Jeudi soir, minuit ~

Il était temps de fermer le bar. Après avoir fais un peu de ménage tout de même et bien que demain, j’aie décidé de prendre un jour de congé, je me vois mal laisser le bar dans un sal état. Donc, après avoir tout rangé et lavé, je fermais le bar et pris mes affaires pour ensuite rentrer chez moi. Il faisait assez frais et dommage, je n’avais pas pris un gilet. C’est pénible car en ce moment, c’est un jour il fait très beau et chaud, un jour il fait mauvais et ça fait froid, alors, du coup bah, on ne sait jamais comment vraiment s’habiller. Je me dépêchais alors car tout de même, les rues ne sont pas sûres la nuit alors il vaut mieux ne pas traîner, c’est moi qui vous le dit. Dans environ 15 min plus tard, je fus chez moi. Heureusement, je ne rencontrais personne sur ma route donc ça allait plutôt vite. Rentrée chez moi, je posais mes affaires pour aller me préparer un encas. Bien que je fasse de temps en temps office de restauration rapide au bar, je n’ai pas vraiment eu le temps de me préparer quoi que ce soit à manger. Puis comble du comble, en me coupant une tomate et deux tranches de pain, je me suis coupée la main. Pas très profond mais suffisamment pour faire couler le sang. Le premier reflexe que j’eus fut bien entendu d’aller passer ma main sous l’eau puis de laisser couler jusqu’à ce que ça passe au moins un peu. Bien sûr, la blessure me fit un peu mal et je devais tenir ; j’étais tout de même forte merde quoi ! Environ dix minutes plus tard, après que l’eau ait permis de faire stopper le sang, je partis vite à la salle de bain pour aller me chercher du désinfectant et de quoi bander ma main.
Une fois que cela fut fait, je repartis dans la cuisine pour terminer de préparer ce que je me faisais à manger et après avoir mangé, je me dirigeais vers ma chambre, me changeant pour mettre une simple nuisette de nuit puis fuma une dernière cigarette avant d’aller dormir.


Vendredi matin, 10h30 ~

Bip… bip… bip… Le réveil sonna. Cette fois-ci, je l’avais mis en mode Bip bip et pas de radio ; la dernière fois j’ai eu droit à du Tryo repassé en boucle donc non merci. J’étais en congé aujourd’hui, ça tombait plutôt bien. J’allais pouvoir profiter un peu de ma journée pour aller flâner dans les rues du centre-ville et faire un tour au marché pour aller acheter de quoi manger les prochains jours. C’est sûr que c’est mieux de manger des produits frais hein. Donc, j’éteins le réveil puis me réveillant tout en douceur, je restais couchée dans mes draps. Comme tous les matins, par la suite je m’allumais une cigarette dont je me délectais intensément pendant 5min. 5min de pur bonheur *w*. Je me levais ensuite pour aller petit-déjeuner puis partis à la salle de bain pour regarder dans un premier temps ma plaie mais ça avait l’air de cicatriser correctement. Je changeais alors le bandage en appliquant de la pommade puis me lavais vite fait le visage avant de m’habiller. Je partis ensuite voir dans le frigo ce qu’il manquait et fit une petite liste vite fait. « Viande – n’importe ; poivrons, fraises, abricots, tomates, salade, pain et à voir. » Ma liste faite, je pris son sac, vérifiais d’abord combien il me restait de monnaie sur moi puis quand ce fut bon, je quittais mon appartement pour me rendre au marché. Un marché qui est situé à une vingtaine de minutes de mon habitat. Je m’y rendais alors plutôt tranquillement car après tout, je n’avais que ça à faire aujourd’hui, traîner dans les rues, profiter un peu du bon temps. Arrivée au marché, je commençais alors à faire mes petites courses en passant d’abord par les légumes où finalement j’achetais des pommes en plus de ce que j’avais pris dans ce qui était marqué sur ma liste. Je me dirigeais ensuite vers la viande et le pain où pareil, je pris un peu plus pour être sûr et alors que j’allais pour regarder un peu les autres stands, je me fis accoster par trois mecs, beaucoup plus grand en taille que moi et qui n’avaient pas du tout l’air gentils. Ils commencèrent alors à me pousser en m’insultant de tous les noms. Que me veulent-ils ? Je ne leur ai rien fait, enfin pas que je sache en tout cas. Ils firent ensuite tomber mon sac de courses et je commençais tout de même à m’énerver un peu. J’usais de mes poings et mes pieds comme une petite délinquante de retour dans son milieu mais rien n’y fit, ils étaient trop forts. Ces hommes me frappèrent à la tête, un peu de partout en fait et dans ma panique, il faut le dire quand même, je vis un homme aux cheveux blonds en piques avec une cicatrice à l’œil. J’essayais de lui faire des signes pour qu’il vienne m’aider puis je me suis mis subitement à crier :

« MAIS BORDEL, LACHEZ MOI !!! AU SECOURS ! »

Alors que j’étais au milieu de ces trois hommes, à terre et qu’ils me frappaient, mon appel au secours a été entendu par le jeune homme en question a qui j’avais essayé de faire des signes, voyant que les autres gens autour avaient trop peur pour se bouger le cul et aider une femme en détresse. Je vis ensuite ce même homme foncer sur mes trois assaillants et commença à se battre. Je l’ai vu sauter en avant faisant entrechoquer son poing gauche avec la mâchoire d’un des hommes ce qui l’envoya directement au sol puis se remettre sur ses pieds donnant un coup d’épaule au deuxième ce qui fit pareil que le premier, c’est-à-dire atterrir au sol. Quant au troisième, je remarquais qu’il ne semblait pas comprendre ce qui lui arrivait car le jeune homme à la cicatrice lui avait attrapé la gorge avec son bras qui était apparemment modifié et le maintenait à quelques centimètres au dessus du sol juste assez haut pour que le malfrat ne puisse toucher le sol. L’homme semblait s’étouffer sous la pression des mains de ce jeune homme. Tout ce que je vis ensuite c’est que le troisième homme, celui qui était entrain de se faire étrangler était à terre et les deux autres avaient pris leurs jambes à leurs cous comme des trouillards. Je vis ensuite le jeune homme qui venait de me secourir se mettre à ma hauteur et je me redressais péniblement à cause des coups infligés, pour pouvoir être assise.

- vous allez bien ? Lui demanda t’il en lui présentant une main pour l’aider a se relevé tout en essayant de voir son visage.

Je vis alors qu’il me présentait sa main pour m’aider à me relever et en souriant un peu, j’acceptais bien volontiers. Un peu d’aide ne fait jamais de mal comme on dit et là, j’en avais plutôt besoin, je dois dire. Je me relevais alors grâce à lui, époussetant mes vêtements au passage, et me mettant accroupi le temps de récupérer un peu mes courses. Je me relevais ensuite, hématomes sur le visage et sur les bras puis une douleur au niveau du ventre que je fis exprès de cacher le plus longtemps. Une fois relevée, j’essayais de voir tout son visage à travers sa capuche mais pas grand-chose de plus que ses yeux verts et sa cicatrice. Je lui souriais alors pour lui montrer que j’allais assez bien, même si vu mon état physique, on aurait pu croire le contraire.

« Oui, je vous remercie jeune homme. Vous m’avez vraiment bien aidé. »

N’étant pas très douée pour les remerciements, j’ai lancé cette phrase si nulle… Mais dire ça… ne nous avançait pas beaucoup. Il me fallait encore engager un peu la conversation ou au moins, je ne sais pas, l’inviter à boire un verre dans mon bar pour le remercier plus convenablement ? Je remarquais ensuite qu’il avait une épée à sa ceinture, chose que je n’avais pas remarquée avant, trop troublée par ces assaillants et mon sauveur, entrain de les ratatiner facilement.

« Hum…, je peux vous inviter à prendre un verre pour vous remercier ? »

Je restais alors là, debout avec mes courses puis m’allumais une cigarette pour décompresser un peu tout ça. Petit tube de la mort… Cela devait faire au moins la troisième depuis ce matin mais je m’en foutais, j’en avais besoin. Tout en fumant, je regardais le jeune homme et c’est là que je me suis dis qu’il était bien baraqué, et qu’il devait sûrement faire partie des militaires ou encore de la police pour être taillé comme ça. Après avoir fini ma cigarette, au bout de 5-10min, à peu près, j’écrasais le mégot à terre puis le mis dans une poubelle non loin car oui, je suis respectueuse de l’environnement. Cela ne se voit peut-être pas mais je le suis. Je me retournais alors vers mon sauveur et attendis qu’il me réponde tout simplement, en regardant vite fait dans mon sac de courses si j’avais bien tout.

Ulrik regardait toujours la jeune demoiselle qui lui pris la main présenté pour s’aider a ce relevé, quand elle fut debout elle lui lâcha la main et se remit aussitôt au sol mais cette fois elle était accroupi a ramasser ses course qui c’était répandu au sol suite a l’agression, La jeune femme essaya de cacher a Ulrik quel avait un douleur au ventre ce qui était totalement normal après c’être fait passé a tabac mais il fit semblent de se laisser avoir et fit comme si il n’avait pas remarquer .

« Oui, je vous remercie jeune homme. Vous m’avez vraiment bien aidé. »

Il remarqua que la jeune femme regardais sont visage ou du moins essayais de voir sont visage mais elle ne pu que voir les sourire q’Ulrik lui adressait et peut être la couleur verte électrique de ses yeux et un morceau de sa cicatrice. « Vous êtes sur que vous allez bien ? » Lui demanda t’il en laissant un petit silence pour quel puisse avoir une réaction mais comme ce ne fut pas le cas il lui dit « Il n’y a aucune honte a montré ses ‘douleur’ (si tu ne comprends pas demande moi j’ai oublié le mot>.<’).» Pendant qu’il lui parlait remarqua quel regarda sont épée ou du moins le fourreau de sont épée qui pendant a sa ceinture, a nouveau un sourire se format sur sont visage et il lui demanda si la vu de l’épée dérangeais la jeune femme puis d’un coup.

« Hum…, je peux vous inviter à prendre un verre pour vous remercier ? »

Les mots magique aux yeux d’Ulrik, il venait de se faire invité à boire par la demoiselle cella montrait quelle ne le connaissait pas, ceux qui avait eu le plaisir ou le malheur de boire avec lui avait appris qu’il supportait très bien l’alcool c’était d’ailleurs ce qu’il buvait du matin au soir sans pour autant arrivé a en être saoul ou dans de très rare occasion «Alors on parle déjà de boire ensemble ? » dit’ il en rigolant bruyamment. En y repensant cella était très rare qu’Ulrik buvait avec quelqu’un dont n’avait pas eu de preuve de courage ou de fait d’arme, mais quelque chose dans cette femme l’intéressait bien qu’il ne venait que de se rencontré, il la trouva assez jolie si on lui retirait les hématomes quel venait d’avoir, bref il allait accepter jusqu’o moment ou la jeune femme sorti une cigarette, L’horreur, le terrible ennemi pour quelqu’un comme Ulrik qui avait les sens modifier ce qui veux dire qu’Ulrik pouvait voir dans la nuit comme si il faisait jour grâce a eu et il pouvait sentir toute les odeurs a plusieurs kilomètre au alentour de lui.

Lorsque la jeune femme alluma sa cigarette Ulrik arrêta de respiré en espérant tenir assez longtemps pour quel puisse la finir, mais ce ne fut pas le cas et il se retrouva assailli par la mauvaise odeur de la cigarette, il soupira en la regardant avec un léger dégout collé aux lèvres. Il voulu lui demander comment elle s’appelait pour ensuite lui demander d’écrasé ‘poliment ‘ cette œuvre de la mort mais il n’u pas le temps que la jeune femme l’écrasa et la mit a la poubelle. Malheureusement cela ne changea pas grand-chose pour lui a cause de ses sens il senti encore l’odeur mais il prit sur lui.

« Connaissez-vous un endroit où l’on pourrait boire et manger en paix sans être agressé par de mauvaise odeur ou imbécile ? » lui demanda t’il tout en sortant déjà de l’emplacement ou il était depuis trop longtemps a sont gout

Je regardais alors attentivement le jeune homme qui venait de me sauver puis vis qu’il avait l’air de retenir sa respiration lorsque je fumais ma cigarette. Oh donc, une personne de plus qui ne peut pas rester en ma compagnie parce que l’odeur de la cigarette les débecte. Je compris tout de suite qu’il avait rôdé pour ma blessure au ventre par ses paroles : « Vous êtes sur que vous allez bien ? » et « Il n’y a aucune honte a montré ses ‘douleur’ » Je me contentais dans un premier de lui sourire du plus grand sourire que je pouvais afficher puis là, avec mes courses, restant quelques instants plantée comme un piquet, je me retournais puis hochant la tête, je lui offrais la meilleure vue possible qu’il m’est été de donner et les cheveux au vent car il commençait un peu à se lever malgré cette belle journée ensoleillée.

« Je vous remercie de vous inquiéter pour moi mais oui, ça devrait aller. Et oui, allons boire un verre ensemble. »

J’avais dis ça très sincèrement et c’est vrai que j’aimerais bien en profiter pour le connaître un peu plus. Je ne l’ai jamais vu traîner dans le coin, du moins à mon bar donc je n’ai pas souvenir de le connaître. Je commençais alors à marcher dans la direction du bar lorsque le jeune homme m’adressa la parole une nouvelle fois : « Connaissez-vous un endroit où l’on pourrait boire et manger en paix sans être agressé par de mauvaise odeur ou imbécile ? » Cela se voyait vraiment qu’il n’aimait pas que les gens fument et j’avais l’endroit parfait pour ça. Le bar étant à la base non fumeur, il n’y a que moi qui peut me permettre d’en fumer une ou deux dans la journée et comme je nettoie relativement tout, que je suis limite hyper maniaque sur les bords, l’odeur de tabac se dégrade dans l’atmosphère si on peut dire ça.

Je continuais alors de marcher tout en veillant à ce que le jeune homme me suive. Je ne voudrais pas le paumer alors qu’il vient de me sauver la vie quand même. Environ dix-quinze minutes plus tard, nous étions alors devant la porte du bar. Même si je suis en congé, je passe toujours quelques heures au bar pour ranger et nettoyer. Comme ça a été déjà fait hier soir, à minuit, tout est bon et l’endroit sera beaucoup plus vivable pour le jeune homme. Je le laissais alors entrer puis entrais à mon tour et ferma la porte ainsi que le rideau puis allumais histoire, qu’on ne soit pas dans le noir total.

« Bienvenue dans mon bar. J’ai tout ce qu’il faut et comme je suis en congé, il n’y aura que vous et moi. »

Puis, je partis derrière le comptoir, lui disant d’aller s’installer où il voulait, le temps de mettre mes courses au frigo. L’ayant vu s’installer à une table, près du mur et du comptoir, j’en profitais alors pour sortir deux verres et commençais à regarder dans les bouteilles, un peu au hasard à vrai dire. Je ne savais pas trop quoi lui proposer du fait que déjà, j’avais des tonnes de bouteilles et qu’en plus, je ne peux pas lui imposer un vin au hasard. Je ne suis pas de ce type de barman.

« Que puis-je vous servir à boire jeune homme ? Au fait, moi c’est Even Riley Stark mais Even ou Riley, c’est très bien. »

Avais-je demandé et dis tout en souriant, limite à prendre le ton de l’aguicheuse. Mon attention était purement de mettre à l’aise le jeune homme ; enfin qui sait comment il pourrait le prendre et comment pourrait se terminer les choses… STOP ! Il me semble aller un peu trop vite là… Commençons par le commencement, c’est-à-dire faire connaissance avec ce charmant jeune homme. Aujourd’hui, il n’est plus vraiment question d’être ultra-professionnelle mais de se lâcher un peu.
Mais malheureusement, ma trop bonne humeur m'a fait quelques défauts car je ressentais de nouveau une douleur au niveau du ventre et sortant comme ça, un grimacement de douleur est parti tout seul...

Avant de ce mettre en route Ulrik regarda à nouveau le magnifique sourire que la jeune demoiselle lui offrait puis il se mit à inspecter centimètre par centimètre les habilles assez léger de la jeune femme, il remarqua alors qu’elle portait un haut noir a lacets surmonté d’un petit veston ce qui lui permit d’avoir une belle vue sur la poitrine de jeune femme, puis il continua de descendre plus bas et vu une mini-jupe qui lui laissa apercevoir quel n’avait pas grand-chose au jambe juste un bleu mais sans plus vu la couleurs de celui-ci il pu directement savoir qu’il était déjà présent avant aujourd’hui. Bref pour la première fois depuis très très longtemps qu’Ulrik n’avais pas senti de sensation bizarre venant de sont ‘cœur’ ou autre chose qui faisait qu’il se sentait attiré par la beauté de la jeune dame.

Pendant le trajet Ulrik remarqua les regards de la jeune femme tourné vers lui, il pensa qu’il l’intimidait encore, si elle regardait juste derrière elle pour faire attention a ses arrière ou simplement pour voir si il la suivait encore ou si il c’était perdu en chemin vue le monde qu’il y avait sur le chemin cela aurait été plus que possible mais ce que la dame ne savait pas c’était qu’Ulrik avait enregistré sont odeur corporelle dans un coin de sont cerveau et a partir de maintenant si l’envie lui en venais il pourrait la retrouvé partout ou elle se trouvais tant que c’était dans le dôme mais bref.

Plusieurs heures venaient de passé, le ciel commençait à s’assombrir ou plutôt les dirigeants du dôme commençaient à ‘éteindre ’les lumières pour signaler qu’il était l’heure du soir et depuis tout ce temps Ulrik suivait la jeune inconnue sans la perdre des yeux, jusqu'à arrivé devant un bâtiment couleurs rose violet métallique, une porte du même matériaux que le bâtiment lui-même, il remarqua aussi un grand store qui cachait quelque chose qui devais surement être une fenêtre. La jeune femme se tourna une dernière fois vers lui avec un sourire puis ouvrir la porte et le fit entrer avant de refermer cette porte a clef et alluma la lumière. « Bienvenue dans mon bar. J’ai tout ce qu’il faut et comme je suis en congé, il n’y aura que vous et moi. » Lui dit-telle tout en allant derrière le comptoir pendant qu’il ‘renifla’ les odeurs pour inspecter le bâtiment et être sur que ce ne fut pas un guet-a-pan ou autre chose mais rien a signaler il entra alors plus en profondeur et vue deux verre sur le comptoir, elle le regarda et il pu savoir juste a l’odeur quel se posa une question et la minute qui suivit.

« Que puis-je vous servir à boire jeune homme ? Au fait, moi c’est Even Riley Stark mais Even ou Riley, c’est très bien. » Lui dit t’elle d’un ton d’aguicheuse, Ulrik n’avait pas de ‘sentiment’ ou il en avait très peut ne su pas comment prendre le ton de la jeune femme prénommé Even, alors il se contenta d’avancer vers le comptoir s’assoir sur un des tabourets « Hm… Ce que vous avez de plus fort dans votre stock Even Riley Stark . » Dit-il «même si je pense que cela ne me fera pas grand-chose. » Continua t’il tout bas. Pour la première fois de toute sa vie ou du moins de sa deuxième vie Ulrik ce senti étrangement bien il avait la sensation d’être heureux même si il n’en avait aucune idée mais ‘Even’ commençais a le troublé car il ce senti ‘attiré’ par elle, si il n’avait pas eu un entrainement spécial pour ‘perdre’ ses sentiments et autre truc inutile a un parfait soldat il aurait déjà fait des bêtise et vu sont corps modifier elle ne ferais absolument rien sans se faire mal et se cassé des os.

Ulrik qui regardait toujours la jeune femme s’aperçu que les magnifique traits du visage d’Even se crisper à nouveau, sans sourciller et grâce a sont entrainement et sont odora il s’avait qu’elle n’avait pas grand-chose ou du moins que sa vie n’était pas en danger par le mal qui la rongeais en se moment mais il se sentit obliger de lui posé une nouvelle question. « Pas la peine de me le cacher Even Riley Stark, je sais que vous souffrez et je pense qu’une civile comme vous devrais aller a l’hôpital ou du moins faire quelque chose pour votre côte brisé. » Lui dit-il tout en restant inexpressif.

Bien sûr, avant que je n’aie eu le temps de dire quoi que ce soit d’autre, le jeune homme vit que j’avais mal à cette côte qui semblait être cassée et il me le fit d’ailleurs savoir :

« Pas la peine de me le cacher Even Riley Stark, je sais que vous souffrez et je pense qu’une civile comme vous devrait aller a l’hôpital ou du moins faire quelque chose pour votre côte brisée. »

Il avait employé un air plutôt inexpressif… Serait-il un des militaires employés par le dôme ? Si je me souviens bien, je discutais la dernière fois avec un client qui était militaire et il m’avait dit qu’ils suivaient un entraînement rude pour ne plus éprouver le moindre sentiment, la moindre émotion devant d’autres personnes. Je le lui demanderais plus tard à l’occase. Je ne voulais pas trop que cela se voie que j’avais mal mais trop tard apparemment. Je lui fis un petit sourire gêné avant de sortir une bouteille de vodka. Il m’avait demandé de lui sortir ce que j’avais de plus fort, alors sortons lui l’attirail, j’ai envie de dire. Je le servis puis me retournais pour prendre une bouteille de vin blanc et m’en servir un verre. L’alcool n’est pas vraiment mon truc, je dois dire. Je ne l’avais pas vraiment remarqué mais il était venu s’assoir au comptoir, ce devait être le temps que je me tourne pour chercher la bouteille. J’étais assez occupée à me perdre dans mes pensées pour voir cela ; nul de ma part. Bref, après l’avoir servi, moi aussi, je m’accroupis alors pour chercher de quoi manger simplement dans le frigo puis lorsque j’eus trouvé quoi, j’y sortis. C’était un assortiment de légumes avec de la sauce au boursin ainsi que quelques mini snack, que je fis chauffer dans mon petit micro-onde. Quelques secondes plus tard, je posais tout sur le comptoir puis m’asseyais sur un tabouret, non loin de là en essayant de ne pas trop appuyer sur ma pauvre côte cassée et regardait le jeune homme en souriant tout de même.

« En espérant que cela vous plaise. Et pour cette côte brisée… je ne voudrais pas que l’on me donne du repos si je dois aller à l’hôpital. Je suis la gérante de ce bar et pleins de clients tous les jours… »

C’est surtout que je n’avais pas du tout envie d’y aller. Puis sans dire un mot de plus, je plongeais mon regard dans le verre de vin blanc puis but une gorgée. Je sais bien que tôt ou tard, je devrais y aller parce qu’elle me fait mal, je le reconnais mais je ne veux pas. Je prenais ensuite quelques légumes à la super sauce au boursin puis les mangeaient dans le silence. Cependant, je regardais toujours l’homme assis en face de moi, qui avait toujours sa capuche sur la tête et donc impossible pour moi de voir sa tête entièrement. Je bus mon verre petit par petit pour le faire durer le plus longtemps possible mais finalement, ce fut impossible que je ne voyais pas quand mon verre fut vide.

« Non, en fait vous avez raison… Je devrais aller me faire soigner cette côte à l’hôpital… Voulez-vous m’y accompagner ? A moins que vous n’ayez des choses plus intéressantes à faire ? Ce que je pourrais comprendre. »

Non loin de me plaindre et non loin de vouloir le forcer, il me fallait bien dire quelque chose pour briser ce silence. Et en effet, tant pis si je devais passer quelques jours en convalescence pour cette minuscule côte cassée… Comme on dit, la santé passe avant le reste. Ceci, je l’avais méchamment oublié depuis un certain temps à vrai dire… Je ne voulais pas non plus faire trop ma bavarde, mon envahissante et tout ce genre de mots, de sentiments alors je me contentais de me taire, lavant mon verre et rangeant la bouteille de vin blanc dans le frigo. J’attendis seulement qu’il me parle pour me dire s’il veut venir ou pas et me contentais alors de m’assoir sur mon tabouret en attendant.

Ulrik senti a l’odeur D’Even quel était gêné et se posais des questions, mais quel question ? Sa il était incapable de le savoir, les scientifique qui avait modifié sont corps avait réussi a lui aiguisé ses sens, lui donner une énorme résistance a la douleur, une endurance a toute épreuve et plein d’autre chose intéressent mais la seul chose qu’ils ne purent lui implanter dans le cerveau c’était la faculté de lire dans l’esprit des gens, c’est dommage car cela lui aurait été très utile en se moment mais bon il avait appris a faire avec et puis déjà rien que le sentir grâce a l’odeur était bien sympa. Après un petit moment de réflexion Ulrik revint à lui et aperçu une une bouteille de vodka qui venait d’être posé devant lui.
Ulrik regarda Even R. Stark se retourner un moment pour revenir avec une bouteille de vin blanc puis se servir un verre puis elle resta un moment a le regarder et disparu pour revenir quelque minute plus tard avec de la nourriture, Rien de ce quel présenta n’intéressa Ulrik mais il ne pu jouer la fine bouche et pris deux, trois Mini-snack et pu une grosse gorgé de vodka a la bouteille même. C’est alors qu’il se rappela une parti de l’époque ou il était jeune et ou se genre d’alcool lui faisait souvent rendre une visite au l’hôpital, mais depuis qu’il était dans l’armée il c’était habituer a de l’alcool beaucoup plus fort du style modifier par les scientifique et que l’on ne trouvait que dans la base.

En arrêtant de se souvenir d’une parti de sont passé et en refaisant surface une nouvelle fois et aperçu Even R. Stark non loin de lui assise sur un tabouret se mettant de façon assez bizarre mais c’était surement a cause de sa côté pensa t’il lui souriant malgré la douleur « En espérant que cela vous plaise. Et pour cette côte brisée… je ne voudrais pas que l’on me donne du repos si je dois aller à l’hôpital. Je suis la gérante de ce bar et pleins de clients tous les jours… » Il lui adressa alors un sourire si Even le connaissait elle aurait pu deviner que c’était tout sauf un sourire qui venais du cœur ou naturel, c’était plutôt un sourire forcé comme on le lui avait appris, puis tout en tournant la tête pour la regarder il lui dit. « Vous devriez pourtant, et comparé a vos employer vous été la gérante … personne ne peut vous refusé ou vous dire quoi que se sois si vous allez a l’hôpital. » Il rebu une gorger de Vodka ayant déjà presque vidé la bouteille, et en la regardant boire elle aussi son verre de vin blanc. « Vous ne faite pas confiance a votre effectif ? » Tout en la regardant a travers la capuche de sont pull.

« Non, en fait vous avez raison… Je devrais aller me faire soigner cette côte à l’hôpital… Voulez-vous m’y accompagner ? A moins que vous n’ayez des choses plus intéressantes à faire ? Ce que je pourrais comprendre. » Avait t’elle décider de ne pas lui répondre ?, souffrais telle tellement que n’u pas entendu ? De tout sa Ulrik n’en savais rien et ne le saurais surement jamais tant quel ne lui aurais pas répondu et si elle comptait lui répondre. Il tourna alors la tête pour se remettre ‘droit’ et bu d’une traite le reste du liquide contenu dans la bouteille, le temps qu’il fasse sa il regarda du coin de l’œil, Even se levé pour aller lavé sont verre et ranger la bouteille de vin blanc, puis revenir vers lui et s’assoir sur le tabouret en face de lui derrière le comptoir pour le regarder, mais Ulrik baissa la tête pour que le haut de sont visage reste dans l’ombre de sa capuche et ainsi resté invisible a la jeune barman .
Au bout d’un moment de silence et d’observation assez longue Ulrik se leva de sont tabouret fixant toujours Even et lui répondit « Bien sur que je vous accompagne Even R. Stark, même si vous ne me l’aviez pas demandé, je vous aurez suivit, juste pour être sur que vous y arriverais sans accrochage avec des déchets du genre de tout a l’heure. » Puis il se contenta de la contempler un moment avant de s’accouder sur le comptoir et ainsi la regarder mais ne montrant cette fois jusqu'à sont nez mais pas plus haut.

Tout en attendant une réponse de sa part, je vis qu’il buvait la vodka carrément à la bouteille. Je me souviens qu’il m’a dit précédemment que même l’alcool le plus fort ne lui faisait pas grand-chose, alors, ne dois-je pas m’inquiéter ? Sûrement. Je le vis ensuite se servir dans les mini-snacks, et moi toujours assise, je le regardais tranquillement en souriant tout de même. Et alors, que je le regardais, je vis un semblant de sourire avant de m’adresser la parole :

« Vous devriez pourtant, et comparé a vos employer vous été la gérante … personne ne peut vous refusé ou vous dire quoi que se sois si vous allez a l’hôpital. »

J’avoue qu’étant donné que je suis la gérante de ce bar, normalement, personne ne devrait me dire quoi que ce soit. Mais, quand on aime plus que tout son métier et que c’est celui-ci même qui a permit de sortir de la délinquance, on dit merde et on travaille ! Enfin, dans mon cas en tout cas. Certes, comme il m’a été recommandé, que j’ai dis oui, je compte bien aller à l’hôpital.
Bref, étant un peu perdue dans mes pensées, j’en oubliais pendant quelques secondes le jeune homme en face de moi qui continuait à boire à la bouteille directement et je vis à un moment donné qu’il baissait la tête, comme s’il ne voulait pas montrer son visage entier. Faire confiance à son effectif hein… S’il savait que nous sommes que deux, enfin que mon employé est juste la partiellement et que forcément, je m’occupe moi-même de toutes les commandes et autres, il ne dirait certainement pas ça mais je ne répondis rien pour le moment. Je me contentais de le regarder à vrai dire. Je vis ensuite le jeune homme se remettre droit sur son tabouret et baisser encore un peu plus la tête pour ensuite se lever de son tabouret et me fixer, un peu en retrait dans l’ombre du bar pour ensuite m’adresser la parole :

« Bien sur que je vous accompagne Even R. Stark, même si vous ne me l’aviez pas demandé, je vous aurez suivit, juste pour être sur que vous y arriverais sans accrochage avec des déchets du genre de tout a l’heure. »

Un peu surprise de cette réaction, je le laissais s’accouder au comptoir, me regardant et un temps après, je le regardais également puis fis le tour du bar pour venir me poster près de lui. Finalement, quand on y pense bien, il a l’air d’être plutôt sympathique ce jeune homme. A premier abord, il paraît froid mais pas tant que ça, j’avoue. Je le regardais toujours puis lui sourit, un peu gênée.

« Je… je vous remercie dans ce cas, de bien vouloir m’accompagner jusque là-bas. Et puis, vous savez pour vous répondre… je n’ai qu’une seule employée et elle est à temps partielle, donc disons, c’est plus compliqué au niveau de la comptabilité et ce genre de trucs. »

Ce n’était pas quelque chose dont je parlais très souvent car j’aimais bien avoir ma propre idée des choses de la vie professionnelle et qu’aussi, certaines personnes que j’ai déjà fréquentées par le passé, se mêlent de ce qui ne les regarde pas alors du coup, je fais très attention quand je fais quelque chose. Je passe peut-être pour quelqu’un de pas très communicatif mais j’estime que là, c’est pour mon boulot donc, j’en dis le minimum. Ah bien sûr, je ne doute pas que le jeune homme qui m’a sauvé quelques temps auparavant, va rester muet là-dessus, enfin je l’espère mais c’est un reflexe. Je me dirigeais ensuite vers la porte, l’attendant puis lorsqu’il fut dehors, je fermais à clé. Nous voilà prêt pour une escapade à l’hôpital…