond pour y découvrir au plafond, tu avais même questionné une femme qui était tout proche de toi pour lui demander la raison du pourquoi de cette saugrenue idée. « C'est qu'il faut boire un peu plus pour comprendre toute cette subtilité ! La mousse, c'est grandiose comme idée, et si c'est au plafond, c'est bien pour avoir quelques yeux étonnés se lever vers elle, pour qu'après ils puissent regarder mieux ce qu'il y a sur terre. » Essaya de t’instruire la jeune femme au déguisement si étrange que tu ne pensais même pas que celui-ci pouvait exister, mais pourtant tu avais un peu de mal à comprendre cette drôle idée et encore plus son explication si bien que tu continuais de la regarder avec de gros yeux, arquant un peu plus tes sourcils pour y laisser de grosses rides d’expression se former grace à la peau distandu de ton front. « Mais, n’empêche ça reste de la mousse… Franchement commence ce truc a pu atterrir là, mais le pire c’est que je plains l’idiot qui devra se taper la corvée de nettoyage… … De la mousse au plafond, on aura tout vu… La prochaine fois on mettra les tables et les chaises au plafond pour montrer quoi . Que c’est bien pratique ces trucs-là… » Continuas-tu dans ta petite idée sectaire et quelque peu alcoolisée en n’arrêtant pas de faire de grands cercles avec tes mains pour désigner tour à tour les meubles, le plafond et la mousse au plafond pour terminer à faire de petit cercle à l’aide de ton index sur ta tempe comme pour mimer un fou à l’esprit distordu. Pourtant la jeune femme avec qui tu avais conversé, quoique bien étrangement, venait de te tendre gentiment un nouveau verre d’alcool, instant presque avec son grand sourire enfantin, tu esseyais tant bien que mal de refuser verre en étant toujours la plus polie qui soit, mais parfois c’était compliqué et tu le savais on ne peut plus bien. Même si tu croisais tes mains vivement en les bougeant de temps à autre pour toujours reformer une sorte de « X », la brune était toujours instante. Tu n’avais pas entendu les pas rapides et insitant qui marchait derrière toi pour tout aussi rapidement t’enfermer dans un étau à l’aide de ces bras juste avant de choper le verre l’alcool que tendait la jeune femme devant toi avec insistance. « Désolée, elle ne tient pas l'alcool et vue ce que tu à mis dedans, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Donc... » Dit une voix hautaine au-dessus de tatête, raisonnant beaucoup trop dans tes oreilles si bien que tu essayais de faire disparaitre ce drôle de bourdonnement en essayant de craquer ta mâchoire. « De quoi je me mêle je ne suis pas non plus une enfant ! » Répondis-tu presque du tac au tac en essayant de relever la tête pour apercevoir le visage de cette personne bien envahissante et sans limite. « Vous ! Mais… Qu’est-ce qui vous donne le droit de faire ça ? Je vous connais ni d’Ève ni d’Adam ! » Rallas-tu en forçant beaucoup trop les sourcils comme le ferait un mime pour exprimer une émotion, mais à cause d’un esprit un peu trop embrumé et d’une paire de talons trop hauts tu n’arrivais pas t’extirper de là, si bien que tu pouvais la regarder avec insistance toutes les coutures rien ne changerait la balmaine de substitution pouvait te garder dans ses bras comme une petite poupée, soit l’une des choses que tu aimais le moins du monde… L'air complètement ahurie, tu laissais tes yeux vogués entre les deux femmes bien étranges et à mille lieues de toi et de ton petit monde, comme une étrangère tu ne savais pas tellement comment réagir à cette drôle de situation, mais tu ne pouvais pas t’empêcher de jouer des expressions avec ton faciès. Si bien que parfois tu fronçais fortement des sourcils, alors que d'autres fois c’était ta bouche qui se distordait d’un côté, mais à la fn tu n’étais pas totalement calme et rassuré et tu te demandais ce qui allait se passer. Pourtant la jeune femme aux yeux vairons leva le verre encombrant et le porta à ses lèvres avant de le boire cul sec et d’une traite avant de le rendre en main propre à l’autre brune et à la tenue si étrange. « Et si je testais l'effet de cette pilule moi-même. » Te questionna la jeune femme qui te serrait par-derrière toi avec un grand sourire et te regardant avec insistance, mais comme un coup de poignard dans le ventre, tu jettas un regard noir à la jeune femme qui t’avait parlé de la mousse bizarrement. « Non, mais oh ! Je peux savoir ce qui vous aient passé par la tête ? C’est nouveau ça, on drogue les gens à leur insu, bientôt vous allez me dire. Tient aujourd’hui je mettrais bien des petites pilules de toutes les couleurs dans le verre des inconnues et puis on va s’amuser à les voir partir à l’ouest, mais je peux savoir ce qui tourne pas rond dans votre petite caboche ?! » Grognas-tu extrêmement en colère si bien que tu faisais de grand geste avec tes mains et tes bras, quoique la jeune femme aux yeux vairons te serrât un peu plus fortement dans ses bras. « Et bien sûr vous buvez le verre, même si je vous en remercie de m’avoir évité de boire cette merde… » Rochonas-tu plus lentement, mais avec le même ton, mais en calmant un peu tes mouvements brusques pour juste relever une fois ou deux tes bras avant de les faire retomber lourdement sur tes hanches totalement impuissantes. À croire que la jeune femme aux yeux vairons venait de t’adopter comme un petit chien, puisqu’elle venait de poser son menton sur le sommet de ton crâne, tu avais beau lever les yeux au ciel autant de fois que tu le voulais jamais ô grand jamais tu ne pourrais la voir, à croire vraiment si le corps humain est la plus belle machine au monde. C’est parfait, sans baisser son cou en arrière aucun être humain ne peut voir ce qui se passe au-dessus de sa tête, ce qui est vraiment pratique… « Au fait Tu voulais savoir qui j'étais . Je suis Crissy Irving Kain, la patronne de l'Absolue Absolène. » Te répondit-elle enfin, mais ce n’était pas tellement comme ça que tu espérais qu’elle allait te répondre puisque les coups de mâchoire de la jeune femme contre ta boîte crânienne à chacune de ses syllabes prononcées ce n’est pas tellement ce qui a le plus confortable et tu pourrais presque dire que ceci est douloureux. « Ah ? Moi je dirais pas ça… Crissy Irving Kain, dame un peu saoule et qui boit tout ce qu’elle trouve aimant particulièrement les petites pilules de toutes les couleurs et accessoirement patronne de la boîte de nuit, l’Absolue Absolène et qui aime bien aussi tout aussi accessoirement prendre les gens de petite taille comme repose menton et s'ils sont albinos c’est encore mieux ! Vous ne trouvez pas que ceci est plus exact… » Reformulas-tu sa présentation un peu plus méchamment en rentrant la tête dans tes épaules et en soufflant sur une mèche de cheveux imaginaire avant de tourner le regard vers la drogueuse. « Alors vous je parie que c’est bonjour, bonsoir tient un verre et vient me voir dans l’arrière-salle j’ai des bonbons c’est ça . Ou bien c’est Frankstein et ses drôles d’expérience. » Questionnas-tu d’une voix acerbe lui lançant des éclairs avec les yeux, avant de finir par les rouler dans tous les sens un peu excédé par la situation étrange. Cette drôle de situation avait réussi tant bien que mal à te rendre les idées plus claires, mais pour autant tu n’avais pas totalement le contrôle sur cette drôle de situation, mais une chose et sur tu commençais à avoir de plus en plus mal à la tête non pas à cause de l’alcool, mais à cause de l’imposante mâchoire qui devenait de plus en plus lourde, certes tu n’étais pas costaud, mais tu ne pensais tout de même pas que c’était à ce point. Si bien que tu rallas un bon coup, laissant tout ton corps gronder de part et d’autre. « Dis-moi Crissy Ivring Kain, patronne un peu ivre et totalement shooter aux pilules hallucinogènes, vous comptes prendre racine sur mon crâne ou bien vous allez poster ailleurs ? » Essayas-tu de lui demander le plus gentiment du monde en posant tes mains sur tes hanches et en essayant toujours en vain de la toiser du regard, mais rien ne fonctionner, c’était peiné perdue. « Au passage, vous ne voulez pas m’aider à me débarrasser de ce truc sur ma tête au lieu de remplir les verres des autres pour vos expériences personnelles, puisque après tout ce n’est pas elle qui vient de se siffler un verre avec je ne sais quoi dedans et qui maintenant me prends pour une repose menton ? Si, alors bon, vous allez vous bouger le cul et prendre vos responsabilités et puis si en plus vous pouviez prendre vos cliques et vos claques pour me foutre la paix avec votre expérience chelou et le mot est faible je vous en serais reconnaissante… » parlas-tu vivement et ayant hâte de te voir délivrer de ce poids encombrant et envahissant, mais parfois même en repensant à ton petit laïus tu te demandais si tu avais été bien clair dans tes propos, mais tu n’avais pas tellement la tête à penser à ça tu espérais juste pouvoir respirer tranquillement et puis peut être faire un petit tour rapide aux toilettes ça ne serait pas de refus… ❞ |
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| Sujet: Re: Event ~ OUVERTURE DE LA BOITE ~ Everyone Jeu 17 Mai - 13:01 | |
| Mots rescapés des pensées antérieurs, si longtemps réfléchit, à tourner à l'infini dans les différentes sphères d'état d'esprit. Cilly opposerait bientôt son regard et son sourire enfantin à l'expression la plus sérieuse qu'elle puisse mener; et celle-ci se posait juste avant la figure donné en signe de mort aux importuns. Quelle froideur, du haut de ces cieux solitaires, la belle usait, en regardant la scène qui allait se dérouler.
Il n'y a que les imbéciles ou les génies qui puissent vivre sans autrui. Le reflet encore était teinté d'assez de mystère pour que la scène suive ainsi: que la fille prenne la pilule, qu'elle découvre un monde. Cilly lui aurait tendue la main, c'était une façon trop étroite de comprendre le sens du mot relation. De quel droit, cela était vrai ? De quel autorisation la chimiste s'octroyait le jugement de porter au bout son action saugrenue ? Pour tout dire, ces questions n'avaient pas effleuré le malin génie de Cilly. Au contraire, sitôt pensé, une chouette excitation s'éprenait de son corps, et l'on a pas a craché dessus pour d'autres considérations que les conséquences. Pourtant la conséquence n'allait pas tarder à poindre son nez. Voilà bien que le monde lui jouait encore des tours; la barmaid se rapprocha du groupe, la jeune fille en pointant son regard dans les yeux insistants de Cilly, lui montra quelques traits qui n'engageait pas la suite de l'aventure imaginé. Après tout, cela n'était pas grave. Elle aurait pu agir autrement, plus subtilement, et d'ailleurs elle avait encore assez de marge de manœuvre pour tenter un autre coup de dés, plus tard.
Cilly s'apprêtait à reprendre son verre, à le porter à sa bouche et s'en aller danser joyeusement. Le joint fumait encore à ses cotés, la fumée se soulevant à l'intérieur de sa jupe, s'en aller rejoindre les hauteurs déjà fumantes du plafond. La mousse ? Fallait bien qu'elle tombe un jour, et en cette nuit, Cilly l'imaginait gonflant les bas fonds, là où les pieds de centaines de gens (ou plus ? Trop de lumière éparpillés au deux bouts d'un panel large comme un arc en ciel pour savoir) battaient une mesure endiablé qui ne s'accordait qu'à moitié avec la musique. Elle cacherait tout cette mousse ! Elle gâcherait tout ? Cilly l'avait pensé tantôt avec un sourire. Mais de retour au visage de Crissy, elle lâcha prestement le verre tendu. En fait, on lui avait pris, tout simplement, mais dieu qu'elle était bonne cette herbe ! Toujours être conscient... Elle fuma une nouvelle fois en regardant méchamment la patronne de la boite. Ce n'était qu'un regard froid, un poil méprisant, concentrant en serrant les yeux, un désaccord profond avec le geste effectué. Elle ouvrit la bouche pour exprimer mieux et plus encore ce désaccord ayant flingué la suite de la soirée tel qu'elle l'imaginait. Mais ce que Cilly prenait pour une jeune serveuse, ou cuisinière, quelque métier que ce fût, pour une fille simple, révéla bien plus de prestance qu'elle ne lui en avait donné d'abord. Elle porta son regard sur Crissy, puis sur l'autre, et retournant à Crissy elle la vit sous les effets de sa pilule. Or comme il était proprement impossible de deviner la quantité de substance présente dans celle-là, ni de prévoir le métabolisme de la demoiselle, Cilly resta concentré dessus. Elle entendît pourtant le discours proféré en défense, et qui montra toute défiance envers sa drogue. Cela assurément ne lui plut point; mais elle approcha doucement son visage de Crissy qui semblait fermer ses yeux. En gardant toujours la froideur de son regard, elle susurra prêt de l'oreille:
Tu as plutôt intérêt à trouver un compagnon pour ce soir, la gamine, je l'aurai bien épaulé, mais le trip de la belle hautaine comme toi, ça m'intéresse pas. Si tu te sens trop mal...Elle mit sa main dans son petit sac et après quelques gestes sûrs, elle en sortit une nouvelle piluleTu peux toujours prendre celle-là, et t'iras dormir sans encombre, mais le mieux c'est encore avec quelqu'un
Cilly revînt à sa place, et finit d'entendre parler l'albinos qui s'échauffait. Elle soupira, et sans quitter sa froideur entama à son tour quelques soliloques.
Ce qui il y a d'amusant, ma jolie, dans ce monde... C'est bien d'avoir affaire à des gens, l'on ne saurait dire quels pensées tournoient en joie dans leurs esprits; dirons-nous, fêlés ? La côte du bien pensant n'est de mise que dans votre quartier ! Sachez, madame, que plus bas l'on meurt pour peu, et qu'il n'y a qu'un peu d'humour et de découverte pour sauver les âmes éprises du malheur. Qu'en sais-je, si cette expérience que vous auriez mener aurait été simplement génial ? Ou totalement absurde et dangereuse ? Cela, ce n'est pas à moi de le juger, je ne juge que ma place en ce monde fut faite pour créer des substances qui développe votre perception au delà de la vision normale. Or, ce monde que vous voyez, en avez vous la moindre perception qui puisse être qualifié de bien ?! Qui puisse s'arroger de juger la mienne ? J'ai voulu brisé votre libre arbitre, d'autre l'aurait fait pour briser votre vie. Ne prenez pas cela au sérieux, cela n'a rien de dangereux tant que je décide de surveiller. J'ai pris mes responsabilités vis-à-vis de cette demoiselle, à elle de prendre les siennes.
Sur ces paroles qu'elle avait eu difficile à sortir, mais qui en glissant sans arrêt n'avait pas laissé le temps à la réponse, Cilly sentait la colère montait, et assurément elle n'en voulait pas. Elle tira une derrière longue latte et l'écrasa brutalement dans un cendrier proche. Puis elle partît, coupant court à la situation et aux discussions, elle se retourna vivement et alla s'enfoncer dans la foule, où bientôt ses pensées s'échappait de ces mots proférés. Qu'elle puisse ainsi gesticuler en toute tranquillité au milieu de la foule anonyme. Somme toute, c'était une action bien raté, manque de finesse et résultats laborieux... Mais à quoi bon les remords ? Elle repasserait tout à l'heure, voir comme elles s'en étaient sortis... Pour l'heure, seul la danse comptait. |
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