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 ❝ Arwenn Lacshaman ▬ L'oublie de la conscience. ❞

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Arwenn Lackshaman
XX CG04I 02A
Arwenn Lackshaman


♕ Messages : 363
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♕ Date d'inscription : 06/03/2012
☆ Sexe : Féminin
☆ Métier : Capitaine de la 2nd divisions terrestre / stripteaseuse.
☆ Logement : Maison close. °°
☼ Situation : Célibataire

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MessageSujet: ❝ Arwenn Lacshaman ▬ L'oublie de la conscience. ❞   ❝ Arwenn Lacshaman ▬ L'oublie de la conscience. ❞ EmptyMar 10 Avr - 20:01


Nom prénom : Arwenn Lacshaman.
Surnom : Couverture : Lake; nom de code : Condor.
Sexe : Féminin.
Age : 28 ans.
Emploie : Capitaine de la 2nd divisions terrestre contre l'envahissement extérieur des sauvages et taupe au sein des bas-fonds pour mettre un terme à différent trafique, métier de couverture stripteaseuse.
Situation : Célibataire.
Orientation Sexuelle : Asexuelle.
Groupe : Militaire.
Code : I44G06.

Particularité : Tu es un résultat de la technologie et de la folie scientifique, une machine presque parfaite, qui à une grande tendance à désobéir un peu plus chaque jour aux règles militaires pour ne pas perdre ton humanité si elle ne l’est pas déjà morte depuis un bout de temps.
Phobie : Tu as peur comme beaucoup de monde, mais ta plus grande peur c’est de te rendre compte que tu n’es plus humaine, que ta dernière parcelle d’humanité à disparue depuis belle lurette et de devenir une machine à part entière te laissant ainsi vide de tout au service de tes supérieurs, sans avoir pu te souvenir de ton passé.

Aime : Les armes, le corps humain, les machines, la discipline, la liberté et tant d’autre chose, mais la liste est bien trop longue ou bien trop courte…
N'aime pas : Le fait d'être différente, de ne pas pouvoir connaitre le gout des aliments, le fait d'être une femme et surtout le fait d'être remplie de nano technologie et tout ce qui s'y rattache.

©rédit : © Lieutenant X (sauf pour l'avatr, merci Némésis !)
Age : 18 ans.
Pays : France.
Double compte : Oui.
Avatar : Kusanagi Motoko de Ghost In The Shell
Connexion /10 : 8/10 malheureusement.
Comment avez-vous connu le forum : Je suis Genesis.
Commentaire : Je suis fière de moi et mes chevilles vont bien !
Tu ne te souviens de rien avant ton réveil dans ce lit d'acier où tu étais sangler comme un vulgaire animal en train de hurler à la mort, tu baissais les yeux pour découvrir ton corps en charpie, des membres en moins, de la peau bruler et tu en passes. Tu étais une vision d'horreur, un cadavre ambulant qui aurait dû mourir, mais tu te souviens que tu suppliais pour vivre encore plus longtemps, car tu avais encore quelques choses à faire, mais tu ne te souviens plus et tu ne sais toujours pas. La dernière chose que tu avais vu dans flot de larme c'était un homme en blouse blanche qui se tenait là fièrement devant te collant devant ton visage distordu de douleur un écran holographique avec comme seul mot « Condor », tu ne te fis pas attendre et tu acceptas dans un souffle au bord de la mort avant de sombrer dans un profond sommeil pour une nouvelle vie, pour une vie morte. Pour devenir une machine.

La deuxième fois que tu te réveillas tu ne ressentais plus rien. Tu n'étais plus sur un lit, tu te tenais debout, rattacher à de drôle de machine et d'innombrables câbles d'alimentation. Tu voulais bouger pour savoir ce qui se passait, mais tu en étais incapable. C'est alors que tu entendis une voix roque venir du fond de la pièce pour se rapprocher de toi. Poliment il se présenta devant tes yeux, mais tu n'apercevais pas normalement, au lieu de voir l'homme qui se tenait devant toi, tu apercevais un drôle de cercle rouge se former devant son image, te donnant des dossiers marquer top-secret. Tu avais trop d'informations qui défilaient devant tes yeux. Trop pour toi en cet instant précis, mais la voix de l'homme te sortis de ta torpeur. Il se présenta comme un colonel de l'armée de Terre et toi comme sa nouvelle création. Condor. Un soldat à la pointe de la technologie, fait pour le combat et que maintenant tu allais devenir l'arme ultime de Genesis contre un éventuelle envahissement ennemi.

Tu étais terrifiée, cette idée d'être venue du jour au lendemain était une chose impensable, fantasque digne d'un mauvais livre de science-fiction, mais non. Tu devais l'avouer tu n'étais plus un être humain, malgré ce que laisser entre à percevoir les premières lignes de sa silhouette d'acier. Tu ne ressentais plus aucune douleur, enfin pour l'instant, tu ne pouvais pas bouger. L'homme qui se tenait devant toi s'approcha de toi et déposa un baiser sur tes lèvres. Fière de lui, il se félicita d'avoir donné vie à un être humain cybernétique. Tu voulais hurler à la mort dire, mais tu ne pouvais encore le faire, il te manquait encore quelque chose d'important. Un système mécanique pour la parole. C'est après ce cours temps d'attente que tu sus enfin ce que tu étais devenue. Condor, la toute nouvelle invention de Genesis, il t'expliqua rapidement à quoi tu allais servir et comment tu avais été façonné. Alors, qu'il allait te préciser une nouvelle chose par rapport à ton oeil ce dernier pris le relais et te submergea d'information te concernant ainsi que sur le projet Condor, t'obligeant à entendre toute cette horreur sans que tu puisses dire quoique se soit ou bien arrêter.

Tu ne pouvais même pas sélectionner un quelconque fichier qui se présentait dans ton champ de vision, c'était un scientifique caché derrière son post informatique qui s'occupait de ça à ta place. Il choisit de te faire voir ce que tu étais avant. Arwenn Lackshaman, fille de Uriel Lackshaman militaire de carrière et de son épouse Anastasia O'connel Lackshaman citoyenne de Genesis. Tu es née il y a vingt-cinq ans de ça, dans la capsule scientifique, comme tous les autres enfants de Genesis. Tu avais passé ton enfance dans le quartier pauvre en compagnie de ta mère, alors que ton père était presque tout le temps en mission avec l'armée. Tu étais une élève quelque peu turbulente, mais qui avait quand même un peu plus que la moyenne à l'école. Il n'y avait pas plus d'information dans le premier ficher informatique, malheureusement ceci ne t'apprenait presque rien en revanche, le second était un peu plus détailler. Il t'apprenait que tu avais rejoint l'armée très jeune et que tu te révélais être une bonne recrue, mais qui avait tendance à ne pas tenir compte des ordres de tes supérieurs. Pourtant, très rapidement tu te fis remarquer pour ton habilité avec les armes à feu et tu participas à l'une des escouades de l'armée de terre qui traquait les sauvages qui essayaient de retourner dans le dôme.

Tes missions se suivaient et se ressemblaient, mais un jour tout changea à tout jamais. Alors que tu devais faire une banale mission de reconnaissance dehors dans les ruines, mais tu avais subi un attaque surprise. Toutes ton escouade était morte devant tes yeux, tu étais encore l'unique survivant, lorsque tu te pris l'attaque d'une grenade t'estropiant, te laissant à l'agonie sur la terre rouge de sang. Ce n'est que lorsqu'une équipe de sauvetage te ramenas dans l'enceinte de dôme que tu pus accepter de devenir un cobaye pour le projet Condor. Tu étais estomaquée, enfin si on pouvait utiliser ce terme pour toi, car tu n'avais aucun souvenir de ton passé et tu avais peur. Le scientifique ouvrit le second fichier qui t'expliquait le fonctionnement de ton nouveau corps. Tu appris que ton corps allez devenir plus fort qu'un banal humain et que tes yeux étaient une sorte d'ordinateur capable d'enregistrer des informations et de te les retranscrire à tout moment, mais toute bonne machine qui se respecte elle possède ces failles. Ton nouveau corps demandé énormément d'énergie et tu devais tous les soirs te recharger. Comme une vulgaire machine, enfin maintenant tu étais une vulgaire machine...

Le temps passa et une horde de scientifique en tout genre s'afféra autour de toi pour effectuer des réglages et d'autre chose étrange. Il voulait un soldat presque invincible qui sache travailler discrètement dans le dôme et à l'extérieur pour montrer au gouvernement que le projet était possible et qu'il fallait l'appliquer, mais tu étais devenue un danger pour toi-même. Trop de puissance, sans sentiment perceptible, ni de sensation comme le toucher. Ainsi ils apportaient de nombreuses modifications sur ton corps de machine. Réduisant ta puissance physique pour être un peu plus supérieur à la normal. Rajoutant des capteurs sensorielles sur tout ton corps et tu en passes, ainsi tu n'étais plus aussi dangereuse pour le reste de la population. Enfin après deux ans de travail instance sur ton corps tu étais enfin terminée. Le jour de ton inauguration, le même général qui t'avait parlé ce premier jour t'annonça qu'il avait dû te faire passer pour morte aux yeux de ta famille et que le chagrin de cette nouvelle avait tué tes parents. Tu voulais dire que c'était un mensonge, mais tu y réfléchissais et tu te dis que ceci était possible après tout. Pourtant, dans tout ça tu savais parfaitement bien que c'était tes parents, mais en même temps tu n'avais aucun vrai sentiment pour eux, alors tu avais du mal à savoir ce que tu devais faire. Tout compte fait tu t'entraînas comme une malade à acquérir de nouvelles techniques de combat et apprendre à utiliser ton corps pendant une année entière, avant de pouvoir rejoindre une nouvelle escouade et de travailler en sous-marin dans les bas-fonds du dôme pour faire tomber les malfrats et peu-être trouver des informations sur ton passé.
Condor : Programme top secret mené en solitaire par l'armée de terre, consistant à robotiser un corps humain à quatre-vingts pourcent dans le but d'en créer un soldat parfait. Un corps entièrement cybernétique à la pointe de la technologique rattachée à un cerveau humain, voilà en quelques misérables lignes ce qu'est le projet Condor. Des capacités deux fois supérieurs à la normal, vitesse, agilité, force, résistance tout ça pour en faire un combattant redoutable contre les envahissements extérieurs de ces êtres souillés venant de l'ancien monde. Une peau de latex et de silicone épaisse d'une dizaine de centimètre presque impeccables par des armes de mauvaises qualités, incrusté de micro capsules réfléchissante permettant un camouflage presque parfait, des os en acier tremper résistant à des pressions de plusieurs centaines de barres, des kilomètres de câble optique et en tout genre parcourant ce qui devrait être les muscles et la chair de ce corps humain. Plusieurs litres de liquide de refroidissement et permettant une meilleure flexibilité dans les jeux de mouvements de ce corps froid, des micros puces à impulsion électromagnétique relier à l'extrémité du bulbe rachidien du patient. Créant une machine parfaite, la dureté de l'acier avec la meilleure machine existante au monde le cerveau humain. Laissant ainsi le cobaye capable d'assimiler des techniques de combat hors norme ainsi qu'une capacité à prendre des décisions plus rapide.

Voilà ce que tu es devenue Arwenn après un malheur incident dans le cadre de ton travail. Une statue cybernétique de presque deux mètres de haut, un poids imposant pour une femme et en même temps plus léger qu'une quelconque machine de pacotille, une peau quelque peu rosée et une morphologie féminine à outrance pour cacher la structure robotique. Pourtant, tu te demandes parfois pourquoi ces scientifiques t'ont fait garder une apparence proche de celle que tu avais avant ton accident ? Une histoire par rapport à ta psychologie, un truc comme ça. Dans tous les cas, ta structure faciale n'a pas bougé d'un iota, un nez quelque peu fuyant, mais fin. Une bouche banalement banal avec deux ourlets bien dessinés et charnu. Une paire d'yeux qui ne sont plus vraiment des yeux vu qu'ils ont subi le projet Condor, te laissant ainsi une vision étrange, te submergeant d'information sur tout ce qui t'entoure. Voilà ce qui explique maintenant tes pupilles aussi rouge qu'un laser. Une coupe courte et des cheveux mauves l'un de tes signes de rebellions pour ne pas devenir une machine de A à Z, mais pourtant ils sont assez long pour cacher tes deux connectiques qui se situent sur au niveau de ta nuque permettant tes recharges et tes réparations. On pourrait croire ceci parfait ? Un corps bien féminin tout en rondeur, avec une poitrine en silicone haute, des hanches qui feraient pâlir une mère porteuse, mais pourtant tout comme machine qui se respecte tu n'es pas tellement bien équiper en bas. Jamais tu ne pourras procréer et tu t'estimes déjà heureuse qu'ils t'ont attribué un semblant d'intimité très sommaire, peut-être pour une pure décoration ou bien pour ne pas dévoiler que tu es un être produit de la nano technologique lors d'une quelconque mission d'infiltration dans le dôme pour traquer la vermine qui veut résister à la loi.

Cette « difformité », c'est comme ça que tu l'appelles, te fais peur, cette idée de devenir une machine à part entière te terrifie au plus au point, ce conditionnement militaire te pèse quelque peu sur tes épaules. Tu essayes de t'extérioriser un maximum physiquement, lorsque tu n'es pas dans ton uniforme militaire noir en acier renforcer sur les articulations que seul ton corps peu supportait et très particulier technologiquement il est comme une seconde peau sur toi tu te permets des tenus plus affriolante, c'est peu-être la dernière chose qui te permet de te sentir une femme et que demander de plus lorsque votre couverture dans les bas fonds du dôme est de jouer les filles de joie ? Des tenues étranges, courtes et échancrées toute crée par l'armée pour te permettre de changer chimiquement la surface de ta peau trop lisse le temps de quelques heures. La seule chose que tu gardes précieusement c'est un court manteau noir et un 9mm, mais à qui appartiennent-ils ? Tu n'en sais rien, tu essayes juste d'avancer.
Tu es froide et presque inhumaine, c'est que beaucoup de gens te disent et tu as peur de ces mots qui te rappellent toujours tes plus grands cauchemars, tu voudrais pleurer de temps à autre lorsque tu es triste, mais tu ne peux pas. Alors, tu es là impassible en train d'écouter les paroles qui sont plus des poignards qui te transpercent ta peau de silicone et de latex, de ces gens qu'ils soient tes amis ou des inconnus. Tu as mal, mais tu ne hoches pas la tête, tu ne cherches pas à les contredire, tu les laisses dire encore et encore, mais malgré ce que ton visage froid semble dire, tu as mal, tu pleures presque intérieurement. Dire qu'il en est de même lorsque tu es heureuse, tu as toujours un peu de mal à rire, ton corps n'agis pas comme celui d'un vrai être humain, il t'envoie des signaux étranges et divers, mais jamais tu n'as vu ta peau rougir de honte et ceci te manques, même si tu n'as plus tellement de souvenir de ton passé. Tu es presque comme une coquille vide qui attend patiemment de se remplir de nouveau souvenir et tu espères retrouver un jour ton passé, mais en attendant tu fais avec c'est comme ça.

Tu sais te faire obéir de tes hommes, comme tu les respectes, mais tu essayes toujours de garder un lien invisible entre le travail et l'amitié. Aux fils de tes missions avec la seconde division tu as su gagné leur confiance et ils te vouent une loyauté, mais il existe toujours un petit quelque chose qui crée un froid gênant dans l'équipe. Tu ne dévoiles jamais rien à personne. Tu es tout bêtement un projet ultra secret qui n'aurait jamais dû voir le jour de l'armée et tu te retrouves à bosser dans une division tout aussi secrète et tu bosses en sous-marin dans les bas-fonds de la ville pour chasser la vermine qui détruit cette belle utopie qu'est Genesis. Ainsi tu es conditionnée depuis ton arrivée dans l'armée à être une machine de guerre, sans sentiment qui est capable d'exécuter les ordres de tes supérieurs et du gouvernement comme cela en un claquement de doigts sans sourciller ni dire quoique se soit. Tu as déjà tué des hommes sans savoir ce qu'il avait fait, c'est tout simplement un ordre. Pour autant tu n'es pas comme certaines personnes de ton unité qui ont pris un malsain plaisir à exécuter les ordres.

Lorsque tu es en repos et que tu n'es pas obligée de bosser tu es presque comme une gamine. Curieuse, qui recherche tout ce qui est possible et imaginable, mais ceci n'est peut-être pas naturel, c'est peut-être un effet secondaire de ta perte de mémoire. Tu laisses croire aux autres que ceci n'est pas un problème, mais au fond de ton coeur tu en souffres comme jamais, mais heureusement pour toi ton visage impassible te sauve la mise. Pourtant, ça ne dura pas toujours. Passé le reste de sa vie si on appelle cela une vie à la recherche d'un passé, mais tu recherches une personne que n'existe plus, une personne qui est morte. Alors, que toi tu n'es plus qu'une machine qui devrait se résigner à devenir obsolète et à obéir à l'armée, mais une petite voix dans ta tête te dit non. Tu dois te battre, tu as une âme, une conscience, donc tu n'es pas une vulgaire machine, mais un être humain qui s'est perdu et qui attend de rejoindre l'autre monde. Ainsi tu restes malgré tout et tout le temps avec un masque de froideur effroyable, même si ton coeur ne dit pas la même chose, ton côté machine est imposant et prend trop souvent le pas sur côté humain, enfin si tu peux encore appeler cela un être humain. Tu ne recherches même pas la compagnie d'une personne avec qui tu pourrais partager quelques choses. Tu es seulement une âme qui erre à jamais dans un corps d'acier pour l'instant dit indestructible, mais tu sais que rien n'est fait pour durer et qu'un jour tu deviendras une vulgaire boite de conserve.
Test RP : Comment réagirez-vous si un homme mourrait devant vos yeux.
Que devrais ressentir un être-humain lorsque quelqu'un meurt devant vous ? Il devrait avoir peur, devenir fou ou bien prendre du plaisir ? En revanche, qu'est-ce qu'une personne doit ressentir lorsque c'est elle qui presse la détente ? Tu ne sais pas tellement, tu as déjà retourné mainte et mainte fois cette idée. Tu as gardé en mémoire les visages déformés par la peur, alors que tu avais la gâchette de ton arme pointée sur leur tempe. Leur supplication intense, te demandant de les laisser en vie, te disant qu'ils n'avaient rien fait, te jurant de plus recommencer, te promettant de disparaitre et de ne plus jamais revenir, mais toi tu étais là. Avec ton visage de glace de plastique, impassible qui ne sourcillait pas d'un iota, pas de sourire en coin, rien nada. Tu ne ressentais rien sûr l'instant. Après tout, c'était les ordres de tes supérieurs. Tu voulais garder le respect de ton équipe, alors tu restais droite et fière et tu pressais la détente. Tu laissais le sang, te repeindre presque totalement le corps et t'éclaboussant le visage. D'un revers de la main tu t'essuyais ses souillures et tu t'abaissas sur ta victime, posant deux de tes doigts sur son cou pour prendre son pouls. Tu attendais patiemment que toute forme de vie disparaisse du corps étendue devant toi avant de refermer les yeux de la personne qui venaient de perdre la vie. Tu ne sais pas ce que tu dois faire, parfois tu as envie de pleurer, parfois tu es vide, non tu es toujours vide, c'est ça qui te fait le plus peur. Tu prends une douche pour enlever le sang qui coule lentement dans le typhon et tu réfléchis sur ce que tu viens de faire et après que tu as fais ça tu enregistres les données que tu as récolté lors de tes missions, tu branches tes deux connectiques et tu transmets tes informations et c'est là que tu réalises que tu es une machine froide et sans coeur, qui recommencera encore, car ce sont des ordres.
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Arwenn Lackshaman
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Arwenn Lackshaman


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MessageSujet: Re: ❝ Arwenn Lacshaman ▬ L'oublie de la conscience. ❞   ❝ Arwenn Lacshaman ▬ L'oublie de la conscience. ❞ EmptyLun 21 Mai - 11:50

Sixtus Del Sanctis
Scientifiques
Cobaye

Explication du changement



Passage de militaire à scientifique.
Raison → Dans ces fonctions militaires, Arwenn travaillé en sous-marin pour avoir des informations sur d'éventuels résistant.
De là elle rencontra Leo McLeay, revendeur d'arme. Conditionnellement à ces ordres reçu par son général en personne, elle lui demande de l'aide pour retrouver le propriétaire d'une arme à feu, celle qui l'a amené à avoir ce corps cybernétique.
Dès lors, elle le rencontre plusieurs fois sur son passage et une sorte de lien se tisse entre les deux personnages. Malheureusement, elle désobéit à ses ordres et commence à faire ce pourquoi elle n'était pas programmer. Ainsi elle risque la cour martial, mais par chance elle n'écope uniquement d'une suspension.
Dès que la coupure de courant à lieu dans Genesis elle en profite pour essaye de retrouver Leo, mais malheureusement pour elle, alors qu'elle avait réussit à retrouver des brides de souvenirs de son passé, Leo meurt devant elle. La plongeant dans une folie meurtrière, si bien que délibérément elle se met à tuer d'autre militaire, avant d'être calmé et mise à terre et amener dans une cellule de contention.
Ainsi, les autorités l'oblige à changer de corps et devenant un petit rat de laboratoire, avant d'espéré de retourner dans la civilisation du dôme.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


❝ Première mission et premier contact ▬ Leo McLeay ▬ Terminé ❞
❝ Lorsque la glace cède ▬ Leo McLeay ▬ Terminé ❞
❝ Une nuit différente des attentes ▬ Leo McLeay ❞
❝ Mission à la trappe et punition ▬ Engel Fürhmann ❞
+ D'autre qui vont avoir lieu pendant l'évent.


Physique



« C’est la fin. »
Lâchas-tu banalement comme si tu parlais d’une chose qui n’avait pas d’importance.
Alors tu avanças dans la salle qui n’était autre qu’une salle d’opération. Encore une fois tu allais avoir un nouveau corps, c’est ce qui avait été décider plus haut, même si tu savais que tu n’avais pas ton mot à dire ceci t’exaspérer au plus haut point, mais en même temps te rassurer un peu, enfin tout dépenderais les changements opérés en toi. Après tout, déjà que tu étais un cyborg en grande partie, tu avais un peu de mal à croire que tu pourrais avoir un corps encore pire que celui que tu possédais là, peut-être pourrais-tu encore une fois devenir humaine, mais est-ce pour autant que ton âme sera toujours là ?
Tu n’en as aucune idée et tu es terrifiée à cette pensée, alors tu fermes les yeux et tu avances les pieds et poings liers vers la salle d’opération afin de subir ce changement inconnu. Repensant à ces derniers instants de ta vie, de tes vies, souffrances, mort. À croire que c’était ton destin, de toujours vivre cette chose horrible et atroce qui te déchirait le cœur en deux.
« Avance ! »
Parla froidement le garde qui tenait tes chaines.
Ainsi tu avançais lentement en écoutant le cliquetis des chainettes qui s’entrechoquaient, t’arrêtant devant la porte de la pièce, attendant que la porte coulissante s’ouvre lorsque le garde posa sa main sur le boîtier pour ouvrir la porte, tu reculas d’un pas, lorsque tu vis ces deux tables d’opération ainsi que tous ces instruments chirurgicaux, si tu le pouvais tu prendrais bien tes jambes à ton cou pour aller te cacher dans un coin et ne plus en bouger, te lamentant sur ton propre sort et demandant la mort et être enfin délivré de drôle de fardeau.
« Tu vas écouter oui ! Avance-j’ai dit ! »
Aboya ton geôlier en te postillonnant dessus.
Alors, tu baissas la tête, avant d’avancer dans la pièce, attendant les instructions toujours attachées. Riant devant la situation le goêlier se mit à rire s’amusant de la situation, tenant en chaine l’un de ses anciens chefs dans sa main. Ayant le droit de vie et de mort sur toi, il te faiut passer devant l’un des premiers brancards qui était recouvert d’un linge, comme s’il s’agissait d’un cadavre, mais pourtant la poitrine de ce soi-disant mort se soulever par à-coups régulier, pris de panique, tu tiras sur tes liens, blessant les mains du soldat qui te tenait et tu te cachas dans un coin de la pièce, reversant sur ton passage du matériel médical et laissant les cris des scientifiques résonner dans la pièce, complètement terroriser, tu pris comme seul arme de défense un scalpel et tu te mis dans un coin de la pièce, le tendant devant toi, comme si tu allais réussir à te protéger contre ta propre peur.
« Arrêté-là ! »
Cria une voix.
« Elle va tous nous tuer ! »
Hurla une autre voix paniquée.
« La ferme ! Salope tu vas me le payer ! »
Croassa le soldat en regardant ses mains et en prenant dans sa main une arme paralysante.
« Laissez-moi partir ! Je veux pas recommencer ces monstruosités ! Laissez-moi… »
Supplias-tu, mais sans avoir le tant de finir.
Le soldat qui avait dégainait son arme venait de la pointer vers toi et visa directement entre tes deux yeux, t’obligeant ainsi à tomber dans des spasmes frénétiques, tu venais de recevoir plusieurs dizaines de volts directement dans le visage, même si tu étais un cyborg, ceci était amplement suffisant pour réussir à te mettre à terre, depuis que l’ont tu’avais désactivé tes modes d’attaques pour faire de toi un petit toutou, qui serait juste capable d’aboyer, sans jamais mordre.
« Bien maintenant on a plus de temps à perdre ! Sinon on va n'avoir pas un, mais deux cadavres sur les bras, alors grouillez-vous ! »
Entendis-tu légèrement dans ton oreille.
Cadavre, cadavre. Ce mot raisonnait dans ta tête encore et encore sans jamais s’arrêter, alors que deux gars costauds soulever ton corps mou pour te poser sur la table et c’est sous les lumières des néons aveuglant que tu fermas les yeux, un masque poser sur le visage, tu t’endormis.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


« Commençons. Scalpel s'il vous plait. »
Demanda l'un des chirurgiens.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


J’ai mal. Où suis-je, pourquoi j’ai une impression bizarre avec mon corps. Il fait froid et ce bruit qui raison dans mes oreilles c’est atroce.
C’est ce que tu pensas lorsque tu recommençais à prendre conscience. Ouvrant légèrement les yeux tu étais tellement aveuglé par la lumière et tout ce blanc qui t’entourait que tu te retrouvas obliger à fermer les yeux, écoutant juste les voix qui t’entouraient et qui parlaient de long en large sans que tu comprennes pourquoi.
« Constante normale, température un peu basse, mais ce n’est pas problématique. En revanche, est-ce que le cœur de substitution fonctionne correctement ? »
Questionna une voix féminine.
« Oui, tout fonctionne bien. En revanche, les entrocites ont un peu de mal à régénérer les tissus morts il faudra attendre quelque peu, mais les réactivités sont bonnes et les terminaisons nerveuses sont excellentes, encore un peu de temps et tout sera bon. »
Répondit-une autre voix en donnant d'information que tu ne comprenais pas.
« Parfait, dans ce cas-là donné lui de la morphine, après tout il serait bête qu’elle souffre inutilement et qu’elle se fatigue et qu’il y a rejet. »
Commenta la première femme que tu avais entendue.
Et sans t’en rendre compte la douleur qui t’abitait disparaissait lentement et tu rendormais paisible, sans en savoir plus sur cette drôle de situation.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


« Sictus a la douche ! »
Te parlait un scientifique.
« Merde, mon nom est Arwenn ! »
Répliquas-tu en colère.
« On s’en fout de ton nom, maintenant tu es Sctius, alors fait ne pas chier ! Maintenant a la douche ! »
Aboyait l’infirmier.
Te levant du lit d’hôpital, tu t’avanças vers la porte coulissante et tu attendis que l’infirmier l’ouvre en imposant son badge pour aller vers dans la douche. Ainsi lorsqu’elle s’ouvrit, tu t’engouffras dans le couloir et tu le suivis, d’un pas lent, encore un peu fatigué de ta nuit agitée. Avançante douce vers les douches collectives, ainsi tu te déshabillais et tu laissais tes affaires dans un petit compartiment réserver à ces effets.
« Tu comptes quand même pas me frotter le dos, non, alors va voir ailleurs si j’y suis. »
Parlas-tu sèchement.
Alors tu allas à la douche et te lavas et te frottas correctement, laissant l’eau chaude couler lentement contre ton corps. Ainsi lorsque tu eus fini, tu t’enroulas autour d’une serviette et t’avanças vers ce qui était une sorte de glace sans teins incassable, malheureusement pour toi.
Depuis peu de temps tu avais reçu le corps d’une autre, celui d’une pauvre fille, mais pas seulement. Tu avais l’impression d’être deux dans ce corps pourrissant et sentant la mort. Ton cerveau et son corps. Il n’y avait presque plus de cybernétique en toi, seulement des nano-cytes que tu ingurgitais tous les jours pour survivre et éviter tout rejet. Cette maigreur dont tu n’avais pas l’habitude, te donnait l’impression d’être malade, alors que ce n’était pas le cas. Ces cheveux court et noir qui te chatouillait la nuque, recouvrant de faux yeux gris, modifier par la robotique, ce nez droit et fin qui pointer sur ton visage, ses lèvres fines et pincer. Cette poitrine plate et habiller d’une grande cicatrice, où tu avais maintenant en dessous un cœur et des poumons artificiels et depuis le temps tu avais l’impression que tu étais plus petite, passant de tes deux mettres habituelles, tu avais presque trente centimètres de moins, ce qui était étrange et en même temps sans plus.
Tu avais beaucoup de mal à t’habituer à ce corps étrange, mais pourtant tu te réhabillas encore toute tramper et tu toquas à la porte.
« Hey au lieu de reluquer par la vitre sort moi de là, j’ai fini. »
Râlas-tu longuement.
Malheureusement tu ne savais pas si ton corps avait des capacités spécial, mais tu ne voulais pas tellement le savoir non plus.


Caractère



« Tais-toi… »
Supplias-tu.
Pourquoi donc ? Après tout tu n’es pas chez toi, à ton avis à qui appartient ce corps ?
« Non, tu mens ! »
Crias-tu en silence.
Allons, donc tu le sais très bien. Ce corps n’est pas à toi. Souviens-toi. Dans la salle d’opération, ce drap blanc qui le recouvrait pendant que toi tu étais terrorisé dans ton coin en train de pleurer comme une gamine avec ce misérable scalpel à la main et tentant de te défendre comme un bébé. Si je me souviens bien tu disais quelque chose comme. « Non arrêté. » N’est-ce pas ?
« Je t’en surplis, part laisse-moi vivre. Laisse-moi être moi-même… »
Continuas-tu à te plaindre dans un long gémissement.
Laisse-moi rire. Toi-même ? Tu vas la boucler salope ! À ton avis qui est dans mon corps ? Qui a maintenant la vie grâce à moi ? Qui, qui, qui ?!! Alors, tu vas arrêter de te plaindre, tu n’as même plus d’âme, tu n’es plus rien. Un vrai cadavre ambulant. Espèce de monstre !
« Tu vas la boucler ! »
Hurlas-tu dans un accès de rage.
Te relevant de ton coin, tu te dirigeas titubant vers le meuble le plus proche et d’un geste fou et comme à ta nouvelle habitude tu reversas tout ce qu’il s’y trouvait, laissant tout voler dans les airs avant des retourner complètement le support.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


Encore une fois tu avais laissé tes accès de rage prendre le dessus, mettant tout à sac dans tes environs, les scientifiques en avaient marre de réparer tout ce que tu cassais, alors maintenant il avait pris la décision de seulement mettre des trucs incassables, mais bon généralement c’était de la camelote puisque tu réunissais toujours ne pas casser l’un de leurs bidules, alors il te mettait en cellule capitonner pour que tu ne fasses pas trop de dégât, mais un peu en vain. Puisque à la fin tu finissais toujours par en sortir complètement amorphe sans réelle conviction, tel un robotiser sortant tout juste d’une opération de torture. Parfois tu avais aussi essayé de ne pas prendre ces pilules qui te gardait en vie, mais d’une façon ou d’une autre il te forcer à l’ingérer de force, alors parfois à bout de forces, tu te laissais faire et tu obéissais sans rien dire. Alors que d'autres fois c’était un véritable calvaire, mais ce qui était étrange, c’est que dès que tu oublis ce corps étrange qui était maintenant le tient. Cette drôle de petite voix se taisait, mais dès que tu en reprenais conscience, elle se réveiller, te rendant complètement folle.

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬


Après ce cours instant de folie, tu te relevas, n’ayant toujours pas fini tu te dirigeas vers le seul miroir de la pièce qui reflétait ton reflet et continuant ton accès de rage tu frappas dessus, encore et toujours plus fort. Cette chose ne se briser jamais, mais toi et tes larmes, continuait toujours de couler le long de tes joues. Ainsi ce n’est que lorsque ta main en sang, que cette drôle de voix dans ta tête réapparut.
Ça ne sert à rien…
« La ferme ! »
Hurlas-tu à ton reflet déformé par les larmes.
Jamais.
Tu te laissas tomber sur le sol glissant contre le mur, te recouvrant les yeux de tes propres mains et tu pleuras jusqu’à ce que tes yeux deviennent secs. Ainsi pendant plusieurs minutes tu ne bougeais pas, étant seulement parfois secoué par quelques spames jusqu’à ce que la porte de ta cellule soit ouverte et que l’un des infirmie rs te trouve là à terre et décide de te venir en aide. Posant sa main sur ton épaule il te souca légèrement.
« Debout Sictus… »
Parla-t-il lentement.
« Mon nom est Arwenn ! »
Hurlas-tu une nouvelle fois.
Te débattant comme une folle, tu rejetas sa main et tu reculas encore plus, mais te retrouvant as coudé contre le mur tu ne pouvais plus faire un geste, alors excédé par ton comportement l’infirmie r s’avança vers toi et t’offrit une gifle magistrale, te laissant un filet de sang couler le long de ta bouche et sentant le gout métallique sur ta langue, tu relevas la tête, l'air fier.
« Ton nom est Sictus Del Sanctis ! Répète ! »
Ordonna le jeune homme.
« Mon nom est Arwenn. Arwenn Lackshaman ! »
Crias-tu.
Tu te relevas et tu le ruas de coup, jusqu’à ce que d'autres scientifique arrive et te mettre à terre et te remette en cellule capitonné.


Fuyumine Naoto
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Shaïna Dathir
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Shaïna Dathir


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MessageSujet: Re: ❝ Arwenn Lacshaman ▬ L'oublie de la conscience. ❞   ❝ Arwenn Lacshaman ▬ L'oublie de la conscience. ❞ EmptyJeu 2 Aoû - 18:56

Modifications validées.

Tu passes donc du groupes des militaires aux scientifiques.
Ta matricule est changé. Elle sera maintenant : XX CG04I 02A

Bien sûr, je te dis pas re bienvenue! Vu que c'est complètement idiot '-'
Mais bon rp ! Et non, tu harcèleras pas ma Shaïna ! é_è
Je t’assommerais à coup de bouteilles de whisky, si il le faut. Cool
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